Trop, mais trop envie de me faire baiser à outrance ce soir. Je suis donc
allé sur mon parking autoroutier de prédilection. Largement pratique ce parking, entre deux accès d'autoroute qui plus est, et près d’une petite zone industrielle, dédié aux camions. En plus, il
y a toujours du monde ! Très souvent, donc des routiers, des mâles seuls, qui ont un besoin impatient de se vider les couilles. Tu viens là, tu leurs sers donc juste de trou, point
barre.
Avant toute chose, laissez-moi me présenter.
J'ai 53 ans, (déjà). Je mesure 1.80 m pour 80 kg, plutôt bien foutu, une
petite gueule d'ange ou de démon comme vous voulez. Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours été attiré par les hommes. Tout gamin, par les jeunes de mon age, très facile au
patronage ! Par la suite au service militaire, maqué alors, par un sergent instructeur super dominant, j’y ai subi nombres d’outrages et violences, et mise à dispo pas toujours volontaire.
C’est donc, dire que j’aime le SM, ainsi que les fessées, comme cela. Ainsi je suis donc ce que l'on peut appeler très vulgairement une salope, passive du cul. Mon trip, c'est d'en prendre plein
la gueule, éventuellement fond de gosier bien profond et plein le cul. Plus c’est gros d’ailleurs, mieux c’est, et en tournante, SVP. Pour cela j'aime bien ces lieux glauques et sombres, comme
les parkings, saunas et autres lieux de rencontre rapides et éphémères.
Ce soir, il fait doux,. Je porte comme d’ordinaire, juste un short et un
tee-shirt, de légères espadrilles aux pieds, mes cockrings en place, m’excitent graves. Je me suis godé, histoire de m’ouvrir et de me vidanger le rectum. J'ai garé ma voiture en entrée de
parking dans un coin tranquille et je pars en chasse, la queue exhibée pardessus la ceinture du short. Je commence à me balader dans le secteur des camions, c'est toujours ma première visite. Car
j’y fais mouche à chaque fois et celle ci ne fera pas exception, j’hume l’ambiance louche, sous pleine lune. Ce soir ils sont une douzaine garés à la queue leu leu. Je passe entre deux bahuts. Je
remonte de l'arrière vers l'avant, toujours coté droit. Arrivé à hauteur de la cabine, la porte coté passager du camion est entre ouverte et une voix grave m’interpelle de l’intérieur, me
demandant si je veux monter. Je ne cherche pas à comprendre, je grimpe. Je ferme la porte derrière moi. Devant moi, un mec balèze avec un peu de ventre, torse nu, la bite à moitié bandée sortie
d’un simple slip déjà baissé. Il me demande si je suce. Bien sur que je suce et j'avale aussi, dis-je.
Aussitôt se calant au fond de son siège, il m’invite à me mettre au
travail, en ôtant son slip, et dévoilant une bonne bite aux grosses couilles poilues manifestement bien remplies. La faible lueur du plafonnier dévoile une queue épaisse.
J'engouffre son membre et commence à le pomper, suçant son gland avec
délectation titillant le frein et agaçant son méat du bout de la langue. Elle virevolte autour de son nœud épais. Il se laisse faire avec plaisir en poussant des grognements de satisfaction. Je
malaxe ses couilles pour faire monter sa semence. Sa bite n'est pas très longue mais elle est assez large. Il me dit soudain qu'il aimerait bien me mettre mais qu’il n'a pas de capote.
Interrompant ma pipe, ça je m'en fous que je lui réponds, s'il veut me défoncer, je suis ok. Il me fait mettre à plat ventre sur la couchette, m’arrache le short, positionne son gland salivé sur
mon trou et s'enfonce d'un seul coup sec dans ma rondelle huilée en prévision. Putain le salaud de vache. Il m'a ouvert grave, je gémis sous le coup, mais je serre les dents. Il commence à me
pistonner, me traite exactement comme un trou ce que j'aime être. Avec rudesse sans réelle brutalité. Putain le pied, que je prends. Il bourrine mortel comme un malade, en cadence et il me
prévient qu'il va m'engrosser, me remplir du cul jusqu’aux amygdales. Il se cale au fond de mon cul et je sens les pulsations de sa bite ainsi que les jets puissants de foutre qu'il lâche en
grognant, s’aplatissant sur mon dos comme pour me clouer sur le matelas.
Il se retire aussi sec et m’ordonne de nettoyer sa bite. Je me retourne
plat dos devant lui et recommence à le sucer, ce parfum suave de noisettes grillées m’envoûtant les narines. Je me rassasie. S’enfonce. Il attrape alors sa CB et lance sur les ondes
:
- Salut les mecs, routiers et autres, juste une info pour vous signaler
que sur ce parking, il y a un OM salope que se fait défoncer et qui pompe super grave. Grâce à lui je vais passer une bonne nuit, satisfait. S’il y a des amateurs, profitez en.
Une réponse, ne se fait pas attendre, fuse directe dans le haut
parleur:
- Elle est à péage ta lope ? Ca m’intéresse !!
- Non, elle est gratos mais il faut la nourrir sérieux, du coté que vous
voulez.
- Cool cool, tout ça, dis lui de venir se positionner au milieu du parking
près de l'aire de pique-nique, à hauteur du camion plateau vide, qu’elle va y avoir à déguster.
Le mec me regarde et me dit :
- T'as entendu ?
- Oui Mec, merci.
- Tu sais où c'est ?
- Ben oui, j'y vais de suite.
- J’espère te revoir lorsque je repasse par ici.
- J’y viens assez souvent
pour cela….
- Parfait. Allez, casses-toi, vite fait, sinon ils vont
t'attendre.
Je descends du camion et me rajuste péniblement avec mon short déchiré
pour me diriger vers cette aire de pique-nique. J'ai l'impression maintenant que celui qui va se faire niquer, c'est bien moi. Putain, je suis excité comme une pucelle devant son premier chibre.
« Ils vont m’attendre » « Ils » au pluriel. Mais bon dieu qui ça, « ils » Je coupe direct à travers le parking pour y arriver plus vite, évitant maintenant les
autres bahuts. Y presque arrivé, j'entends une vois m'héler :
- C'est toi la salope affamée ?
Dans mon état d’habilement, cela n’est pas difficile à
deviner…
Je me retourne et voit une espèce de mastodonte dans
l'ombre.
- Oui, monsieur …
- Cool, viens ici, j'ai les couilles pleines, j’espère que tu va me les
vidanger bien fait !! …
Je m'approche de lui. La vache, mais c'est un géant, moustache tombante
comme un mongol ou approximatif. M’entraine vers les buissons tous proches, il pose une paluche semblable à une pelle sur mon épaule, m’obligeant a me baisser. Je n'ai pas le choix, je me mets
directo à genou.
- Sors mon matos, grosse salope !
Je m'exécute. Abaissant la ceinture de son son training. Ouf
!
Il m’éclate littéralement sous le nez tel un diable sortant de sa boite.
Bonjour le morceau, des couilles velues identiques à des noix de coco ! J'ai du mal à ouvrir assez la bouche pour le pomper. Putain qu’il est énorme, que c'est bon. Il me traite lui aussi comme
une pute. Il me tient fermement la tête, ses mains plaquées aux oreilles et me ramone la gueule à grands coups. J'en bave tellement c'est bon. J’éructe au bord de la nausée. A fond de gosier, il
s’active vaillamment.
- Tu te fais tirer aussi, y parait ? Dit-il ! Constatation plus
qu’une question !
Je réponds par un pénible gémissement et un hochement de tête. Je le
devine alors plus que je ne le vois, faire un signe du bras à un autre mec, dans mon dos.
- Lèves ton petit cul, m’ordonne t-il.
Un mec, arrivé par derrière, arrache brutalement ce qu’il reste de mon
short et me perfore illico la chatte. Heureusement que je viens de me faire troncher et que je suis encore lubrifié par le foutre du routier précédent parce que, putain, là je dérouille, par la
bestialité de l’assaut. Lui aussi, il doit être plus gros que normal. Je ne peux m'empêcher, la bouche encombrée, de brailler des plaintes.
- Ferme-la, salope et suce ! dit-il !
Mon enculeur me ramone le conduit culier, comme un excité. Je prends mon
pied comme rarement avant, écartelé à l’excès, férocement et sauvagement perforé. Ma cheminée à caca est honorée à l’envie. Je suis ici enfin tel un trou, me faire limer à l’excès, comme je le
souhaite. Je suis même embroché par les deux bouts. Mon enculeur est pressé mais celui que je suce prend son temps. Je sens le mec dans mes fesses, lui aussi me remplir le cul à gros jets chauds,
il décule aussi sec et est aussitôt remplacé par un autre. Le géant que je suce, a manifestement pris les choses en main. Il a l’intention de filer ma chatte à d’autres tringleurs, qui passent
les uns après les autres pendant que je le suce sans discontinuer. Putain, la mâchoire distendue me fait mal, c’est tellement bon que je commence à me caresser et me branler suavement la queue,
gonflée énorme sous l’appétence. Erreur, s’en apercevant, mon nouveau mac me colle une baffe, des claques me font rougir les fesses:
- Ne touche pas à ta bite ! M’enjoint-il.
Et, pour bien faire comprendre qui commande, il s’enfonce le dard à fond
de gosier dans la gorge et le maintient jusqu’à ce que j’étouffe. J’hoquette d’écœurements et de nausées. J’ai compris, j’obéis et en plus, bordel, j’aime ça, je ne suis qu’un vulgaire trou du
cul à combler. Je suis là, uniquement parce que je l’ai voulu, pour vider les burnes des mecs de passage, mes trous étant open à tous. Le sperme suinte de mon anus et dégouline le long de mes
jambes.
Au total, c’est quatre ou cinq mâles de suite, qui m’ont inséminé grave la
chatte, sans capotes, crachant leurs venins dans mes entrailles. Mon mac enfin se retire de ma gueule et me demande de le suivre, quasi nu, ne retrouvant pas mon short ou du moins ce qu’il en
reste ! Il se dirige vers un bahut tout proche. Je flippe d’être quasi nu à crapahuter de la sorte à sa suite risquant d’être aperçu ainsi par d’autres gus. Il ouvre la porte de son bahut et
me fait monter, m’activant des mains aux fesses. Il termine de me dessaper enlevant mon tee shirt et m’oblige de m’allonger sur la couchette.
Me fait mettre les jambes en l’air et accroche mes chevilles au plafond à
l’aide d’une sangle prévue à cet effet: je suis total, à sa merci, le cul pointant de façon outrancière.
A la faible lueur de la cabine, je le vois enfin un peu mieux. Un vrai
gorille, tant par la masse que par la pilosité, une bête. Un slave, assurément. Une queue immense. Il commence avec sa grosse paluche, par me branler. Je suis tellement exacerbé que je vais jouir
très vite. NON, NON pas comme ça. Trop rapide, je sens que je viens, s’il vous plaît NON je crie, vainement –STOP, trop tard !! Je décharge à
gros jets bouillants trop contenus sur ma poitrine, en moins de 30 secondes.- Bon ! A moi de jouir maintenant, t-il.
En disant cela, il approche son chibre démesuré de mon anus. Non, pas ça,
il est trop énorme ! Je commence à tempêter, mais à sa merci comme je suis, une main sur la bouche. Le gland a peine incéré, il temporise et soudain d’un seul élan en avant me perfore, me perce
la rondelle butant au fond de ma chatte. Putain, je dérouille mortel ! Il prend son temps, lime presqu’au retrait par à longs coups sec, violemment. J’ai l’impression d’être ouvert en deux. Je
couine de douleur, de rage, et de plaisir mêlé.
Et soudain, un flash, je me mets à gémir, frétiller du popotin, couiner
comme une femelle. Putain mais je jouis du cul. Rarement cela m’arrive, je ne suis qu’une chienne qu’on baise et il y va à fond. Et soudain je le sens jouir en moi, que dis-je, il m’inonde les
entrailles.
Le mec me détache enfin et me dit :
- Putain, ça, c'etait un très bon plan. T'as l'air aussi d'avoir pris ton
pied ! Non ?
- Oh que oui ! Ça a vraiment été génial. Pourtant j'ai horreur de me faire
défoncer du cul quand j'ai joui. Allez, tires toi, peut être se reverra t’on ! Je descends du bahut et tente de reprendre allure décente, mais difficile sans short, définitivement disparu
dans ces pérégrinations.
Total nu, je crapahute vers ma voiture, mais ma nuit n’est pas finie.
Trois autres routiers me barrent soudain le chemin et me coincent contre un camion. Je dois à nouveau les satisfaire de ma personne. Enfin parvenu à mon véhicule je peut rentrer chez moi. Quelle
soirée !!