Mercredi 22 octobre 3 22 /10 /Oct 17:13

Hier, en surfant sur un site de petites annonces coquines, je reçois un mail d’un homme pour me demander mes disponibilités. Je réponds que je suis libre généralement les mercredis après midi ainsi que souvent le samedi.

Il me répond de suite que cela ne lui va pas ! Qu'il a les couilles pleines et à besoin d'être purger au plus vite, s’il n’y aurait pas encore moyen aujourd'hui. Non plus possible, ne pouvant reporter, je dois absolument aller à l’hôpital de la ville pour une demande urgente de rendez-vous ! Il me rétorque qu’il doit aussi y aller dans 1 bonne heure !

Je ne sais pourquoi, mais je lui propose que l’on s’y retrouve.

Il est d’accord ! Nous convenons de signes de reconnaissances à l’accueil. A l’heure dite, arrivé à la réception, je le reconnais, et me fait un petit geste canaille. Je sais maintenant que c'est lui, environ la 40taine bien bâti. Je flippe légèrement comme une pucelle alors que j’ai l’habitude de ce genre de plans, et commence par le suivre, suite à son signe.

Il m'emmène par divers couloirs, pour se retrouver dans une zone très peu fréquentée. Manifestement ce doit être un coutumier pour connaitre ainsi les lieux. Je le suis vers un petit local où se trouvent plusieurs chiottes. Entre dans celle du fond, moi sur ses talons. Personne ne viendra nous déranger dit-il.

Porte fermée, il baisse son futal et m’exhibe une queue du tonnerre avec d’énormes couilles, émergeant d’une forêt de poils.

M’ordonne de me foutre à poil, ce que je fais illico étant légèrement vêtu et commence par le sucer.

Une longue et grosse queue super raide avec des couilles bien pleines que je malaxe. Je sens que je vais avoir du bon jus. Je suce faisant tourner ma langue autour du gland épais titillant le méat. Je tète à fond de gosier. Hummm C'est bon d'être ainsi. Il halète d’extase, me tenant la tête à pleine mains comme pour s’enfoncer d’avantage dans mon gosier. Tu m’as bien allumé que j’ai envie, maintenant de te la mettre au plus profond de ton cul ! J’opine du bonnet et doit alors prendre place à califourchon sur la planche du WC. A peine son gland posé sur l’anus qu’il s’empale d’un coup puissant dans mes entrailles me perforant la rondelle. Penché sur mon dos, affermissant sa prise par les mains aux genoux, il s’active avec entrain. Bientôt ses râles de satisfaction me confirment ses jets de venins dans les boyaux.

Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 22 octobre 3 22 /10 /Oct 16:48

Trop, mais trop envie de me faire baiser à outrance ce soir. Je suis donc allé sur mon parking autoroutier de prédilection. Largement pratique ce parking, entre deux accès d'autoroute qui plus est, et près d’une petite zone industrielle, dédié aux camions. En plus, il y a toujours du monde ! Très souvent, donc des routiers, des mâles seuls, qui ont un besoin impatient de se vider les couilles. Tu viens là, tu leurs sers donc juste de trou, point barre.

Avant toute chose, laissez-moi me présenter.

J'ai 53 ans, (déjà). Je mesure 1.80 m pour 80 kg, plutôt bien foutu, une petite gueule d'ange ou de démon comme vous voulez. Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours été attiré par les hommes. Tout gamin, par les jeunes de mon age, très facile au patronage ! Par la suite au service militaire, maqué alors, par un sergent instructeur super dominant, j’y ai subi nombres d’outrages et violences, et mise à dispo pas toujours volontaire. C’est donc, dire que j’aime le SM, ainsi que les fessées, comme cela. Ainsi je suis donc ce que l'on peut appeler très vulgairement une salope, passive du cul. Mon trip, c'est d'en prendre plein la gueule, éventuellement fond de gosier bien profond et plein le cul. Plus c’est gros d’ailleurs, mieux c’est, et en tournante, SVP. Pour cela j'aime bien ces lieux glauques et sombres, comme les parkings, saunas et autres lieux de rencontre rapides et éphémères.

Ce soir, il fait doux,. Je porte comme d’ordinaire, juste un short et un tee-shirt, de légères espadrilles aux pieds, mes cockrings en place, m’excitent graves. Je me suis godé, histoire de m’ouvrir et de me vidanger le rectum. J'ai garé ma voiture en entrée de parking dans un coin tranquille et je pars en chasse, la queue exhibée pardessus la ceinture du short. Je commence à me balader dans le secteur des camions, c'est toujours ma première visite. Car j’y fais mouche à chaque fois et celle ci ne fera pas exception, j’hume l’ambiance louche, sous pleine lune. Ce soir ils sont une douzaine garés à la queue leu leu. Je passe entre deux bahuts. Je remonte de l'arrière vers l'avant, toujours coté droit. Arrivé à hauteur de la cabine, la porte coté passager du camion est entre ouverte et une voix grave m’interpelle de l’intérieur, me demandant si je veux monter. Je ne cherche pas à comprendre, je grimpe. Je ferme la porte derrière moi. Devant moi, un mec balèze avec un peu de ventre, torse nu, la bite à moitié bandée sortie d’un simple slip déjà baissé. Il me demande si je suce. Bien sur que je suce et j'avale aussi, dis-je.

Aussitôt se calant au fond de son siège, il m’invite à me mettre au travail, en ôtant son slip, et dévoilant une bonne bite aux grosses couilles poilues manifestement bien remplies. La faible lueur du plafonnier dévoile une queue épaisse.

J'engouffre son membre et commence à le pomper, suçant son gland avec délectation titillant le frein et agaçant son méat du bout de la langue. Elle virevolte autour de son nœud épais. Il se laisse faire avec plaisir en poussant des grognements de satisfaction. Je malaxe ses couilles pour faire monter sa semence. Sa bite n'est pas très longue mais elle est assez large. Il me dit soudain qu'il aimerait bien me mettre mais qu’il n'a pas de capote. Interrompant ma pipe, ça je m'en fous que je lui réponds, s'il veut me défoncer, je suis ok. Il me fait mettre à plat ventre sur la couchette, m’arrache le short, positionne son gland salivé sur mon trou et s'enfonce d'un seul coup sec dans ma rondelle huilée en prévision. Putain le salaud de vache. Il m'a ouvert grave, je gémis sous le coup, mais je serre les dents. Il commence à me pistonner, me traite exactement comme un trou ce que j'aime être. Avec rudesse sans réelle brutalité. Putain le pied, que je prends. Il bourrine mortel comme un malade, en cadence et il me prévient qu'il va m'engrosser, me remplir du cul jusqu’aux amygdales. Il se cale au fond de mon cul et je sens les pulsations de sa bite ainsi que les jets puissants de foutre qu'il lâche en grognant, s’aplatissant sur mon dos comme pour me clouer sur le matelas.

Il se retire aussi sec et m’ordonne de nettoyer sa bite. Je me retourne plat dos devant lui et recommence à le sucer, ce parfum suave de noisettes grillées m’envoûtant les narines. Je me rassasie. S’enfonce. Il attrape alors sa CB et lance sur les ondes :

- Salut les mecs, routiers et autres, juste une info pour vous signaler que sur ce parking, il y a un OM salope que se fait défoncer et qui pompe super grave. Grâce à lui je vais passer une bonne nuit, satisfait. S’il y a des amateurs, profitez en.

Une réponse, ne se fait pas attendre, fuse directe dans le haut parleur:

- Elle est à péage ta lope ? Ca m’intéresse !!

- Non, elle est gratos mais il faut la nourrir sérieux, du coté que vous voulez.

- Cool cool, tout ça, dis lui de venir se positionner au milieu du parking près de l'aire de pique-nique, à hauteur du camion plateau vide, qu’elle va y avoir à déguster.

Le mec me regarde et me dit :

- T'as entendu ?

- Oui Mec, merci.

- Tu sais où c'est ?

- Ben oui, j'y vais de suite.

- J’espère te revoir lorsque je repasse par ici.

-  J’y viens assez souvent pour cela….

- Parfait. Allez, casses-toi, vite fait, sinon ils vont t'attendre.

Je descends du camion et me rajuste péniblement avec mon short déchiré pour me diriger vers cette aire de pique-nique. J'ai l'impression maintenant que celui qui va se faire niquer, c'est bien moi. Putain, je suis excité comme une pucelle devant son premier chibre. « Ils vont m’attendre » « Ils » au pluriel. Mais bon dieu qui ça, « ils » Je coupe direct à travers le parking pour y arriver plus vite, évitant maintenant les autres bahuts. Y presque arrivé, j'entends une vois m'héler :

- C'est toi la salope affamée ?

Dans mon état d’habilement, cela n’est pas difficile à deviner…

Je me retourne et voit une espèce de mastodonte dans l'ombre.

- Oui, monsieur …

- Cool, viens ici, j'ai les couilles pleines, j’espère que tu va me les vidanger bien fait !! …

Je m'approche de lui. La vache, mais c'est un géant, moustache tombante comme un mongol ou approximatif. M’entraine vers les buissons tous proches, il pose une paluche semblable à une pelle sur mon épaule, m’obligeant a me baisser. Je n'ai pas le choix, je me mets directo à genou.

- Sors mon matos, grosse salope !

Je m'exécute. Abaissant la ceinture de son son training. Ouf !

Il m’éclate littéralement sous le nez tel un diable sortant de sa boite. Bonjour le morceau, des couilles velues identiques à des noix de coco ! J'ai du mal à ouvrir assez la bouche pour le pomper. Putain qu’il est énorme, que c'est bon. Il me traite lui aussi comme une pute. Il me tient fermement la tête, ses mains plaquées aux oreilles et me ramone la gueule à grands coups. J'en bave tellement c'est bon. J’éructe au bord de la nausée. A fond de gosier, il s’active vaillamment.

- Tu te fais tirer aussi, y parait ? Dit-il ! Constatation plus qu’une question !

Je réponds par un pénible gémissement et un hochement de tête. Je le devine alors plus que je ne le vois, faire un signe du bras à un autre mec, dans mon dos.

- Lèves ton petit cul, m’ordonne t-il.

Un mec, arrivé par derrière, arrache brutalement ce qu’il reste de mon short et me perfore illico la chatte. Heureusement que je viens de me faire troncher et que je suis encore lubrifié par le foutre du routier précédent parce que, putain, là je dérouille, par la bestialité de l’assaut. Lui aussi, il doit être plus gros que normal. Je ne peux m'empêcher, la bouche encombrée, de brailler des plaintes.

- Ferme-la, salope et suce ! dit-il !

Mon enculeur me ramone le conduit culier, comme un excité. Je prends mon pied comme rarement avant, écartelé à l’excès, férocement et sauvagement perforé. Ma cheminée à caca est honorée à l’envie. Je suis ici enfin tel un trou, me faire limer à l’excès, comme je le souhaite. Je suis même embroché par les deux bouts. Mon enculeur est pressé mais celui que je suce prend son temps. Je sens le mec dans mes fesses, lui aussi me remplir le cul à gros jets chauds, il décule aussi sec et est aussitôt remplacé par un autre. Le géant que je suce, a manifestement pris les choses en main. Il a l’intention de filer ma chatte à d’autres tringleurs, qui passent les uns après les autres pendant que je le suce sans discontinuer. Putain, la mâchoire distendue me fait mal, c’est tellement bon que je commence à me caresser et me branler suavement la queue, gonflée énorme sous l’appétence. Erreur, s’en apercevant, mon nouveau mac me colle une baffe, des claques me font rougir les fesses:

- Ne touche pas à ta bite ! M’enjoint-il.

Et, pour bien faire comprendre qui commande, il s’enfonce le dard à fond de gosier dans la gorge et le maintient jusqu’à ce que j’étouffe. J’hoquette d’écœurements et de nausées. J’ai compris, j’obéis et en plus, bordel, j’aime ça, je ne suis qu’un vulgaire trou du cul à combler. Je suis là, uniquement parce que je l’ai voulu, pour vider les burnes des mecs de passage, mes trous étant open à tous. Le sperme suinte de mon anus et dégouline le long de mes jambes.

Au total, c’est quatre ou cinq mâles de suite, qui m’ont inséminé grave la chatte, sans capotes, crachant leurs venins dans mes entrailles. Mon mac enfin se retire de ma gueule et me demande de le suivre, quasi nu, ne retrouvant pas mon short ou du moins ce qu’il en reste ! Il se dirige vers un bahut tout proche. Je flippe d’être quasi nu à crapahuter de la sorte à sa suite risquant d’être aperçu ainsi par d’autres gus. Il ouvre la porte de son bahut et me fait monter, m’activant des mains aux fesses. Il termine de me dessaper enlevant mon tee shirt et m’oblige de m’allonger sur la couchette.

Me fait mettre les jambes en l’air et accroche mes chevilles au plafond à l’aide d’une sangle prévue à cet effet: je suis total, à sa merci, le cul pointant de façon outrancière.

A la faible lueur de la cabine, je le vois enfin un peu mieux. Un vrai gorille, tant par la masse que par la pilosité, une bête. Un slave, assurément. Une queue immense. Il commence avec sa grosse paluche, par me branler. Je suis tellement exacerbé que je vais jouir très vite. NON, NON pas comme ça. Trop rapide, je  sens que je viens, s’il vous plaît NON je crie, vainement –STOP, trop tard !! Je décharge à gros jets bouillants trop contenus sur ma poitrine, en moins de 30 secondes.- Bon ! A moi de jouir maintenant, t-il.

En disant cela, il approche son chibre démesuré de mon anus. Non, pas ça, il est trop énorme ! Je commence à tempêter, mais à sa merci comme je suis, une main sur la bouche. Le gland a peine incéré, il temporise et soudain d’un seul élan en avant me perfore, me perce la rondelle butant au fond de ma chatte. Putain, je dérouille mortel ! Il prend son temps, lime presqu’au retrait par à longs coups sec, violemment. J’ai l’impression d’être ouvert en deux. Je couine de douleur, de rage, et de plaisir mêlé.

Et soudain, un flash, je me mets à gémir, frétiller du popotin, couiner comme une femelle. Putain mais je jouis du cul. Rarement cela m’arrive, je ne suis qu’une chienne qu’on baise et il y va à fond. Et soudain je le sens jouir en moi, que dis-je, il m’inonde les entrailles.

Le mec me détache enfin et me dit :

- Putain, ça, c'etait un très bon plan. T'as l'air aussi d'avoir pris ton pied ! Non ?

- Oh que oui ! Ça a vraiment été génial. Pourtant j'ai horreur de me faire défoncer du cul quand j'ai joui. Allez, tires toi, peut être se reverra t’on ! Je descends du bahut et tente de reprendre allure décente, mais difficile sans short, définitivement disparu dans ces pérégrinations.

Total nu, je crapahute vers ma voiture, mais ma nuit n’est pas finie. Trois autres routiers me barrent soudain le chemin et me coincent contre un camion. Je dois à nouveau les satisfaire de ma personne. Enfin parvenu à mon véhicule je peut rentrer chez moi. Quelle soirée !!

Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 30 janvier 1 30 /01 /Jan 17:08

Par un beau et très chaud après midi d’été, j’eu envie de me rafraîchir et surtout de m’amuser un peu, et pour cela je suis allé au ciné gay situé dans un sex shop de la capitale. La petite salle gay, que je connaissais déjà par de passages précédents, environ 15-20 rangées de 2x5 sièges, était peu occupée à mon entrée, uniquement par des hommes, comme d’habitude. Une douzaine-quinzaine, tous assis, seuls et éparpillés, quelques uns la queue hors du pantalon, se caressant négligemment. Quasi indifférent au film très habituel qui passait sur l’écran - un minet à poils dans la nature au bord d’un champ, se faisait molester par deux motards, le forçant à sucer l’un, pendant que l’autre le pantalon sur les chevilles, l’enculait.

Vêtu léger, je m’installais, quasi au centre de la salle. La température rafraichie du lieu, l’envie pressente de la situation et l’endroit étant choisi à cet effet, sans hésitations aucunes et pour susciter hâtivement des convoitises, j’enlevais aussitôt directement mon short, par provocation et au vu de certains. Alors ainsi, assis le cul nu sur le fauteuil, la biroute en érection en main, je me cajole distraitement en regardant moi aussi le film.

Pas 10 secondes ne se passent, que déjà 2 hommes esseulés ayant repérés mon manège, s’approchent sournoisement et s’installent sur les sièges voisins du mien.

L’un à ma gauche pose sitôt une main possessive sur ma cuisse nue, l’autre m’empoigne le manche de la queue, tendue et raide dans ses cockrings. Me caressant l’un et l’autre, me soupesant les couilles, bien vite un doigt se fait plus inquisiteur entre mes fesses, me titillant bientôt l’anus. Derechef, étant venu en cet endroit non seulement pour m’exhiber mais aussi surtout pour avoir du plaisir, je glisse légèrement sur mon siège en écartant les genoux pour lui faciliter la caresse. Celle-ci plus pressante, je me lève, me retourne et m’agenouille sur le siège, m’accoudant au dossier du fauteuil, pointant le derrière - et l’anus - dans une position outrancière non équivoque.

Immédiatement, par l’invite non déguisée, un gland se pose très vite à mon entrée culière, lubrifiée d’avance. Un bref moment et, mon sphincter s’ouvrant docilement, il m’investi les entrailles sans hésitation, jusqu’à culée. Fourrageant comme un malade, me lime la rondelle et joui très vite. Sitôt retiré, une autre queue m’envahi aussitôt les viscères, pour elle aussi entamer une chevauchée ardente.

Plus vite encore, maintenant que mon manège est visible de tous, malgré la pénombre, un attroupement des personnes présentes, se crée alors autour de ma personne. Ainsi une bonne bite se présente illico devant ma bouche pour une pipe. Pourquoi suis-je encore venu en ce lieu ? Je ne me fais donc pas prier ! Balloté par celui qui m’honore les fesses, j’ai peine a contenir celui-ci en bouche.

Le film devenu maintenant totalement indifférent pour tous, se déroule vainement. Seuls les changements de luminosités des scènes étant perceptibles, le son reflétant qu’en a lui très bien la situation actuelle, avec ses bruits incongrus.

Mon anus, dès qu’il est libéré d’une queue, est immédiatement réassiégé par une autre. Je suis caressé, massé, pétri, sur tout le corps, le tee shirt bouchonné aux épaules, bien vite lui aussi ôté. Á part mes sandalettes, je suis mis à poils. Que dis-je, nu, car je suis épilé total du sexe et de l’entre fesses. L’on me pince les tétons, malaxe les couilles. L’un me masturbe lentement.

J’en bande énorme sous ces ravissements et l’appétence ainsi générée. Comme quoi, même à 50 balais passés, un trou offert avec complaisance reste un trou, à satisfaire et à combler. Je suis tout simplement un trou vide-couilles de salope et le revendique fièrement. Au 7e ciel, j’en redemande. Encore et encore. Le rassemblement des hommes de tout âge et origines, bourdonne et s’excite autour de moi. Pressés de se satisfaire dans mes fesses ou ma bouche. Le sperme suinte de tous mes trous.

Le jus injecté à la chaîne dans mes boyaux, ruissèle le long de mes jambes, que je peux essuyer de temps à autre avec du papier m’apporté respectueusement des toilettes. Combien sont-ils déjà à m’avoir investi le boyau anal? 6-7 déjà, en tout cas 3 en bouche, celui-ci très fin et long s’enfonçant jusqu’à la luette, me donnant la nausée. L’absorbant pour une gorge profonde, il force et pousse encore. Je parviens même à lui engloutir une couille.

Á un moment donné j’aperçu dans la pénombre, un noir tout proche, gigantesque, quasi 2 mètres, style footballeur américain, avec une queue démesurée, genre aubergine de belle taille ! Non, il va m’éventrer, pas possible que cela entre. Un appendice pareil ! Ayant subi nombre d’outrages, je n’en perds pas mon flegme.

Prenant position à son tour derrière moi, se présente et d’un seul élan, au risque de me déchirer, s’enfonce avec une facilité déconcertante jusqu’à la garde dans mon rectum, butant au fond de mes entrailles. Je le sens énorme dans mes intestins, m’occupant tout entier le fondement. J’en fini rapidement par en roucouler d’aise et gigote en cadence, malgré la contrainte. Lui aussi en profite à mort, s’astique, me lime la rondelle à outrance, s’enfonçant avec la régularité d’un métronome dans ma cheminée à caca, se retirant presque entièrement le gland tout à l’orifice de mon sphincter avant de me réinvestir avec force sur toute la longueur de sa hampe. Il procède lentement que cela dure de très longues minutes. Durant ce temps je suis toujours pétri et caressé, sur tout le corps.

Ainsi en près d’une grosse ½ heure, d’autres plus petites, grasses, tordues ou bizarrement courbées, de toutes formes ou grosseurs, à plus d’une 20taine, ils s’en donnèrent à cœur joie. Me comblant le fondement jusqu’à plus soif, quelques uns repassant même pour une 2eme distribution. A ma plus grande satisfaction d’ailleurs, m’emplissant tant et plus à tous les trous.

Á recommencer à la prochaine occasion !!

 

Retour à la liste

Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 28 avril 4 28 /04 /Avr 12:25

Dans l’un des petits bosquets d’autoroute où je vais très souvent en maraude, toujours fréquenté par des hommes en recherche d’aventure éphémère comme moi, je déambulais les fesses bien visibles hors de mon short baissé à ras des cuisses. Un gars ne tarda pas à me remarquer et se frotta les mains l’une sur l’autre en un geste manipulateur comme pour se les réchauffer, comme lorsqu'on se félicite d’avance de l'élaboration d'un (mauvais) coup particulièrement raffiné, signe évident de sa hâte ou bonne envie de voir quelque chose se produire et qu’il se réjouit déjà de ses conséquences. Nous étions en fin d’après midi en plein été et il faisait une chaleur de bête, raison pour laquelle d’ailleurs j’étais très peu vêtu.

Le regardant, et me caressant les fesses, je m’enfonçais d’avantage dans les fourrés, l’entrainant volontairement ainsi à ma suite, jusqu’à un tronc d’arbre abattu de travers, aperçu précédemment.

L'homme rapproché, s'assit à califourchon sur le tronc et me fit signe de le rejoindre. D’un bras à la taille, il commença par caresser mes fesses puis, d'une main plus ferme, me fit ployer et allonger sur ses genoux. Ses mains se promenaient sur mon cul, caressaient mon postérieur avec insistance puis commencèrent à frapper, doucement d'abord, puis de plus en plus fort. Comme je gigotais un peu de trop à son goût, il attrapa de sa main libre, mes bras qu’il croisa et me maintint fermement dans le dos.

Baissa alors brusquement mon short qu’il me retira complètement, je fus cul nu à l’air, car étant sans slip. Mes globes fessiers à peine rosis, il continua ses claques. Par le bruit et mes geignements je n’entendis pas l’arrivée d’1 ou 2 autres hommes. L’un d’eux s’asseyant au sol m’écarte les jambes à l’équerre, les faisant ensuite mettre à l’horizontale posées sur ses épaules. Entreprend de m'écraser et frictionner les couilles dans ses mains. Mon tee shirt relevé sur la tête, me découvre le dos et, rabattu sur le visage sert à étouffer mes gémissements. Ma queue et mes couilles enserrées dans leur cockring, malaxées d’une main de fer me faisaient un mal de chien, hurlant vainement à gorge étouffée. Ils sont donc bien trois sur moi, et les fessées se décuplent en cadence. Les claques à mains nues pleuvent alternés sur mes globes charnus. A ce rythme, mon cul sera écarlate à brève échéance. Soudain, une accalmie de très courte durée. Hurlant de plus belle, mes fesses sont subitement comme rongées, et je comprends vite le pourquoi. L’un d’eux, armé de branches d’orties, me frotte énergiquement le postérieur avec celles-ci. Mes fesses et le dos. L’un des hommes présents, reprenant le fessage méthodique de mon derrière, j’en oublie ces insupportables piqures. La pénitence que je n’ai pas volée se poursuit ainsi encore de longues minutes, qu’enfin la punition voulue cesse. Toujours bien maintenu, les frictions urticantes se poursuivent sur mes fesses et le bas du dos. L’entre fesse n’est pas oublier. De sournois passages n’omettent pas mes couilles qui pendouillent à l'air.

Le supplice dura encore un bon moment jusqu'à ce que je sois libérer et autorisé à me redresser où je fus alors obligé que convié, à m’étendre plat dos sur le tronc penché. Des brassées d’ortie, me furent alors encore passées sur la queue et de nouveau les couilles ainsi que mon pubis imberbe. La sensation de brulure ajoutée à celle des fesses en feu, étaient démoniaques. Ne pouvant m’échapper de leur étreinte, je devais subir cette torture, sous leurs rires salaces et moqueurs.

Un nouvel homme arrivé inopinément, suggéra à mes 3 tourmenteurs, une autre position à me faire prendre. Mon tee shirt alors retiré, je me trouvai complètement nu face à leurs caprices. Soulevé des bras et jambes par eux je fus retourné sur ce tronc, toujours plat dos mais la tête en bas. Le nouveau venu baissa son pantalon dégageant une épaisse bite velue qu’il m’enfourna aussi vite en bouche. Placé à bonne hauteur et dans l’axe, poussa en conséquence son avantage jusqu’au fond de mon gosier, se faisant une gorge profonde. Me tenant fermement la tête entre ses mains en étau, sans pouvoir bouger, s’activa d’avant en arrière à son rythme sur toute la longueur de sa hampe. Se retirant à l’orée de mes lèvres, il se réinvestissait de toute sa vigueur. Sans doute pressé ou trop exacerbé, il ne tarda pas très vite à éjaculer un condensé de sperme arrosant ma luette, me faisant suffoquer et quasi étrangler. Les autres, pas en reste, se masturbaient sur mon torse, tout en me pinçant les tétons. Jusqu’à ce que l’un n’investisse à son tour mon gosier libéré, y lâchant sa ration.

Ces hommes me maculère tour à tour de leur semence.

Repus et partis de plus avec mes effets, abandonné et seul, nu et souillé, je rejoignis stoïquement le parking en exhib totale et involontaire.

Je retrouvais néanmoins mes vêtements près de ma voiture.

Plusieurs heures durant, les fourmillements urticants se firent encore sentir. Mais quels bienfaits. Mon derrière aussi durement fessé, s’en souvint plus longtemps encore. Quel régal !!

 

Retour liste
Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 28 avril 4 28 /04 /Avr 12:24

Aventures (toujours réelles) survenues sur l’un de mes parkings favoris, un soir d’été. Température encore chaude malgré les 23 h passées, ciel dégagé tout comme le parking, bizarrement très calme et peu occupé. Le contraire ne saurait plus tarder…surtout que suite à une panne, l’éclairage y est nul, un noir presque complet propice, à peine une faible lueur de lune. Ainsi que sur une bonne portion de l’autoroute. Seul un camion et une voiture y sont stationnés épart, en plus de la mienne. C’est pourquoi, envie inextinguible ou désir immédiat de provoc, je me suis mis directo totalement nu, à part mes cockring et mes espadrilles. Déambulant de ci delà tous nerfs à vifs, le sexe tendu avec mes couilles bien gonflées ballottant allègrement, je suis prêt néanmoins à bondir dans les fourrés environnants, en cas d’alerte ou arrivée impromptue de tuniques bleues. Dans la pénombre blafarde donc toute opportune, je distingue enfin venant dans ma direction, une ombre d’abord floue se faire plus précise. Un homme ! La cinquantaine avenante, style étranger. A mon apparition, il reste comme interloqué de me voir dans mon plus simple appareil. S’approche encore et d’une main, me tâte, soupèse mes balloches, les flattent les trouvant sûrement à son idée, me plaque l’autre main aux fesses. Et, tout en me tirant par les couilles et me poussant des fesses, il me dirige vers une table et des bancs de pic nic que l’on aperçoit dans l’herbe rase, un peu à l’écart. Mon étonnement, 2 autres hommes y sont assis, non aperçus lors de mon arrivée. Ainsi ils s’y trouvaient donc déjà certainement là dans le noir, plus près que je ne l’avais cru !

N’étant venu là que pour une chose, maintenant assumons notre statut de salope soumise. Ne désirant servir que de vide couilles, j’en ai 3 paires offerte d’un coup ! Quasi parvenus contre la table, je constate qu’eux 2 sont déjà nus, sexe bandés, prêt à en découdre. L’un se lève et avec le 1e, me soulève aisément du sol pour me poser à plat dos en travers du plateau du mobilier urbain qui va à présent servir à autre chose qu’a ce qu’il a été conçu.

Le 2e par les épaules, me tire à lui, la tête penchée bien en arrière dans le vide, et à peine redressé du banc, me pousse son gros sexe contre les lèvres. Ouvrant machinalement très large celles-ci, se glisse d’abord dans ma bouche puis au fond de mon gosier. La rapidité de l’assaut n’a pas eu le temps de me surprendre, que je sens que l’on m’écarte les jambes, pendant elles aussi dans le vide de l’autre côté de la table, que l’on me tripote et caresse l’anus. S’activant impérieusement d’une gorge profonde, l’homme m’investi outrageusement la glotte me faisant tousser et étrangler tandis qu’un autre tente de s’introduire dans mon rectum. N’y parvenant pas, avec le 3e me relève les jambes sur le torse, m’humecte la rondelle d’une bonne salivation, se pose le gland sur le muscle rond ainsi dégagé, pousse avec force. Et soudain d’un seul élan m’assiège la totalité des entrailles. Abouté à culée, je le sens d’une grosseur non habituelle. Fourrageant avec vigueur à son tour, ainsi sailli par deux gros membres, je me fais l’effet d’un poulet au four sur une broche.

Bizarrement, je n’ai encore entendu aucunes paroles prononcées par ces hommes, comme ci cela était tout naturel de leur part ou arrangé d’avance. Ne faisant quand même pas aussi noir que dans un tunnel, comment n’ais je pas pu les apercevoir à mon arrivée ou finir par la suite a les distingués dans la pénombre. Donc, ils étaient déjà bien là avant ma venue, ont vu mon déshabillage et déambulations, et en on déduit leur scénario. Bien. Faisons donc honneur à ces queues, qui m’ont toutes l’air d’en avoir beaucoup à donner. Qu’elles ne soient pas trop agressives !

Me ramonant délicieusement la cheminée à caca, la queue qui m’y occupe toute entière le conduit, ralenti son allure après de multiples minutes.

Peinant et geignant de mon gosier, j’assume là également. Soudain, une brusque sensation de brulure m’indique son éjaculation copieuse s’il en est. En effet, des jets d’énormes flux de sperme m’inondent littéralement la glotte. S’enfonçant profondément le gland au plus loin qu’il lui est possible dans ma bouche, j’en ai ses poils qui me chatouillent les narines. Ne pouvant cracher, je ne peux qu’avaler à grosses goulées ce phénoménal gavage contre nature.

Reprenant sa lente allée et venue, l’enculeur poursuit son œuvre. Plus gros encore me semble t il, car lui aussi à gros jets, me rempli le rectum d’un abondant tassage. En voilà 2 de satisfait !

Je n’ai pas le temps de souffler un peu, ni même bouger que maintenu en position, ils s’inversent ou se remplace. Toujours est il que l’un des 3 reprend place tout naturellement dans mon derrière et, entreprend son culage.

Ai-je à peine le temps de cracher un peu, qu’une queue s’engouffre à nouveau en bouche jusqu’à ma luette. D’un délicat parfum suave noisette, celle-ci m’indique qu’elle vient de sortir de mon cul. Il s’invite donc pour un décrassage de bite. Je l’avale ne pouvant m’y soustraire, s’active un peu et il profite pleinement le bougre, de cette sensation de douceur buccale. S’aidant d’une main il active sa masturbation. Mon nouveau tourmenteur anal, pas en reste non plus, y va aussi de son généreux bourrage. Se retirant presque à chaque coup, il me lime méthodiquement la rondelle sur toute la longueur de sa hampe. Bientôt l’un comme l’autre, y iront de leur livraison fraîche de jus. Joyeusement repu, eux comme moi, crachant et toussant, nous repartirons aussitôt de notre côté. Reprenant meilleur aspect, essuyé, toujours nu, en voiture je roule discrètement jusqu’à la sortie suivante pour y faire demi tour, et venir de l’autre côté du parking. Bingo !, ici 3 voitures semblent être en attentent au lieu habituel, pour ce genre de pratique. M’arrêtant derrière la dernière, je temporise et attend de voir avant de bouger. Très vite, l’un des conducteurs impatient vient dans ma direction et frôle la carrosserie d’abord côté passager. Il n’a pas pu ne pas remarquer, malgré la très faible lueur, que j’étais nu. Je le vois se tripoter la braguette pour exhiber son sexe, en contournant la voiture. Ouvrant ma portière je m’assoie de guingois les pieds au sol. Contact établi, et discernant ma condition de lope d’après mon attitude, il s’invite d’autorité pour une récréation buccale. Je l’engobe volontiers et procède donc à son bonheur. Une ombre et l’arrivée d’un autre, plus jeune nous observe se masturbant alors furieusement. Très rapidement gâche sa bonne marchandise au sol à gros jets. Moment choisi par le 1e pour m’emplir la bouche de son épais sperme. Le 3e fini par nous approcher à son tour. Constatant la bonne disposition et l’ambiance agréable qu’il avait subodorée, il baise aussitôt son pantalon pour en faire jaillir un sexe énorme. La quarantaine, très velu et le teint basané, je le suppose turc. Abandonné par mon prédécesseur, tous trous vacant, il ne peu plus qu’y aller à son tour. Je l’encourage en me redressant, pivotant pour lui offrir mes fesses. Penché sur mon siège, il a saisi l’incite et se presse contre celle-ci. Fourrage gauchement quelques instants, puis …s’engouffre avec une lenteur exaspérante dans mon anus. M’écartant outrageusement les globes, il m’encombre avec vigueur et délice. Abuté à culée, il force encore. Tente, en pétrissant mes fesses de progresser encore. Diable, quelle queue épaisse et dure. Tant elle m’envahi de ténesme, que j’exulte de contentement. L’ouverture des vannes, me fais littéralement monter au ciel. Comme pas possible, il n’inonde les entrailles, j’en ressens la déferlante des nombreux jets brulants sur mes muqueuses intimes, pourtant déjà bien misent à mal depuis le début de cette soirée !

Rajusté et remis en tenue décente, je décidais de mettre fin à cette soirée.

 

Retour à la liste 

 

Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Catégories

Recherche

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés