Samedi 18 décembre 6 18 /12 /Déc 18:38

Il n’y a pas très longtemps, je me suis encore rendu comme à mon habitude légèrement vêtu, un vendredi soir sur un parking autoroutier des environs déjà évoqué, (la ville des loups), situé près d'une petite zone industrielle munie notamment de facilités pour les chauffeurs routiers, et suis donc entré dans les buissons accueillants pour y susciter des rencontres. Faisant mine d’uriner, j’y déambulais négligemment, les parties intimes au clair, en érection permanente car ceinturé par un savant appareillage de cockring. Pas encore grand monde comme certains soirs mais cela pouvait ne pas tarder à venir, moins de monde étant pourtant plus

« convivial » et rassurant.

en attente sur parking1-copie-1Un homme la 50aine fort bâti, ne tarda pas à s'approcher de moi, le geste non équivoque car il avait déjà sa verge en semi érection en main. Arrivé près de moi et voyant mon état non ambigu, il me soupesa derechef les parties d'une main experte, et ne tarda pas de l'autre, à me caresser l'entre fesse.

La sollicitation non dissimulée, je baissai complètement mon pantalon de training, nu en dessous, et me caressa de nouveau les fesses. Illico un doigt inquisiteur me titillant l’anus, je me déplaçais pour lui présenter mon derrière, que je lui offris de la sorte sur un plateau. Me baissant d’avantage pour lui favoriser ainsi l'entrée culière tant convoitée. Sans préparation, son gland se plaça et pressa mon anus et d'une violente poussée de sa queue épaisse à présent en totale érection, s'introduisit entre mes fesses, m'arrachant un petit cri de douleur émis sous la rudesse pourtant prévisible de l'assaut.

Me labourant à longs coups puissants et brusques de son engin de belle taille, les mains crochées dans mes hanches, son bas ventre butant fortement mes fesses à chaque bourrée, il ne tarda pas à s'épancher en plusieurs saccades, se vidant les couilles de tous leurs jus. Je ressentais nettement chacune de ses giclées brûlantes au fond de mes entrailles. Après quelques secondes de pose pour jouir du moment d’extase présent et reprendre ses esprits, il reprit ses allées et venues toujours aussi puissant et vaillant, d’abord lentement pour accélérer de plus en plus. La lubrification de mon conduit anal par son épanchement précédent le retardant, il fini pourtant après plusieurs minutes dans certains clapotis incongrus, à jouir de nouveau tout autant que la 1e fois, me sembla t-il. Sa semence visqueuse s’écoulant le long de mes jambes. 

Se retirant tout aussi brusquement qu'il n’y était entré, il me félicita pour mon cul très accueillant. En s'essuyant et se rajustant, il me dit avoir sur un chantier voisin, 3 hommes qui ne rentraient pas chez eux pour le week-end et qui aimeraient certainement eux aussi à vouloir tirer un bon coup, et donc, que si cela m'intéressais au vu de ma disposition avec un cul comme le mien, qu'il pouvait m'y conduire et m'y présenter.

J'acceptais très volontiers car cette idée ne me déplaisait absolument pas du tout. Hormis quelques triplettes avec des copains, être satisfait et ainsi violenté complaisamment par plusieurs hommes de suite en tournante, jamais cela ne m’était encore arrivé. Quel pied cela allait il donc être?

Retourné dans nos voitures, nous avons alors fait un rapide demi-tour car interdit à cet endroit et l'ai suivi à peine à 500m de là, où un immense entrepôt était effectivement en construction.

Nous dirigeant alors vers des baraquements, il ouvrit la porte de l'un d'eux et m'invitât à y entrer. 4 hommes de 25-45 ans et pas du genre mauviettes, y étaient effectivement présent et y tapaient le carton sur une très petite table encombrées de canettes de boissons diverses, cendriers et autres objets. Une petite radio diffusant une musique légère en sourdine. Il ne lui fallu pas beaucoup d'explications de ma présence, que déjà un premier commença à se déshabiller.

2 autres s'approchèrent de moi pour me palper et me désaper prestement, en quelques gestes ultra rapides étant court vêtu, me faisant apparaître totalement nu à leurs regards lubriques, exhibant ainsi ma pine fièrement dressée et mes couilles enserrées dans leurs carcans de cockring. J’en tremblais non de crainte ou de peur mais d’envie inextinguible. Ceci sur le temps que le dernier homme dégageait vite fait la table de tous ses objets. Table vers laquelle je fus aussitôt plus pousser, que dis-je porté, qu'invité à m'y rendre, plaqué de suite à plat ventre sur le plateau, les pieds au sol, la tête dans le vide vu l’étroitesse de cette table. N’y étant affalé de même pas 5 secondes que déjà une queue se pressait à ma rondelle et que, d'une féroce poussée elle m'investit les entrailles, cette fois préparée du jus du chef me sembla t’il, qui leur souhaita bon amusement avant de s'éclipser.

Le 1e, maintenant aussi nu que moi se présenta devant ma bouche, pour satisfaire buccalement son énorme engin, gros et long comme un concombre, que j'eu beaucoup de peine à engloutir tant il était gros. Celui qui me pistonnait les entrailles à coups violents devait être en manque car il ne tarda pas à se vider au fond de mon cul. M'étranglant de la pine en bouche, les mâchoires pourtant distendues au maximum, une 2e queue se pressa à ma rosette directement libérée, plus grosse encore apparemment que la précédente, il n'eu cependant aucunes difficultés à y entrer et de me labourer lui aussi le sillon. Plus long également à jouir, il me bourrait méthodiquement de toute la longueur de sa grosse hampe, se retirant presque avant chaque nouvelle introduction, s'enfonçant aussi jusqu'à la garde tout en tirant mes fesses de cotés comme pour y entrer encore davantage. Mon anus commençait à me faire mal ainsi longuement maltraité. Durant de longues minutes sans ralentir la cadence, il me lima le fondement. Enfin ses secousses brutales m'indiquèrent sa satisfaction, lui également à longues saccades de jus, dont je sentais le trop plein de sperme s'écouler les longs de mes jambes très écartées.

Un 3e s'introduisit aussi tôt la place libre, et entreprit une chevauchée démentielle. Ballotté d'avant en arrière, secoué comme un prunier, je ne pouvais plus tenir la bite que j’avais toujours en bouche sans lui faire de mal. Ma queue enflée par ses anneaux et écrasée par le rebord de la table me faisait souffrir, impossible de bouger pour la dégager étant pris en étau, bien camper sur mes pieds et arc-bouté à cette table. Bientôt enfin, ce 3e aussi arriva à une éjaculation importante. Tout ceci ce déroulant sans presque aucunes paroles de qui que ce soit, seul quelques ahanement ponctués d’autres petits bruits et râles de plaisir, meublaient l’atmosphère avec la radio.

Pour le 4e, le gros, cet énorme que j'eu tout ce temps en bouche sans qu’il n’éjacule encore, il me fit signe de me tourner à plat dos sur la table et, après m'avoir tiré les fesses légèrement dans le vide, avec un complice ils me replièrent les jambes sur la poitrine et, me les maintinrent écartelées haut levées. Dans cette position très offerte et vraiment indécente, je me faisais l'effet d'un rôti de viande sur l'étal du boucher.

Une dinde prête a être enfournée.

Son copain me plaça un coussin sous les épaules, tirant ma tête très en arrière dans le vide, me dégageant ainsi une gorge profonde dans laquelle il s'introduisit la verge encore bien vaillante, luisante d'un mélange de sperme et d'excrément. Ma crème anale d'un suave goût noisette qu’il ne me déplaisait pas de lécher. Me tenant les pieds dressés vers le plafond, sa queue au plus profond de ma gorge j'avais peine à respirer. C'est alors que l'immense pine commença à me défoncer le cul, m'écartelant les sphincters comme rarement encore auparavant.

Cette pine, la plus grosse des hommes présents, genre batte de base ball, se força méthodiquement et implacablement un passage entre mes chairs. Plus mon anus heureusement bien lubrifié se distendait, plus il entrait. Je le sentis enfin aller buter tout au fond de mon rectum. Et à la façon d'un métronome, il entreprit lui aussi de me limer la rondelle comme pour l'évaser encore et encore. D’un vrai piston de machine à vapeur, il me bourrai avec régularité. Chaque retraits et intromissions étant accompagnés de clapotis et flatuosité, le trop plein de jus s’écoulant et ruisselant sur mes fesses avant de goutter au sol.

Cette fois j'en ressentais un énorme bien être, me faisant oublier à la fois la position inconfortable, les douleurs buccales et anales.

J'en bandais toujours moi-même énormément, enserré dans mes cockrings. Cela dura très longtemps, 5’ ou d’avantage encore n’ayant plus notion du temps, ayant plus mal à garder la pose que vraiment douleur des queues qui m'emplissaient en accomplissant leur travail de sape. Il me labourait lentement le conduit anal de toute sa longueur toujours avec régularité, son pote dans ma bouche n'étant pas en reste non plus. Car lui aussi me bourrait sa pine bien vigoureusement, jusqu’à la nausée, au fond de la gorge.

Ayant donc déjà joui dans mes entrailles, sa 2e montée de semence était plus difficile a arriver, il ne tarda cependant plus à y gicler plusieurs jets de foutre brûlant, faillant m'étouffer. Toussotant même un surplus par les narines. L'espèce d'étau limeur qui se trouvait entre mes fesses écartelées au maximum, fini lui aussi à jouir de façon incroyable comme s'il voulait me remplir les intestins. J’en ressentais les nombreuses giclées épaisses et brûlantes au plus profond de mon corps.

Quel bonheur j’en ressenti d’être ainsi honoré, mais quel soulagement aussi cela fût pour moi, lorsqu’ils se retirèrent enfin, l’un e l’autre!

 présent libéré des bites mais ankylosé par la position longuement tenue, je restais là incapable de bouger, la pine dressée comme un cierge écarlate entre mes jambes toujours hautes levées.

Alors l'un des hommes restés à nous regarder et nous complimentés, m’ayant déjà honoré lui aussi de sa queue s'approchât et saisissant une chaise, s'assit près de mon derrière. Il me prit le sexe du bout de 2 doigts comme s'il avait peur de me toucher, et y effectuât quelques lentes montées et descentes. Couvrant et découvrant mon gland de façon majestueuse, il me branlait petit à petit, glissant entre ses doigts .

Par de petits mouvements du bassin je fini par lui faire comprendre que j’appréciais énormément, l'invitais ainsi et l'aidais à continuer la branlette qu’il me prodiguai et que je savais venir salvatrice. Mon éjaculation, ma libération, ma délivrance, cette fois à moi. Tout en poursuivant sa lente masturbation, de l'autre main, il me câlinât alors la rondelle, toujours dégagée exposée et ruisselante, d'un doigt qui se fit bientôt plus curieux.

Les autres hommes sans mots dire, sachant peut être ou devinant la suite des opérations, se rapprochèrent pour me caresser le corps, mais surtout me tenir sans bouger comme cloué sur la table.

Comme si à présent j’aurais voulut m’échapper.

Je devinais maintenant à mon tour très bien la suite des événements. Et cela ne tarda plus.

Le 1e doigt me titillant la rosette fut bientôt rejoint par un 2e, puis un 3e, ensuite la paume de la main tendant de se forcer un passage, ne me laissant plus aucun doute quant à ses intentions imminentes. Ayant déjà été enculé par des sexes et des godes énormes, ce n’étais pas ce fist maintenant attendu qui me faisait frayeur.

A ce moment ce n'était plus que moi qui me branlais, en maintenant les légers mouvements de haut en bas de mon bassin, entre ses doigts immobiles d’une main. Crispé, je me

calmes d’une détente en avant de mon abdomen, m’empalant moi-même sur son autre main finissant ainsi par entrer toute entière dans mon cul huilé par tout ce foutre, dilatant à l’extrême mon croupion. Le ténesme était à son paroxysme.

Mon anus ainsi dilaté, je cru qu'il allait finir par se déchirer. Poursuivant son avancée triomphale et glorieuse, ce fût bientôt le poignet qui suivi. Du bout des doigts tout au fond de mon rectum, il me gratouillait les parois internes me donnant la sensation d'être rongé de l'intérieur par des fourmis cannibales. De rotations du poignet, il me chatouillait de partout, auscultant l’entée du colon, me distendant outrageusement les chairs en écartelant ses doigts. Cette sensation étrange de bien-être suprême mélangée de douleur quasi insupportable, mais quel pied ce fût !

Je sentais maintenant ma jouissance monter, monter inexorablement de mes reins. Cela va bientôt éclater en une fontaine, je sens la montée irrésistible de ma semence. Je tente de la retarder vainement jusqu’ au paroxysme. Peine perdue. L’arrivée d’un 1e jet, violent et subi, monta très haut pour retomber comme un feu d'artifice, d'arti…fesse plutôt, suivi d'autres et encore d'autres. Inouï. Je cru me lâcher de plusieurs litres, la tête euphorique à la limite de la perte de conscience.

Jamais je n’avais joui ainsi me sembla-t-il !

Les doigts qui m’investiguaient me chatouillant toujours autant, mon anus se resserra plus fort encore autour du poignet qui le distendait. Son retrait fût d’ailleurs assez pénible causée par ma brusque crispation anale. Maintenant libéré de toutes ses étreintes, la tête euphorique, je pus enfin souffler et reprendre mes esprits. A peine s’était il pourtant passé ¾ H depuis mon entrée dans la roulotte.

Redressé et adossé à la table, j’étais malgré tout sur ma faim ayant encore envie de jouir, le sexe toujours tendu. M’empoignant alors à nouveau d’une main ferme, je me rebranle. Bien vite c’est de nombreuses et courtes giclées qui furent ainsi saluées d’admiration par mon public aux premières loges.

Après m’être essuyé et rhabillé, je quittais heureux moi aussi, ces hommes content de leur petite soirée. J’en gardais longtemps le souvenir, mon anus distendu et trituré ainsi se rappelant souvent à moi durant les jours qui suivirent.

Quelques 2 ou 3 semaines plus tard également un vendredi soir, je m’y rendis de moi-même à nouveau à cet endroit, espérant y provoquer et susciter une nouvelle rencontre, en y retrouvant certain de ces protagonistes ou d’autres, mais peine perdue.

Le chantier en phase terminale était à présent désert, plus de baraquements non plus. Ce qui mit fin définitivement à une histoire bien éphémère, mais il en eu d’autres, quasi simultanées.

 

 

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Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
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