Le blog de exhibsmriccardo.erog.fr

 

Un jour, revenant d’avoir été cherché de la documentation de voyage dans un office de tourisme des environs, je décidais de passer par le quartier de Matongé de Bruxelles (quartier africain) avant de rejoindre la gare pour mon retour. J’aime bien passé par là, pour l’ambiance assez folklorique et particulière du lieu.

Comme il faisait très chaud, je décidais de m’attarder et de prendre une consommation dans un de ces typiques petits cafés.  J’entrais donc dans le premier venu et m’installais tranquillement à une table. Quatre noirs à une autre table, y jouaient bruyamment aux dominos, un autre avec un blanc discutaient accoudés au bar, une autre table occupée par un noir seul, tandis que le patron lui aussi noir essuyait des verres dans son comptoir. A mon entrée, la plupart me dévisagèrent comme lorsqu’un nouveau venu fait irruption dans un lieu.

Le patron ayant apporté ma commande, je me plongeais négligemment dans mes prospectus mais bientôt, la sensation étrange d’être épié et ausculté, celle d’un regard scrutateur posé sur vous, m’envahi. Relevant la tête, j’inspectais à la dérobée les alentours et constatais qu’il s’agissait du noir, seul à sa table qui me regardais avec insistance. Nos regards se croisèrent et il eu un petit sourire. Je n’y prêtais pas plus d’attention et me replongeais dans ma documentation mais toujours cet indéfinissable malaise d’être scruté. Durant les minutes qui suivirent, nos regards se croisèrent maintes et maintes fois, et toujours ce sourire un peu idiot. Mon verre presque vide, fut remplacé par le patron en disant m’être offert par ce noir.

Ma parole, mais voilà que je me fais draguer maintenant! Sans trop le vouloir, je lui fis signe merci et santé ! Par geste, il me demanda s’il pouvait se rapprocher, et n’ayant pas d’apriori, je fis oui de la tête.

Ainsi, durant près de 10’ nous parlerons de tout et de rien.

Sachant très bien ce que l’un et l’autre pense et envie de son vis-à-vis, il me propose soudain de le suivre chez lui, prendre un verre, habitant à quels que pas de là.

Sans hésitation j’accepte son invitation, et histoire de lui montrer que je ne suis pas dupe, lui dit tout de go que je souhaite qu’il soit bien « monté »parce que j’aime les gros calibres. Tout bas, il m’assure que oui, que je n’ai pas à m’en faire à ce sujet, qu’il en a une comme une pine d’âne, bourrée d’énergie prête à servir et me combler d’aise, que jamais plus je n’en verrais une pareille !

Vidant alors nos consommations, nous sortons du café et nous nous dirigeons vers un immeuble tout proche, de plusieurs étages divisés en plusieurs lofts ou studios, d’après le nombre des boites aux lettres. Arrivé dans son logement très rudimentaire (une grande pièce salon-chambre à coucher avec un coin cuisine, une petite salle de bain-toilette dans un autre coin dissimulé par un rideau), nous nous dévêtissions rapidement pour se coucher tête-bêche sur le lit.

 

PICT004Il me fait compliment de mon service 3 pièces enserré dans ses cockring et de mon pubis totalement imberbe.

J’en fais de même pour lui, car effectivement, c’est un vrai âne en rut. Une queue noire luisante, tendue à l’extrême. Enorme, plus de 6 cm de ǿ et d’une longueur…assez démentielle ! Ses poils denses et crépus, sont rêches au touché.

Je crains cette bite et l’envie tout à la fois. Déjà, je l’empoigne et tente de me l’introduire en bouche, je dois écarteler les mâchoires de façon démesurée. J’y parviens enfin et suce avec délectation cette pine africaine au gout étrange, que je m’enfonce aussi loin que possible dans la gorge évitant de m’étrangler. Il me fait pareil et me pompe avec ardeur. Sous l’appétence j’en suis déjà presque à éjaculation que je me retiens avec force. Heureusement, bien vite il me fait mettre à quatre pattes, lui offrant ainsi mon derrière, objet de sa convoitise.

Me positionnant correctement, les jambes fort écartées, le derrière détendu, dans une posture plus qu’indécente en d’autres lieux, j’attends son assaut qui ne s’aurait plus tarder. Il prend la précaution de m’enduire l’anus de crème lubrifiante et puis … se positionne dans l’axe, son énorme gland prenant appui sur ma rondelle. D’une seule brutale et violente poussée, une seule !, le voilà brusquement tout en moi, de tout son dard rigide planté profondément dans mes fesses au fond de mon rectum, sur lequel je le sens venir buter. J’en pousse un cri de douleur sous la rudesse de l’intromission, bien vite remplacé par cette sensation de bonheur et d’extase. D’abord lentement puis de plus en plus vite, il entreprend une chevauchée dantesque, me ramonant le conduit culier sur toute sa longueur. De part sa grosseur, je me fais l’effet d’un insecte épinglé sur une planche.

Soudain, toc toc, à la porte du logement qui s’ouvre à la volée, n’étant pas fermée à clé. Un autre noir entre, et trouvant sans doute la situation tout à fait normale, venant voir au plus près, nous complimente, et sans aucunes gènes ou hésitations ni autres paroles, baisse son pantalon pour me présenter sa verge molle, de belle dimension quand même, sous le nez, de façon à ce que je l’avale. Ne pouvant me dérober, empaler comme je l’étais ni encore moins m’échapper à poils, j’ouvris la bouche dans laquelle il se rua. Moins gros que son copain, ce me fût plus aisé à l’engloutir. Me tenant la tête immobile entre ses mains puissantes posées sur les oreilles, il s’astiqua le chibre maintenant tendu, entre mes lèvres, son pote toujours planté dans mon derrière occupé à me limer la rondelle dont le ténesme atteignais son paroxysme. Fourrageant de toute la longueur de son épaisse hampe, il me bourrait le fion jusqu’à culée. Subitement par de violentes secousses, il se déversa à longs jets brulants de sperme dans mes entrailles. Se retirant aussitôt avec un bruit de succion, je dû néanmoins garder la pose, incapable de bouger à cause de la pine en bouche, mais surtout subitement maintenu par plusieurs paires de mains posées aux épaules, hanches et au dos.

En effet, c’est alors que je me rendis compte que par la porte restée ouverte, d’autres noirs étaient entrés dans la pièce. Sans doute 2 ou 3, je ne pouvais pas les voir, la tête toujours emprisonnée, les sons estompés par mes oreilles couvertes.

Le tam-tam a bien fonctionné, et le piège aussi s’il en avait eu un.

Je suis donc bel et bien pris dans la nasse. Chacun d’entre eux allant maintenant en profiter et me passer dessus, j’en suis certain. Ou plutôt passer entre les fesses.

Je serais donc involontairement leurs vides couilles. Combien y en a-t-il dans le bâtiment ?

Très vite donc, une autre queue m’investi vigoureusement les intestins pour, en quelques mouvements très rapides, y répandre sa semence presque en même temps que celle de celui en bouche. M’asphyxiant sous des flots sperme, je failli m’étouffer mais n’eu pas le temps de reprendre mes esprits ni même bouger, que de nouveau une grosse pine s’engouffra entre mes lèvres ainsi qu’une autre dans mon anus. Je sentais un trop plein suinter de ma rondelle malmenée, et s’écouler le long de mes jambes.

Cette fois aussi, ce noir en bouche ne bougeant pas, il se masturba en me tenant lui aussi la tête, qu’il me faisait aller et venir à son rythme. Me contentant de le tenir seulement bien serré entre mes lèvres, parfois il allait à fond de gosier pour se faire une gorge profonde. Cela n’était pas difficile étant donné la longueur généreuse de ces queues.

L’autre dans mon conduit culier, agissait comme s’il ne connaissait pas trop le chemin ! Une fois il allait de l’avant avec force et vigueur butant mes fesses, de l’autre il reculait lentement jusqu’à sortie! Et ainsi de suite durant de longues minutes. Il tentai de m’évaser davantage le croupion.

Tous biens nantis par Dame nature, ils me remplissaient néanmoins d’aise. Diable, je savais les noirs à se sujet bien pourvus, mais là…chapeau, cette fois j’en avais pour mon grade. Dans ce cas, l’on ne pouvait pas parler de viol proprement dit, mais qu’ils abusaient tout simplement de la situation présente !!!

Pour être comblé, ça je l’étais et cela ne me déplaisais pas, j’aime les tournantes, être pris par plusieurs à la suite, tant qu’il n’y a pas violence physique. L’émulation des uns et des autres, donne des ailes. Disons qu’il aurait été plus correct de l’annoncer, je ne me serais pas dérobé.

L’un comme l’autre, hâtivement y allèrent aussi pour leur distribution copieuse de jus gluant et chaud. De la bouche, sous la violence et la spontanéité des jets au fond de ma gorge, cela me ressorti en partie par les narines. Toussant et crachant, j’eu du mal à reprendre ma respiration. Du cul trop lubrifié, coulais toujours un trop plein de sperme.

Jusque là malheureusement, cela n’étais rien. Cela n’avait rien à voir avec ce qui allait maintenant m’arriver !!! Cette fois ça allait être du copieux, j’allais l’apprendre hélas à mes dépens.

Car soudain en effet, toujours à quatre pattes, plusieurs mains me firent tourner comme un rôti au four, pour me mettre à plat dos. Et c’est alors que je "Le" vis devant moi.

Un géant de bien 2m de haut, à poils total, un sexe de taille normale pour lui, mais immense pour nous.

Au moins 25 cm de long et 7-8 cm de ǿ, rigide comme une barre à mine tendue à l’horizontale. Redoutable de puissance et impressionnant.

Ses copains, me plaçant sur le bord du lit, disposant des coussins sous mes fesses pour être plus à hauteur, me remontant les jambes sur la poitrine, les pieds vers le plafond et me tenant négligemment fermement à plusieurs, j’étais incapable de bouger et ne pouvait qu’attendre cet outrage excessif, que je le veuille ou non. De part la position dans laquelle je me trouve fermement maintenu immobile, le cul gluant offert, cela ne pourra être cette fois-ci, qu’un vrai viol si je tente un tant sous peu de vouloir résister.

S’approchant avec un petit sourire sournois, le tuyau tendu à l’horizontale, il pose son gland pointu démesuré sur ma rosette, croche ses mains dans mes cuisses levées, s’arc-boute et … pousse doucement allant de l’avant.

La douleur de la pression se fait déjà forte sous cette épreuve. J’ai envie d’hurler, qu’il stoppe, que jamais cela d’une telle dimension, ne rentrera complètement. Il va me déchirer les muscles anaux !

Mais non me dis-je, je sais que c’est parfaitement possible. En bien d’autres occasions, je me suis engodé avec des flacons en plastique de diverses dimensions et diamètres bien comparables, et même été fisté vigoureusement à plusieurs reprises.

Mais là cette fois, c’est tout différent !

Mais il n’en a cure, pousse et pousse encore, je sens ma rondelle heureusement huilée à profusion, comme l’obturateur d’un appareil photo, qui lentement s’évase tant et plus, libérant le passage dans lequel il s’engouffre petit à petit. Une fois passé la barrière anale, oh miracle. Je n’en crois pas mes yeux, bientôt le colossal gland s’est frayé un chemin dans mes chairs. Il force toujours et je ne résiste pas, me détendre me dis-je. Je regarde médusé et stupéfait cette gigantesque queue qui maintenant, petit à petit progresse en moi. Il force encore et avance mm par mm. Un véritable pieu pour m’empaler, à l’instar du supplice du pal de jadis. Heureusement que la lubrification, due aux prises précédentes a été généreuse.

Je me crois les sphincters déchirés tant la douleur est démesurée. L’anus écartelé à outrance, enfin la détente musculaire bienfaitrice ! Le rectum pouvant, lui, se dilater bien d’avantage encore. Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, il poursuit son avance et enfonce son énorme hampe dans mes fesses. Je le sens atteindre de son engin disproportionné, le fond du boyau. Il est brulant et m’envahi malgré tout divinement bien comme jamais je ne l’ais été en réalité. La douleur de l’emprise fini doucement par s’estomper pour faire place à une sensation de bien-être divin malgré la monstruosité de l’engin planté dans mes chairs.

Entamant alors une cavalcade genre rodéo, je suis secoué vigoureusement d’avant en arrière malgré que je sois toujours maintenu cloué au lit par de nombreuses mains. Je le vois sous le nez, entrer-sortir, l’épaisse hampe luisante de sperme et de crème anale, que c’en est insensé comme vue, j’en suis littéralement fasciné.

Je bande dément par la force des choses, ma pine pointe le plafond, elle aussi plus grosse que jamais. J’en suis moi-même tout confus. Libre des mains, je me caresse. On me tord les seins, me câline de partout. Un noir me saisi à pleine main pour me masturber que j’en oublie momentanément le mal au cul tant mes fesses sont écartelées et mes entrailles envahies.

Soudain d’un retrait trop hâtif, le voilà dehors ! Sa pine semble plus grosse encore, se dresse brièvement comme pour un salut, reprend son horizontalité.

Et puis…me réinvesti férocement le fourreau d’un seul mouvement jusqu’à culée, m’arrachant un cri de douleur sous la brusque prise.

Lime quelques coups et …ressort, pour me réinvestir à nouveau sauvagement. J’ hurle qu’il arrête mais poursuis sa torture.

De nouveau quelques coups à butée et ressort.

Pour réintroduction brutale et méchante. Douleur fulgurante.

Ma parole, mais il le fait exprès.

Un autre noir dispose un coussin sous ma nuque qu’il me tire en arrière. Glissant un doigt entre mes lèvres, me fait ouvrir la bouche. Pour être investie à fond de gosier par la queue d’un noir monté accroupi sur le lit. Mon champ de vue est subitement restreint.

Je comprends, mais il est bien trop tard, qu’il s’agit d’un jeu pour eux et surtout pour mon enculeur, que c’est maintenant un quasi vrai viol. Son plaisir sans doute est de me voir souffrir, d’avoir mal. Je ne peux leurs échapper, solidement rivé entre ces mains robustes. Mon anus irrité par ces pénétrations brutales et barbares à répétitions, crie sa souffrance. Les larmes m’en montent aux yeux, Diable d’homme, quand vas t-il jouir, que cela puisse s’arrêter.

Ce fut hélas encore comme cela pendant plus de 5’, chaque réentrées cruelles me fait envie de crier de douleur, mais impossible avec cette bite plantée dans le museau. J’en oublie même le noir qui me branle toujours l’érection démente. Soudain, les amygdales inondées, je ne peux que déglutir !

Quand, je sens les mains de mon violeur se crisper dans mes cuisses, ralentir sa cadence, je devine qu’il arrive enfin à jouissance. Que celle-ci qui lui monte des entrailles, lui sera sublime et salvatrice. Pour moi aussi.

En effet, pour être copieuse, elle fut plus qu’abondante. Dire que je suis inondé, est peu dire. Je cru qu’il me remplissait les intestins avec sa lance à incendie, que cela allait me ressortir par la bouche, et à la fois par le nez et les oreilles, tant il fut copieux. Son sperme s’écoule par mon anus brulant. Bien bouter dans mes profondeurs, il garde la pose sans défaillir. C’est à mon tour de jouir, je la sens monter irrésistiblement de mes reins, elle va fuser avec force. La délivrance merveilleuse.

Je joui avec puissance. Mon 1e jet monte à une hauteur quasi inimaginable et retombe en pluie sur mon ventre et les couilles. De jets interminables, le noir me secoue toujours la verge pour en extraire les dernières goutes. Enfin, doucement l’enculeur se retire de mes tripes, sa queue n’a presque pas changé de volume. Enfin ils me relâchent de leurs étreintes, je suis littéralement vidé de toute énergie, ne sachant plus bouger ankylosé par la pose longtemps tenue. Quand finalement je puis me redresser, la tête me tourne un peu et la plupart des noirs ont disparu. Reste seulement mon inviteur et celui arrivé en premier. Ils me félicitent et me congratulent pour ma performance, et mon cul accueillant.

Ben tiens justement, il me fait un mal de chien celui là. Mon anus malmené de cette façon, mettra certainement plusieurs jours à s’en remettre. D’un verre bienfaiteur et rajusté, m’en allais d’un pas mal assuré. Je marchais quasi comme un canard, tant la gène culière me faisait mal.

Mais s’avez-vous la meilleure d’entre toute ? C’est que dans l’aventure, j’égarais ou perdis ma documentation de voyage. Je dû ainsi revenir le lendemain à cet office de tourisme, et bien sûr, par pur masochisme repassais par ce même café. Où…, je retrouvais le noir qui m’avait "invité" la veille.

Naturellement, l’on remit le couvert. Cela ce passa quasi pareil, même nombre que la veille, sauf que le géant n’était pas là ! Heureusement, ou dommage! Mais quel plaisir.

 

 

   Retour liste

 

 

 

Sam 12 fév 2011 Aucun commentaire