Lundi 20 décembre 1 20 /12 /Déc 15:15

Suite d' Aventures chez mon coiffeur.

 

Je piaffais d’impatience durant toute cette semaine, pressé d’éprouver cette nouvelle expérience contre nature et surtout non conforme par sa taille. Appréhendant cet instant, plusieurs jours de suite, je m’y préparais avec soins en m’engodant longuement à l’aide de grosses bouteilles de plastique, de façon à apprêter mon anus à cette dilatation extrême et profondément à l’aide de tube de mousse d’isolation, comme évoqué dans d’autres articles.

Ayant déjà été fisté à plusieurs reprises, ce n’est pas tant la grosseur en elle-même qui m’inquiétais vraiment, mais surtout la vivacité de l’animal. Allait-il pouvoir forniquer calmement sans coups de sabots ou autres ruades ??

Donc le lundi arrivé, je m’y rendis très vite, légèrement vêtu- quasi nu, comme à mon habitude. Sitôt parvenu, nous nous rendons dans le donjon, où il m’ordonne illico de me mettre à poils.

Lui-même fait pareil et revêt une sorte de grande cape noire que je lui connais. J’en bande énorme avec mes cockring sous l’envie pressante. Me félicite et me flatte pour ma propension et mon flegme. C’est presque la 1e fois, que je le vois à poils.

De là, nous nous dirigeons vers un appentis extérieur attenant à l’étable, sans crainte de regard indiscret de voisin, l’agencement des lieux ne le permettant manifestement pas. L’endroit 3 m sur 4 environ, ouvert au vent sur un grand côté, est couvert d’un toit ondulé. Une auge d’un coté, des ballots de foin et fourrage sur l’autre. De la paille recouvre le plancher, et là au centre de cette arène improvisée, il place un étrange banc plus haut sur pied d’un côté, avec une découpe en son centre pour ne pas s’y écraser le sexe. L’âne devinant déjà sans doute la suite des évènements, est là à quelques mètres, apparemment très calme. A part son immense engin, noir luisant, en partie couvert de poils, pendouillant mollement sous son ventre, il parait trépigné d’impatience.

« Il est toujours comme ça » me dit mon Maître. Je scrute cette matraque gigantesque en grosseur et longueur, palpitante et dodelinante, qui va bientôt m’empaler. Un manche de pioche ou une batte de base ball à coté, paraîtrait presque ridicule.

D’un geste docte de la main, il me convie enfin à prendre place sur ce trône de supplicier. Je dois m’y mettre à califourchon et à m’aplatir plat ventre sur le plateau, avec le derrière dirigé vers la partie haute. Ma queue se place tout naturellement dans la découpe y aménagée.

Un grand panneau de bois, est alors placé par dessus moi et destiné à me protéger des sabots du bestial. Une toile me protège encore le dos, d’éventuelles griffures.

Ce qui fait que maintenant mon entrée anale se trouve ajustée à quasi même hauteur que le sexe de l’âne, qu’il vient de positionner derrière moi, après m’avoir copieusement lubrifié le croupion, ses pattes avant raclant le bois au-dessus de moi. Le bestiau piétine de précipitation, son engin flagelle mes jambes et se frotte sur mes cuisses. Je commence à m’affoler et crains le déchirement de l’anus sous la brutalité de l’invasion. Dirigé de mains de …Maître, (c’est le cas de le dire) sa queue monstrueuse pour taille humaine, se positionne brièvement sur mon sphincter qu’instinctivement et brusquement, d’une unique poussée prodigieuse, il m’envahi copieusement le rectum sans la moindre hésitation. Bizarrement, je n’en ressens pas plus de mal, que cela.

Toutes paniques promptement envolées, le moment crucial passé, mes tremblements cessent comme par magie.

Poussant tant et plus, il rue, tortille et me comble rudement les entrailles d’un sexe moins gros que je ne le croyais au départ, et beaucoup moins dur aussi, à tel point qu’assez mou d’ailleurs, à culée au fond de mes viscères, je sens ce braquemart bifurquer subitement sous ses coups violent, progresser ainsi très loin dans l’entrée de mes intestins, et m’envahir le côlon descendant. Cela n’est tout simplement pas possible, j’ai une queue de 40 cm de long et de 6-7 cm de diamètre profondément fichée dans le cul ! Inouï et sensationnel. Mais quelle fabuleuse saillie. Je ronronne de bonheur et geins de plaisirs prodigieux jamais atteins auparavant. Je me trémousse en tous sens, savourant l’instant magique que je suis en train de vivre, faire durer cette plénitude le plus longtemps possible. Ce ténesme avec mon anus écartelé à outrance et vigoureusement martyrisé, est à son paroxysme. Ses poils rêches me raclent durement les fesses et me liment l’entrée culière, que je vais avoir en sang si cela continue de trop. Ce n’est pas tous les jours qu’il sera faisable de reproduire pareille insémination. Me saisissant des fesses à pleines mains, je tente inutilement de les écarteler d’avantage pour qu’il entre encore et encore. L’âne prodigue des ruades d’enfer, malgré tout très bien supportées étant donné la rudesse de l’assaut.

Mon Maître calme et jugule quelque peu l’animal, au demeurant très docile, habitué à ce genre de fécondation. Il a manifestement déjà dû en voir passer beaucoup sous lui, pour être aussi discipliné. Il gigote de l’arrière train, fornique toujours tant et plus. Je m’accroche au banc tant je suis secoué en tout sens, ses testicules cinglant avec force mes cuisses.

Je m’inquiète auprès de mon Maître, de sa disponibilité à éjaculer et lorsqu’il va y arriver, de sa quantité.

« T’inquiète pas, quelques secondes encore, et cela va te ressortir par les oreilles !!! »

En effet, soudain j’ai la très mauvaise sensation que l’on me vide du plomb fondu directement dans les entrailles. L’animal se frétille et se vide les énormes couilles en m’emplissant les intestins. J’en ai la nausée. Entre mes fesses, je sens que mon Maître assiste l’âne en continuant de le masturber partiellement et en le retenant pour qu’il ne se retire trop vite de mes chairs.

Qu’il en profite encore jusqu’au bout et moi aussi. Je me sens les boyaux inondés, par de gluantes semences et des dégoulinades de trop plein se font ressentir sur mes jambes. D’ailleurs, il ne débande pas et cogne encore dans mes viscères, avec de curieux bruits de succions et de clapotis incongrus. Plus serein à présent, l’âne n’en continue pas moins son limage méthodique de ma rondelle anale, lubrifiée comme elle ne l’a jamais été.

Maintenu en position idoine par mon Maître, celui-ci m’ordonne à présent de me branler sans tarder. J’ai à peine le temps de me prendre en main, que déjà je joui à grosses giclées. Divinement. J’en ai l’anus qui se resserre d’avantage autour du zob animal. Il joui encore le bougre me semble –t-il, toujours tenu en place dans mon conduit anal par mon Maître. Enfin, avec un énorme bruit de succion, comme une bouteille de champagne qu’on ouvre, il se retire de mon antre. Heureusement que je suis étendu sur ce banc, car je crois que j’en serais tombé à terre, inanimé. Des étoiles de syncope me pétillent dans les yeux. Oufti mé qué bé fait !! Tout cela a-t-il duré plus de 2’ ?, 3’ maximum, mais quel pied !!!

Les jours suivants, les fesses et l’anus endolori, se rappelèrent souvent à mes souvenirs. Mais quelle expérience, que j’acceptais bien volontiers de reproduire plusieurs fois de suite durant les mois suivant.

Certaines fois, un public restreint est présent. Adeptes et partisans du Maître voisins du donjon, nous sommes quelques fois ainsi à être 4 ou 5 à participer à ces séances parti cul ières. Libres d’y participer comme aide du Maître ou attachés, nous assistons impuissants attendant notre tour, aux supplices et autres tortures infligées aux autres. L’émulation faisant, que c’est à qui résistera le plus longtemps ou endurera avec flegme tel engin de martyre.

 

 

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Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
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