Mardi 4 janvier 2 04 /01 /Jan 16:06


Suite de la parie précédente :

 

Chemin faisant vers le building de mon nouveau pote Alain, allant ainsi le chercher à l’heure convenue comme promis auparavant, je m’inquiète de sa présence et disponibilité réelle. Vague et fausse inquiétude en arrivant devant chez lui. Il s’y trouve effectivement à m’y attendre. Je constate, le début de saison le permettant déjà (nous ne sommes qu’en mai), qu’il a adopté une tenue assez légère, comme je les affectionne, short/tee shirt/basket.

Monté en voiture, je l’informe brièvement d’où nous allons et de ce que nous allons y faire ensemble, et me voyant moi-même le sexe libre comme un oiseau lorsque je suis habituellement en voiture, il s’exhibe pareillement en baissant complètement le short sur les chevilles. Pas de slip, le sexe très tendu, ferme et rigide, surgit palpitant de tension nerveuse trop contenue, envie brûlante de satisfaire auquel nous allons bientôt y remédier.

L’accès de l’autoroute étant d’ailleurs assez proche afin d’accéder à mon endroit de jeu habituel et n’ayant donc maintenant plus rien à craindre genre arrêt impromptu de la police ou autre, je lui ordonne de se désaper complètement, ce qu’il fait de suite sans rechigner. Pour notre 2e rencontre, c’est donc déjà une toute jeune et nouvelle lope apparemment très bien obéissante et soumise, que j’ai à mes cotés. Bon augure pour les suites à venir.

Le trajet étant de courte durée, j’arrive très rapidement sur mon parking de prédilection et m’arrête à l’endroit que j’affectionne le plus, car assez isolé dès l’entrée mais déjà très connu de certains initiés. Je sors alors de voiture emportant une pochette contenant tout un petit matériel divers qui me et nous viendra très bien à point le moment venu, tout en lui disant de me suivre directo dans les buissons tous proches, comme il est c'est-à-dire nu !

Jouant ici un rôle de Maître autoritaire, n’oublions jamais non plus que je suis avant toute chose aussi une lope passive/soumise, exhib tendance maso. Je vais donc poursuivre son éducation et initiation, de ce que je connais. Le faire progresser selon mes envies mais en respectant ses désirs et limites.

Suffisamment introduit dans la futaie, j’adopte aussitôt tout comme lui la même tenue, donc tout nu, et m’adosse à un arbre face au sens de circulation afin de pouvoir quand même observer les allées et venues à travers les branchages encore assez épars. Son corps juvénile, sec élancé sans graisse superflue, bref bien taillé comme on dit, est parfait. Lui, en admiration face à moi (c’est la 1e fois qu’il me voit complètement et totalement nu) épilé qui plus est et avec mes cockring enserrant ma queue et mes couilles, s’agenouille religieusement et entreprend d’initiative de me flatter la bite en la suçotant et me caresser les couilles. Appréciant le geste courtois, je le laisse poursuivre sa maladroite fellation quelques instants trop brefs. Car hélas ou heureux présage, une voiture arrive bientôt. Mine de rien comme indifférent, je laisse Alain continuer à me sucer, lui donnant quelques directives.

Arrêté pas très loin de la mienne, un homme sort de sa voiture pour se diriger directement en pas décidés vers nos fourrés.

Y entré, l’homme, le sexe en main déjà en érection, sachant ce qu’il allait forcément y trouver, raison de sa présence en cet endroits, reste néanmoins interloqué en nous voyant totalement nu et en action. Lui faisant alors signe d’approcher, je le perçois le sexe pas trop gros.

Parfait pour la suite de l’initiation. Je dis à ma lope de continuer à me sucer mais de redresser son derrière, qu’un homme va la lui mettre au cul en même temps. L’invitation alors non équivoque du postérieur ainsi pointé, je lui facilite encore d’avantage l’accès convoité, en écartant les fesses présentées, lubrifiant l’œillet rosâtre quasi neuf et non rodé, sur lequel ainsi cet homme y pose son gland, dont il force illico sauvagement l’anus.

Là, je crains pour la rondelle juvénile de ma lope car il est relativement violant, me semble-t-il. S’active alors avec vigueur, lui bourrant le derrière à grands et longs coups de reins. J’ai peur du matériel qu’il malmène autant, j’appréhende aussi qu’il n’y dégoute mon domi d’être rudoyée de la sorte. Mais celle-ci roucoule néanmoins de plaisir, gigotant du popotin pour mieux apprécier. Mais, très rapide, à ses mimiques de satisfaction et râles de plaisirs, je réalise qu’il arrive rapidement à ses fins. Ejacule longuement dans ce postérieur avant de disparaître aussi vite qu’il n’était arrivé.

Pour moi, ce n’est que la 2e fois, qu’il assume un chibre dans le cul ! Inouï cette disposition, aurais-je affaire à un phénomène ?

N’étant pas prêt de jouir mais de continuer a m’amuser un peu, histoire de poursuivre le dressage de mon esclave, je lui dis de se tenir droit, les bras levés écartelés que je vais maintenant l’attacher aux arbres voisins.

Je vais ainsi pouvoir lui raser le torse et son sexe trop poilu. Il doit me ressembler, moi qui suis épilé de partout, et sortant de fines cordes et le rasoir/rabot de ma sacoche, je le ligote ainsi en croix, écartelé entre les troncs d’arbres. Ne pouvant se détacher seul, il est tout à ma bienveillance. Prudemment afin de ne pas le couper, à sec, les poils ne tardent pas à tomber au sol. Le frictionnant de crème après rasage, bientôt imberbe, il ressemble à une statue grecque. Il embaume de senteurs poivrées tous les environs. Je poursuis le rasage entre les fesses, lui rendant également la raie culière aussi lisse qu’une piste de ski. Du sperme de la sodomie précédente suinte encore de son anus et coule sur ses jambes.

Tout occupé, je ne vois pas qu’un autre homme arrive, la quarantaine orgueilleuse. Nous félicitant de notre présence et situation bouffonne, il ricane bêtement de la suite qu’il envisage déjà tout à son profit. Deux corps nus lui offert ainsi à souhait et dans cette situation, quasi sur un plateau ? Qu’allait – il pouvoir en faire pour en disposer à sa guise ?

Baissant pantalon, il expose un énorme sexe nettement beaucoup plus gros et épais que celui de l’homme précédent. Mon tour étant d'ailleurs venu, c’est donc moi qui m’y colle. Le suçant d’abord un peu, il me saisi fermement la tête d’une main sur chaque oreille, s’enfonce le chibre de toute sa longueur dans ma bouche s’y faisant une gorge profonde. S’active quelques instant en me chatouillant la luette de son épais gland, me donnant envie de gerber avant de se retirer aussi brutalement. Me retournant illico telle une crêpe et de m’investir tout aussi férocement les chairs de son énorme sexe. Heureusement que mon anneau, lubrifié et prêt depuis belle lurette à ce genre d’action, ne m’as pas fait crié, à ce viol simulé !

Face à ma pute en érection toujours attachée en croix, penché vers lui, ballotté et ne sachant où me retenir, c’est donc tout naturellement que je l’engobe. Et me cramponnant à ses hanches, mon roulis s’estompe. Après tout, antérieurement c’était l’inverse ! J’exulte, mon bourreau me comble d’aise à grands coups vigoureux. Je le ressens gros et épais, me comblant d’aise. Lui aussi finira très vite par m’inonder les entrailles à gros jets puissants et a s’éloigner. Mes fesses ruissèlent elles aussi du trop plein reçu.

Détaché, je promène alors ma lope comme un petit chien obéissant que j’exhibe ainsi l’orée des buissons en pâture à d’autres hommes de passage, qui profiteront ainsi le plus souvent en alternance, de nos fesses.

C’est comme cela que durant cet après midi en un peu plus de 2 H et à tour de rôle pour ne pas rester en reste, nous avons ainsi analement la plus part du temps, contenté une douzaine d’hommes. 6 chacun. Pour une première, cela fut très bien !

S’exhibant complaisamment à chaque nouvelle arrivée, nous nous épaulions ainsi mutuellement, évitant de mauvaises rencontres toujours possibles, surtout lorsqu’on est ainsi seul.

Il en fût pareil chaque mercredi après midi durant de longues semaines, soulageant à chaque fois une moyenne de 12 à 15 hommes. Lorsqu’il faisait trop mauvais à cause de pluie par exemple, nous n’y allions alors que le samedi, toujours au même endroit, parce que l’on finissait par y rencontrer souvent les mêmes personnes devenant des habitués.

Quelque fois aussi le vendredi en début de soirée, ce n’était pas mal non plus, la présence d’hommes y étant même plus importante. A certains moments l’affluence était telle, qu’envahi chacun du cul, nous en avions encore un autre impatient en bouche. Et une fois, un 5e, pressé ou exhib lui aussi, qui se branlait furieusement en nous regardant tous.

Tout ayant une fin, celle-ci le fût, hélas, de façon brutale.

Un jour en effet j’appris son décès avec 2 autres jeunes, dans un accident de circulation très spectaculaire et violant, qui mis en émoi la population de la ville à cause de la popularité de l’une des victimes. Innocent et non responsable, c’est ainsi que je perdis un très bon ami.

 

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Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
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