Mardi 21 décembre 2 21 /12 /Déc 15:10

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pinces2  Des photos variées de bondages et d'étirements de mes couilles.

  Assez plaisant à subir, j'aime assez bien cette forme de torture!

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  D'autres photos avec pinces à linge ou même

cintre, sont visibles dans mon album photos!  casse noix1

 

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Lundi 20 décembre 1 20 /12 /Déc 15:15

Suite d' Aventures chez mon coiffeur.

 

Je piaffais d’impatience durant toute cette semaine, pressé d’éprouver cette nouvelle expérience contre nature et surtout non conforme par sa taille. Appréhendant cet instant, plusieurs jours de suite, je m’y préparais avec soins en m’engodant longuement à l’aide de grosses bouteilles de plastique, de façon à apprêter mon anus à cette dilatation extrême et profondément à l’aide de tube de mousse d’isolation, comme évoqué dans d’autres articles.

Ayant déjà été fisté à plusieurs reprises, ce n’est pas tant la grosseur en elle-même qui m’inquiétais vraiment, mais surtout la vivacité de l’animal. Allait-il pouvoir forniquer calmement sans coups de sabots ou autres ruades ??

Donc le lundi arrivé, je m’y rendis très vite, légèrement vêtu- quasi nu, comme à mon habitude. Sitôt parvenu, nous nous rendons dans le donjon, où il m’ordonne illico de me mettre à poils.

Lui-même fait pareil et revêt une sorte de grande cape noire que je lui connais. J’en bande énorme avec mes cockring sous l’envie pressante. Me félicite et me flatte pour ma propension et mon flegme. C’est presque la 1e fois, que je le vois à poils.

De là, nous nous dirigeons vers un appentis extérieur attenant à l’étable, sans crainte de regard indiscret de voisin, l’agencement des lieux ne le permettant manifestement pas. L’endroit 3 m sur 4 environ, ouvert au vent sur un grand côté, est couvert d’un toit ondulé. Une auge d’un coté, des ballots de foin et fourrage sur l’autre. De la paille recouvre le plancher, et là au centre de cette arène improvisée, il place un étrange banc plus haut sur pied d’un côté, avec une découpe en son centre pour ne pas s’y écraser le sexe. L’âne devinant déjà sans doute la suite des évènements, est là à quelques mètres, apparemment très calme. A part son immense engin, noir luisant, en partie couvert de poils, pendouillant mollement sous son ventre, il parait trépigné d’impatience.

« Il est toujours comme ça » me dit mon Maître. Je scrute cette matraque gigantesque en grosseur et longueur, palpitante et dodelinante, qui va bientôt m’empaler. Un manche de pioche ou une batte de base ball à coté, paraîtrait presque ridicule.

D’un geste docte de la main, il me convie enfin à prendre place sur ce trône de supplicier. Je dois m’y mettre à califourchon et à m’aplatir plat ventre sur le plateau, avec le derrière dirigé vers la partie haute. Ma queue se place tout naturellement dans la découpe y aménagée.

Un grand panneau de bois, est alors placé par dessus moi et destiné à me protéger des sabots du bestial. Une toile me protège encore le dos, d’éventuelles griffures.

Ce qui fait que maintenant mon entrée anale se trouve ajustée à quasi même hauteur que le sexe de l’âne, qu’il vient de positionner derrière moi, après m’avoir copieusement lubrifié le croupion, ses pattes avant raclant le bois au-dessus de moi. Le bestiau piétine de précipitation, son engin flagelle mes jambes et se frotte sur mes cuisses. Je commence à m’affoler et crains le déchirement de l’anus sous la brutalité de l’invasion. Dirigé de mains de …Maître, (c’est le cas de le dire) sa queue monstrueuse pour taille humaine, se positionne brièvement sur mon sphincter qu’instinctivement et brusquement, d’une unique poussée prodigieuse, il m’envahi copieusement le rectum sans la moindre hésitation. Bizarrement, je n’en ressens pas plus de mal, que cela.

Toutes paniques promptement envolées, le moment crucial passé, mes tremblements cessent comme par magie.

Poussant tant et plus, il rue, tortille et me comble rudement les entrailles d’un sexe moins gros que je ne le croyais au départ, et beaucoup moins dur aussi, à tel point qu’assez mou d’ailleurs, à culée au fond de mes viscères, je sens ce braquemart bifurquer subitement sous ses coups violent, progresser ainsi très loin dans l’entrée de mes intestins, et m’envahir le côlon descendant. Cela n’est tout simplement pas possible, j’ai une queue de 40 cm de long et de 6-7 cm de diamètre profondément fichée dans le cul ! Inouï et sensationnel. Mais quelle fabuleuse saillie. Je ronronne de bonheur et geins de plaisirs prodigieux jamais atteins auparavant. Je me trémousse en tous sens, savourant l’instant magique que je suis en train de vivre, faire durer cette plénitude le plus longtemps possible. Ce ténesme avec mon anus écartelé à outrance et vigoureusement martyrisé, est à son paroxysme. Ses poils rêches me raclent durement les fesses et me liment l’entrée culière, que je vais avoir en sang si cela continue de trop. Ce n’est pas tous les jours qu’il sera faisable de reproduire pareille insémination. Me saisissant des fesses à pleines mains, je tente inutilement de les écarteler d’avantage pour qu’il entre encore et encore. L’âne prodigue des ruades d’enfer, malgré tout très bien supportées étant donné la rudesse de l’assaut.

Mon Maître calme et jugule quelque peu l’animal, au demeurant très docile, habitué à ce genre de fécondation. Il a manifestement déjà dû en voir passer beaucoup sous lui, pour être aussi discipliné. Il gigote de l’arrière train, fornique toujours tant et plus. Je m’accroche au banc tant je suis secoué en tout sens, ses testicules cinglant avec force mes cuisses.

Je m’inquiète auprès de mon Maître, de sa disponibilité à éjaculer et lorsqu’il va y arriver, de sa quantité.

« T’inquiète pas, quelques secondes encore, et cela va te ressortir par les oreilles !!! »

En effet, soudain j’ai la très mauvaise sensation que l’on me vide du plomb fondu directement dans les entrailles. L’animal se frétille et se vide les énormes couilles en m’emplissant les intestins. J’en ai la nausée. Entre mes fesses, je sens que mon Maître assiste l’âne en continuant de le masturber partiellement et en le retenant pour qu’il ne se retire trop vite de mes chairs.

Qu’il en profite encore jusqu’au bout et moi aussi. Je me sens les boyaux inondés, par de gluantes semences et des dégoulinades de trop plein se font ressentir sur mes jambes. D’ailleurs, il ne débande pas et cogne encore dans mes viscères, avec de curieux bruits de succions et de clapotis incongrus. Plus serein à présent, l’âne n’en continue pas moins son limage méthodique de ma rondelle anale, lubrifiée comme elle ne l’a jamais été.

Maintenu en position idoine par mon Maître, celui-ci m’ordonne à présent de me branler sans tarder. J’ai à peine le temps de me prendre en main, que déjà je joui à grosses giclées. Divinement. J’en ai l’anus qui se resserre d’avantage autour du zob animal. Il joui encore le bougre me semble –t-il, toujours tenu en place dans mon conduit anal par mon Maître. Enfin, avec un énorme bruit de succion, comme une bouteille de champagne qu’on ouvre, il se retire de mon antre. Heureusement que je suis étendu sur ce banc, car je crois que j’en serais tombé à terre, inanimé. Des étoiles de syncope me pétillent dans les yeux. Oufti mé qué bé fait !! Tout cela a-t-il duré plus de 2’ ?, 3’ maximum, mais quel pied !!!

Les jours suivants, les fesses et l’anus endolori, se rappelèrent souvent à mes souvenirs. Mais quelle expérience, que j’acceptais bien volontiers de reproduire plusieurs fois de suite durant les mois suivant.

Certaines fois, un public restreint est présent. Adeptes et partisans du Maître voisins du donjon, nous sommes quelques fois ainsi à être 4 ou 5 à participer à ces séances parti cul ières. Libres d’y participer comme aide du Maître ou attachés, nous assistons impuissants attendant notre tour, aux supplices et autres tortures infligées aux autres. L’émulation faisant, que c’est à qui résistera le plus longtemps ou endurera avec flegme tel engin de martyre.

 

 

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Lundi 20 décembre 1 20 /12 /Déc 15:04

Incidemment, faisant des achats dans une grande surface, je rencontre au détour d’une allée, mon coiffeur. Bonjour, échange de banalités et autres, par courtoisie. Nous trouvant au rayon « café », il me dit aller en prendre un, à la taverne, au sortir du magasin, où je peux l’y retrouver éventuellement. Nous nous séparons et après avoir poursuivi mes achats et être passé par la caisse, je l’y rejoins. Pendant quelques minutes, nous parlons de choses et autres, du temps, de la vie etc… Peu de temps après sur le point de nous quitter, il me dit être seul chez lui tous les lundi matin, et que je peux y passer pour un autre café.

Je me doute d’autres choses de sa part, m’étonnant plus de ses envies que de ses 65 ans. J’en ai bien 55, et alors ?!

C’est donc ainsi qu’un lundi je me rendis chez lui. Habitant une très ancienne petite fermette, je le trouvais au centre de la cour occupé à bricoler sur sa tondeuse. Au bout de quelques instants et de palabres, il m’invita à entrer dans la partie cuisine pour le café. Continuant de parler de tout et de rien, tout en préparant les tasses, et comme je m’y attendais – raison secrète pour laquelle j’étais venu- la discussion s’oriente doucement coté sexe. D’ailleurs, je m’y étais discrètement préparé en mettant mon appareillage de cockring et ne portant pas de slip dans mon pantalon.

Le café servi, il me demande si je désire qu’il soit « arrosé » d’une petite goutte. Après tout, pourquoi pas, l’on sera ainsi un peu plus « euphorique ». Soudain sans à propos, il demande se qu’en penserais ma femme, si je me présenterai devant elle en étant rasé. Propos d’un coiffeur, quoi de plus normal. Mais je devine rasé d’où, il y fait allusion détournée et je répond : « rien de spécial, car non pas que je sois déjà rasé, mais en fait parce que je suis tout simplement épilé…»

 A bon fait-il, étonné qu’à mon âge je sois ainsi ! et sans doute déçu de ne pouvoir procéder lui-même à mon rasage des parties…

« Montre-moi ! » ordonnât-il subitement d’un ton sec. Ne me faisant pas prier, étant du genre soumis passif, je me levais et au centre de la pièce, m’exécutais en défaisant ma ceinture et braguette pour laisser tomber mon froc sur mes chevilles.

Sous son air abasourdi et interdit, de me voir en effet le pubis complètement imberbe, mais surtout de me voir la queue et les couilles dans ses anneaux l’enserrant, il me félicita chaudement. Du bout des doigts, il apprécia la douceur exquise de ma peau.

« T’aime les jeux de rôles et subir la soumission en esclave ? » me demande t il. Suite à ma réponse affirmative, il m’invite à remonter mon pantalon et à le suivre par l’extérieur vers les dépendances annexes de la ferme. Entré par les anciennes étables, écuries ou porcherie aménagées en buanderie, il m’entraine au fond de cette grande salle vers une épaisse et antique porte en chêne, en partie dissimulée derrière des caisses et ballots de paille. La porte, refermée à clef derrière nous, la nouvelle pièce étant un ancien cellier, se révèle être à présent une véritable salle de torture établie en donjon S/M. Des chaînes pendent ci et là du bas plafond et de pitons fichés aux murs. Les vieux caveaux en briques pour les bouteilles de vin, exposent toute une série d’objets plus divers les uns que les autres ainsi qu’une panoplie de godes de toutes tailles, que je n’ai pas le temps de passer en revue détaillée. Ai-je juste le temps de remarquer que tous ces appareils appartiennent à la panoplie sado/maso. Quoi de plus normal en fin de compte dans cet univers sombre, dédié au s/m. Un vrai magasin !!!

Déjà, il m’ordonne sèchement : « Mets-toi à poils complet, comme à ton arrivée au monde. Tu peux garder tes anneaux ! »

Après m’être exécuté, « Viens ici, face contre ce mur » me dit-il. Me saisissant par les poignets, il m’attache ceux-ci, bras largement écartés, dans des bracelets de cuirs fixés au mur à environ 1,30m de haut. Les jambes écartelées, mes chevilles subissent le même sort, sauf quelles sont reliées au bout d’une chaine d’environ 1 m de long fixée elle-même au sol,. Une large et longue planche de bois glissée entre mon torse et le mur, s’accroche à celui-ci à hauteur de mes yeux. Plus longue et passant entre mes jambes, elle est ensuite relevée à l’autre extrémité pour être accrochée à une chaîne descendant du plafond. Je suis donc maintenant en appui du ventre et à califourchon sur cette planche, bras et jambes tendus et écartés. Etiré en tous sens, les pieds hors sol, il m’est à présent quasi impossible de bouger, sauf la tête. Et encore… De plus, je ne vois rien de ce qu’il se trame dans mon dos. Mes testicules et queue en semi érection, passent dans une grande découpe pratiquée à cet usage dans la volige de bois. Me prenant la queue en main, il y attache sous le gland, le nœud coulant d’une fine cordelette. A l’autre bout, y suspend un poids conséquent, étirant ma hampe à cause de ce sacré sens de gravitation, démontré par Galileo.

Ensuite, par une légère sensation de froid suivie d’un petit massage, je réalise qu’il me lubrifie le croupion, et bientôt un gode se presse à mon entrée anale qu’il distend progressivement sous sa poussée. Le seuil franchi, il se fraye ainsi un chemin dans mes chairs intimes qu’il envahi avec force et autorité, jusqu’à culée. Maintenu bien en place à l’aide d’une cheville fixée dans un des trous percé à cet effet dans l’axe longitudinal de la planche, comme j’en ai d’autres sous les yeux, il m’occupe merveilleusement tout le rectum, ma rondelle annale étant distendue à outrance. Ce gode doit assurément être de très fort belle taille.

Un autre gode, réplique exacte d’un vrai sexe, avec son gland plus que réaliste et ses veines serpentant le long de la hampe, est placé devant ma bouche que je dois avaler. Enfoncé à l’entrée de ma gorge, il est lui aussi fixé sur la planche. Ne pouvant bientôt plus déglutir ma propre salive, une seule solution pour ce faire, redresser légèrement la tête. Cela, ayant pour effet inverse, de créer rapidement de vives douleurs dans la nuque. Rabaisser la tête quelques instant pour les atténuer… et devoir la relever à nouveau quelques secondes d’après. Cela est tout simplement diabolique, se traduisant ainsi par une fellation quasi mécanique du gode…

Ne pouvant émettre que de vagues borborygmes, je ne peux hurler sous la soudaine douleur causée par de violentes claques assenées à main nues, sur les fesses. Celles–ci tombe drues et alternativement, durant plus d’une éternelle minute, avant de s’arrêter. J’en bande cette fois, d’une façon énorme, comme peut être jamais auparavant. Ma queue, entrainée par le poids suspendu, ballote en cadence, d’avant en arrière, m’étirant encore d’avantage. Déjà, mes fesses irradient de tiédeur. Brève trêve. Avant de reprendre avec plus de forces, battues cette fois à l’aide d’une tapette et d’un martinet. Je crois hurler sans pouvoir me faire entendre, aphone à cause de ce maudit gode en bouche. Le fessier à présent, littéralement en feu, je subis et endure ce châtiment, de longs moments. Après d’interminables minutes, enfin cela cesse. Subitement, sentiments contradictoires. Encore ou non ?! Secrètement, j’en voudrais d’autres … allez savoir pourquoi ?!

Mais mon Maître arrête et viens se placer sur mon coté et s’assois sur un petit tabouret. Me saisissant la pine turgescente d’une main puis l’autre, il entreprend de me masturber doucement comme s’il trairait une vache, sauf qu’ici, il n’y a qu’un seul trayon ! Ses mains glissent alternativement en cadence, du scrotum jusqu’au gland, toujours enserré dans son nœud coulant. Diable, il a de l’endurance et du savoir faire ! Cela dure une éternité, et toujours cette pipe artificielle à ce gode en bouche ! Je sens enfin mon plaisir, que je ressens salvateur, monter progressivement de mes reins.

Soudain, j’éclate en gerbes d’artifice. Que dis-je, j’explose littéralement en de multiples éclaboussures. Je me vide car il pompe encore et encore.

Enfin, il me libère des godes et défait mes liens, j’en tombe au sol, avachi, amolli, vidé de toutes énergies.

Satisfait de notre prestation et de ma disposition de soumis, il me convie plus tard, si je le désire, à reproduire pareille séance ainsi que d’autres de mêmes genres. A 2 ou plusieurs s’il me le plait, qu’il peut aussi y organiser de petites fêtes avec d’autres participants, dominant et/ou soumis ensemble. 

 

 

Après plusieurs séances de soumission dans le donjon de mon Maître, ainsi devenu, coiffeur de son état et connaissant du monde, celui-ci m’invite si je le souhaite, à subir son âne.

En effet, dans un pré attenant à son ancienne fermette, il possède en plus de quelques moutons, d’un âne en pâture. Et s’il parait effectivement plus petit qu’un cheval, il n’en dispose pas moins d’un sexe quasi égal. Equivalent en taille, au bras bien plus musculeux d’un homme.

Que j’acceptai ainsi bien sûr très vite, d’endurer ce lundi prochain.

 

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Dimanche 19 décembre 7 19 /12 /Déc 18:16

  

 

J'ai déjà publié un article et photos me montrant avec une suture du prépuce, accompagné du lien d'une vidéo y attachée. 

suture du prépuce1 Couture à plusieurs points de la peau enveloppant le gland, à gros fil avec une grosse aiguille utilisée pour le cuir. Faut bien ça ! Vous ne pouvez probablement pas le savoir si vous ne l’avez pas encore fait, mais la peau est plus résistante et coriace que l’on ne le croit !

 

 

 

 

 

 

 

 

http://www.xtube.com/watch.php?v=rHYRm-G348-

 

 

J'aime ainsi expérimenter ce que je vois de-ci delà. Quitte à me faire mal, mais le faisant de moi-même, cela est supportable.    

L’on a que le bien que l'on se fait.

Voyez donc ici des photos de mon zob, que j’ai cloué et épinglé sur une planchette à la façon des entomologistes 

 

 

Clou01

 

 cloué2

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cela est bien agréable, être ainsi exposé et de ne pouvoir s'échapper.

 Copie de cloué21 

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Samedi 18 décembre 6 18 /12 /Déc 18:38

Il n’y a pas très longtemps, je me suis encore rendu comme à mon habitude légèrement vêtu, un vendredi soir sur un parking autoroutier des environs déjà évoqué, (la ville des loups), situé près d'une petite zone industrielle munie notamment de facilités pour les chauffeurs routiers, et suis donc entré dans les buissons accueillants pour y susciter des rencontres. Faisant mine d’uriner, j’y déambulais négligemment, les parties intimes au clair, en érection permanente car ceinturé par un savant appareillage de cockring. Pas encore grand monde comme certains soirs mais cela pouvait ne pas tarder à venir, moins de monde étant pourtant plus

« convivial » et rassurant.

en attente sur parking1-copie-1Un homme la 50aine fort bâti, ne tarda pas à s'approcher de moi, le geste non équivoque car il avait déjà sa verge en semi érection en main. Arrivé près de moi et voyant mon état non ambigu, il me soupesa derechef les parties d'une main experte, et ne tarda pas de l'autre, à me caresser l'entre fesse.

La sollicitation non dissimulée, je baissai complètement mon pantalon de training, nu en dessous, et me caressa de nouveau les fesses. Illico un doigt inquisiteur me titillant l’anus, je me déplaçais pour lui présenter mon derrière, que je lui offris de la sorte sur un plateau. Me baissant d’avantage pour lui favoriser ainsi l'entrée culière tant convoitée. Sans préparation, son gland se plaça et pressa mon anus et d'une violente poussée de sa queue épaisse à présent en totale érection, s'introduisit entre mes fesses, m'arrachant un petit cri de douleur émis sous la rudesse pourtant prévisible de l'assaut.

Me labourant à longs coups puissants et brusques de son engin de belle taille, les mains crochées dans mes hanches, son bas ventre butant fortement mes fesses à chaque bourrée, il ne tarda pas à s'épancher en plusieurs saccades, se vidant les couilles de tous leurs jus. Je ressentais nettement chacune de ses giclées brûlantes au fond de mes entrailles. Après quelques secondes de pose pour jouir du moment d’extase présent et reprendre ses esprits, il reprit ses allées et venues toujours aussi puissant et vaillant, d’abord lentement pour accélérer de plus en plus. La lubrification de mon conduit anal par son épanchement précédent le retardant, il fini pourtant après plusieurs minutes dans certains clapotis incongrus, à jouir de nouveau tout autant que la 1e fois, me sembla t-il. Sa semence visqueuse s’écoulant le long de mes jambes. 

Se retirant tout aussi brusquement qu'il n’y était entré, il me félicita pour mon cul très accueillant. En s'essuyant et se rajustant, il me dit avoir sur un chantier voisin, 3 hommes qui ne rentraient pas chez eux pour le week-end et qui aimeraient certainement eux aussi à vouloir tirer un bon coup, et donc, que si cela m'intéressais au vu de ma disposition avec un cul comme le mien, qu'il pouvait m'y conduire et m'y présenter.

J'acceptais très volontiers car cette idée ne me déplaisait absolument pas du tout. Hormis quelques triplettes avec des copains, être satisfait et ainsi violenté complaisamment par plusieurs hommes de suite en tournante, jamais cela ne m’était encore arrivé. Quel pied cela allait il donc être?

Retourné dans nos voitures, nous avons alors fait un rapide demi-tour car interdit à cet endroit et l'ai suivi à peine à 500m de là, où un immense entrepôt était effectivement en construction.

Nous dirigeant alors vers des baraquements, il ouvrit la porte de l'un d'eux et m'invitât à y entrer. 4 hommes de 25-45 ans et pas du genre mauviettes, y étaient effectivement présent et y tapaient le carton sur une très petite table encombrées de canettes de boissons diverses, cendriers et autres objets. Une petite radio diffusant une musique légère en sourdine. Il ne lui fallu pas beaucoup d'explications de ma présence, que déjà un premier commença à se déshabiller.

2 autres s'approchèrent de moi pour me palper et me désaper prestement, en quelques gestes ultra rapides étant court vêtu, me faisant apparaître totalement nu à leurs regards lubriques, exhibant ainsi ma pine fièrement dressée et mes couilles enserrées dans leurs carcans de cockring. J’en tremblais non de crainte ou de peur mais d’envie inextinguible. Ceci sur le temps que le dernier homme dégageait vite fait la table de tous ses objets. Table vers laquelle je fus aussitôt plus pousser, que dis-je porté, qu'invité à m'y rendre, plaqué de suite à plat ventre sur le plateau, les pieds au sol, la tête dans le vide vu l’étroitesse de cette table. N’y étant affalé de même pas 5 secondes que déjà une queue se pressait à ma rondelle et que, d'une féroce poussée elle m'investit les entrailles, cette fois préparée du jus du chef me sembla t’il, qui leur souhaita bon amusement avant de s'éclipser.

Le 1e, maintenant aussi nu que moi se présenta devant ma bouche, pour satisfaire buccalement son énorme engin, gros et long comme un concombre, que j'eu beaucoup de peine à engloutir tant il était gros. Celui qui me pistonnait les entrailles à coups violents devait être en manque car il ne tarda pas à se vider au fond de mon cul. M'étranglant de la pine en bouche, les mâchoires pourtant distendues au maximum, une 2e queue se pressa à ma rosette directement libérée, plus grosse encore apparemment que la précédente, il n'eu cependant aucunes difficultés à y entrer et de me labourer lui aussi le sillon. Plus long également à jouir, il me bourrait méthodiquement de toute la longueur de sa grosse hampe, se retirant presque avant chaque nouvelle introduction, s'enfonçant aussi jusqu'à la garde tout en tirant mes fesses de cotés comme pour y entrer encore davantage. Mon anus commençait à me faire mal ainsi longuement maltraité. Durant de longues minutes sans ralentir la cadence, il me lima le fondement. Enfin ses secousses brutales m'indiquèrent sa satisfaction, lui également à longues saccades de jus, dont je sentais le trop plein de sperme s'écouler les longs de mes jambes très écartées.

Un 3e s'introduisit aussi tôt la place libre, et entreprit une chevauchée démentielle. Ballotté d'avant en arrière, secoué comme un prunier, je ne pouvais plus tenir la bite que j’avais toujours en bouche sans lui faire de mal. Ma queue enflée par ses anneaux et écrasée par le rebord de la table me faisait souffrir, impossible de bouger pour la dégager étant pris en étau, bien camper sur mes pieds et arc-bouté à cette table. Bientôt enfin, ce 3e aussi arriva à une éjaculation importante. Tout ceci ce déroulant sans presque aucunes paroles de qui que ce soit, seul quelques ahanement ponctués d’autres petits bruits et râles de plaisir, meublaient l’atmosphère avec la radio.

Pour le 4e, le gros, cet énorme que j'eu tout ce temps en bouche sans qu’il n’éjacule encore, il me fit signe de me tourner à plat dos sur la table et, après m'avoir tiré les fesses légèrement dans le vide, avec un complice ils me replièrent les jambes sur la poitrine et, me les maintinrent écartelées haut levées. Dans cette position très offerte et vraiment indécente, je me faisais l'effet d'un rôti de viande sur l'étal du boucher.

Une dinde prête a être enfournée.

Son copain me plaça un coussin sous les épaules, tirant ma tête très en arrière dans le vide, me dégageant ainsi une gorge profonde dans laquelle il s'introduisit la verge encore bien vaillante, luisante d'un mélange de sperme et d'excrément. Ma crème anale d'un suave goût noisette qu’il ne me déplaisait pas de lécher. Me tenant les pieds dressés vers le plafond, sa queue au plus profond de ma gorge j'avais peine à respirer. C'est alors que l'immense pine commença à me défoncer le cul, m'écartelant les sphincters comme rarement encore auparavant.

Cette pine, la plus grosse des hommes présents, genre batte de base ball, se força méthodiquement et implacablement un passage entre mes chairs. Plus mon anus heureusement bien lubrifié se distendait, plus il entrait. Je le sentis enfin aller buter tout au fond de mon rectum. Et à la façon d'un métronome, il entreprit lui aussi de me limer la rondelle comme pour l'évaser encore et encore. D’un vrai piston de machine à vapeur, il me bourrai avec régularité. Chaque retraits et intromissions étant accompagnés de clapotis et flatuosité, le trop plein de jus s’écoulant et ruisselant sur mes fesses avant de goutter au sol.

Cette fois j'en ressentais un énorme bien être, me faisant oublier à la fois la position inconfortable, les douleurs buccales et anales.

J'en bandais toujours moi-même énormément, enserré dans mes cockrings. Cela dura très longtemps, 5’ ou d’avantage encore n’ayant plus notion du temps, ayant plus mal à garder la pose que vraiment douleur des queues qui m'emplissaient en accomplissant leur travail de sape. Il me labourait lentement le conduit anal de toute sa longueur toujours avec régularité, son pote dans ma bouche n'étant pas en reste non plus. Car lui aussi me bourrait sa pine bien vigoureusement, jusqu’à la nausée, au fond de la gorge.

Ayant donc déjà joui dans mes entrailles, sa 2e montée de semence était plus difficile a arriver, il ne tarda cependant plus à y gicler plusieurs jets de foutre brûlant, faillant m'étouffer. Toussotant même un surplus par les narines. L'espèce d'étau limeur qui se trouvait entre mes fesses écartelées au maximum, fini lui aussi à jouir de façon incroyable comme s'il voulait me remplir les intestins. J’en ressentais les nombreuses giclées épaisses et brûlantes au plus profond de mon corps.

Quel bonheur j’en ressenti d’être ainsi honoré, mais quel soulagement aussi cela fût pour moi, lorsqu’ils se retirèrent enfin, l’un e l’autre!

 présent libéré des bites mais ankylosé par la position longuement tenue, je restais là incapable de bouger, la pine dressée comme un cierge écarlate entre mes jambes toujours hautes levées.

Alors l'un des hommes restés à nous regarder et nous complimentés, m’ayant déjà honoré lui aussi de sa queue s'approchât et saisissant une chaise, s'assit près de mon derrière. Il me prit le sexe du bout de 2 doigts comme s'il avait peur de me toucher, et y effectuât quelques lentes montées et descentes. Couvrant et découvrant mon gland de façon majestueuse, il me branlait petit à petit, glissant entre ses doigts .

Par de petits mouvements du bassin je fini par lui faire comprendre que j’appréciais énormément, l'invitais ainsi et l'aidais à continuer la branlette qu’il me prodiguai et que je savais venir salvatrice. Mon éjaculation, ma libération, ma délivrance, cette fois à moi. Tout en poursuivant sa lente masturbation, de l'autre main, il me câlinât alors la rondelle, toujours dégagée exposée et ruisselante, d'un doigt qui se fit bientôt plus curieux.

Les autres hommes sans mots dire, sachant peut être ou devinant la suite des opérations, se rapprochèrent pour me caresser le corps, mais surtout me tenir sans bouger comme cloué sur la table.

Comme si à présent j’aurais voulut m’échapper.

Je devinais maintenant à mon tour très bien la suite des événements. Et cela ne tarda plus.

Le 1e doigt me titillant la rosette fut bientôt rejoint par un 2e, puis un 3e, ensuite la paume de la main tendant de se forcer un passage, ne me laissant plus aucun doute quant à ses intentions imminentes. Ayant déjà été enculé par des sexes et des godes énormes, ce n’étais pas ce fist maintenant attendu qui me faisait frayeur.

A ce moment ce n'était plus que moi qui me branlais, en maintenant les légers mouvements de haut en bas de mon bassin, entre ses doigts immobiles d’une main. Crispé, je me

calmes d’une détente en avant de mon abdomen, m’empalant moi-même sur son autre main finissant ainsi par entrer toute entière dans mon cul huilé par tout ce foutre, dilatant à l’extrême mon croupion. Le ténesme était à son paroxysme.

Mon anus ainsi dilaté, je cru qu'il allait finir par se déchirer. Poursuivant son avancée triomphale et glorieuse, ce fût bientôt le poignet qui suivi. Du bout des doigts tout au fond de mon rectum, il me gratouillait les parois internes me donnant la sensation d'être rongé de l'intérieur par des fourmis cannibales. De rotations du poignet, il me chatouillait de partout, auscultant l’entée du colon, me distendant outrageusement les chairs en écartelant ses doigts. Cette sensation étrange de bien-être suprême mélangée de douleur quasi insupportable, mais quel pied ce fût !

Je sentais maintenant ma jouissance monter, monter inexorablement de mes reins. Cela va bientôt éclater en une fontaine, je sens la montée irrésistible de ma semence. Je tente de la retarder vainement jusqu’ au paroxysme. Peine perdue. L’arrivée d’un 1e jet, violent et subi, monta très haut pour retomber comme un feu d'artifice, d'arti…fesse plutôt, suivi d'autres et encore d'autres. Inouï. Je cru me lâcher de plusieurs litres, la tête euphorique à la limite de la perte de conscience.

Jamais je n’avais joui ainsi me sembla-t-il !

Les doigts qui m’investiguaient me chatouillant toujours autant, mon anus se resserra plus fort encore autour du poignet qui le distendait. Son retrait fût d’ailleurs assez pénible causée par ma brusque crispation anale. Maintenant libéré de toutes ses étreintes, la tête euphorique, je pus enfin souffler et reprendre mes esprits. A peine s’était il pourtant passé ¾ H depuis mon entrée dans la roulotte.

Redressé et adossé à la table, j’étais malgré tout sur ma faim ayant encore envie de jouir, le sexe toujours tendu. M’empoignant alors à nouveau d’une main ferme, je me rebranle. Bien vite c’est de nombreuses et courtes giclées qui furent ainsi saluées d’admiration par mon public aux premières loges.

Après m’être essuyé et rhabillé, je quittais heureux moi aussi, ces hommes content de leur petite soirée. J’en gardais longtemps le souvenir, mon anus distendu et trituré ainsi se rappelant souvent à moi durant les jours qui suivirent.

Quelques 2 ou 3 semaines plus tard également un vendredi soir, je m’y rendis de moi-même à nouveau à cet endroit, espérant y provoquer et susciter une nouvelle rencontre, en y retrouvant certain de ces protagonistes ou d’autres, mais peine perdue.

Le chantier en phase terminale était à présent désert, plus de baraquements non plus. Ce qui mit fin définitivement à une histoire bien éphémère, mais il en eu d’autres, quasi simultanées.

 

 

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Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
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