Jeudi 28 avril 4 28 /04 /Avr 12:25

Dans l’un des petits bosquets d’autoroute où je vais très souvent en maraude, toujours fréquenté par des hommes en recherche d’aventure éphémère comme moi, je déambulais les fesses bien visibles hors de mon short baissé à ras des cuisses. Un gars ne tarda pas à me remarquer et se frotta les mains l’une sur l’autre en un geste manipulateur comme pour se les réchauffer, comme lorsqu'on se félicite d’avance de l'élaboration d'un (mauvais) coup particulièrement raffiné, signe évident de sa hâte ou bonne envie de voir quelque chose se produire et qu’il se réjouit déjà de ses conséquences. Nous étions en fin d’après midi en plein été et il faisait une chaleur de bête, raison pour laquelle d’ailleurs j’étais très peu vêtu.

Le regardant, et me caressant les fesses, je m’enfonçais d’avantage dans les fourrés, l’entrainant volontairement ainsi à ma suite, jusqu’à un tronc d’arbre abattu de travers, aperçu précédemment.

L'homme rapproché, s'assit à califourchon sur le tronc et me fit signe de le rejoindre. D’un bras à la taille, il commença par caresser mes fesses puis, d'une main plus ferme, me fit ployer et allonger sur ses genoux. Ses mains se promenaient sur mon cul, caressaient mon postérieur avec insistance puis commencèrent à frapper, doucement d'abord, puis de plus en plus fort. Comme je gigotais un peu de trop à son goût, il attrapa de sa main libre, mes bras qu’il croisa et me maintint fermement dans le dos.

Baissa alors brusquement mon short qu’il me retira complètement, je fus cul nu à l’air, car étant sans slip. Mes globes fessiers à peine rosis, il continua ses claques. Par le bruit et mes geignements je n’entendis pas l’arrivée d’1 ou 2 autres hommes. L’un d’eux s’asseyant au sol m’écarte les jambes à l’équerre, les faisant ensuite mettre à l’horizontale posées sur ses épaules. Entreprend de m'écraser et frictionner les couilles dans ses mains. Mon tee shirt relevé sur la tête, me découvre le dos et, rabattu sur le visage sert à étouffer mes gémissements. Ma queue et mes couilles enserrées dans leur cockring, malaxées d’une main de fer me faisaient un mal de chien, hurlant vainement à gorge étouffée. Ils sont donc bien trois sur moi, et les fessées se décuplent en cadence. Les claques à mains nues pleuvent alternés sur mes globes charnus. A ce rythme, mon cul sera écarlate à brève échéance. Soudain, une accalmie de très courte durée. Hurlant de plus belle, mes fesses sont subitement comme rongées, et je comprends vite le pourquoi. L’un d’eux, armé de branches d’orties, me frotte énergiquement le postérieur avec celles-ci. Mes fesses et le dos. L’un des hommes présents, reprenant le fessage méthodique de mon derrière, j’en oublie ces insupportables piqures. La pénitence que je n’ai pas volée se poursuit ainsi encore de longues minutes, qu’enfin la punition voulue cesse. Toujours bien maintenu, les frictions urticantes se poursuivent sur mes fesses et le bas du dos. L’entre fesse n’est pas oublier. De sournois passages n’omettent pas mes couilles qui pendouillent à l'air.

Le supplice dura encore un bon moment jusqu'à ce que je sois libérer et autorisé à me redresser où je fus alors obligé que convié, à m’étendre plat dos sur le tronc penché. Des brassées d’ortie, me furent alors encore passées sur la queue et de nouveau les couilles ainsi que mon pubis imberbe. La sensation de brulure ajoutée à celle des fesses en feu, étaient démoniaques. Ne pouvant m’échapper de leur étreinte, je devais subir cette torture, sous leurs rires salaces et moqueurs.

Un nouvel homme arrivé inopinément, suggéra à mes 3 tourmenteurs, une autre position à me faire prendre. Mon tee shirt alors retiré, je me trouvai complètement nu face à leurs caprices. Soulevé des bras et jambes par eux je fus retourné sur ce tronc, toujours plat dos mais la tête en bas. Le nouveau venu baissa son pantalon dégageant une épaisse bite velue qu’il m’enfourna aussi vite en bouche. Placé à bonne hauteur et dans l’axe, poussa en conséquence son avantage jusqu’au fond de mon gosier, se faisant une gorge profonde. Me tenant fermement la tête entre ses mains en étau, sans pouvoir bouger, s’activa d’avant en arrière à son rythme sur toute la longueur de sa hampe. Se retirant à l’orée de mes lèvres, il se réinvestissait de toute sa vigueur. Sans doute pressé ou trop exacerbé, il ne tarda pas très vite à éjaculer un condensé de sperme arrosant ma luette, me faisant suffoquer et quasi étrangler. Les autres, pas en reste, se masturbaient sur mon torse, tout en me pinçant les tétons. Jusqu’à ce que l’un n’investisse à son tour mon gosier libéré, y lâchant sa ration.

Ces hommes me maculère tour à tour de leur semence.

Repus et partis de plus avec mes effets, abandonné et seul, nu et souillé, je rejoignis stoïquement le parking en exhib totale et involontaire.

Je retrouvais néanmoins mes vêtements près de ma voiture.

Plusieurs heures durant, les fourmillements urticants se firent encore sentir. Mais quels bienfaits. Mon derrière aussi durement fessé, s’en souvint plus longtemps encore. Quel régal !!

 

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Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
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