Lundi 20 décembre 1 20 /12 /Déc 15:04

Incidemment, faisant des achats dans une grande surface, je rencontre au détour d’une allée, mon coiffeur. Bonjour, échange de banalités et autres, par courtoisie. Nous trouvant au rayon « café », il me dit aller en prendre un, à la taverne, au sortir du magasin, où je peux l’y retrouver éventuellement. Nous nous séparons et après avoir poursuivi mes achats et être passé par la caisse, je l’y rejoins. Pendant quelques minutes, nous parlons de choses et autres, du temps, de la vie etc… Peu de temps après sur le point de nous quitter, il me dit être seul chez lui tous les lundi matin, et que je peux y passer pour un autre café.

Je me doute d’autres choses de sa part, m’étonnant plus de ses envies que de ses 65 ans. J’en ai bien 55, et alors ?!

C’est donc ainsi qu’un lundi je me rendis chez lui. Habitant une très ancienne petite fermette, je le trouvais au centre de la cour occupé à bricoler sur sa tondeuse. Au bout de quelques instants et de palabres, il m’invita à entrer dans la partie cuisine pour le café. Continuant de parler de tout et de rien, tout en préparant les tasses, et comme je m’y attendais – raison secrète pour laquelle j’étais venu- la discussion s’oriente doucement coté sexe. D’ailleurs, je m’y étais discrètement préparé en mettant mon appareillage de cockring et ne portant pas de slip dans mon pantalon.

Le café servi, il me demande si je désire qu’il soit « arrosé » d’une petite goutte. Après tout, pourquoi pas, l’on sera ainsi un peu plus « euphorique ». Soudain sans à propos, il demande se qu’en penserais ma femme, si je me présenterai devant elle en étant rasé. Propos d’un coiffeur, quoi de plus normal. Mais je devine rasé d’où, il y fait allusion détournée et je répond : « rien de spécial, car non pas que je sois déjà rasé, mais en fait parce que je suis tout simplement épilé…»

 A bon fait-il, étonné qu’à mon âge je sois ainsi ! et sans doute déçu de ne pouvoir procéder lui-même à mon rasage des parties…

« Montre-moi ! » ordonnât-il subitement d’un ton sec. Ne me faisant pas prier, étant du genre soumis passif, je me levais et au centre de la pièce, m’exécutais en défaisant ma ceinture et braguette pour laisser tomber mon froc sur mes chevilles.

Sous son air abasourdi et interdit, de me voir en effet le pubis complètement imberbe, mais surtout de me voir la queue et les couilles dans ses anneaux l’enserrant, il me félicita chaudement. Du bout des doigts, il apprécia la douceur exquise de ma peau.

« T’aime les jeux de rôles et subir la soumission en esclave ? » me demande t il. Suite à ma réponse affirmative, il m’invite à remonter mon pantalon et à le suivre par l’extérieur vers les dépendances annexes de la ferme. Entré par les anciennes étables, écuries ou porcherie aménagées en buanderie, il m’entraine au fond de cette grande salle vers une épaisse et antique porte en chêne, en partie dissimulée derrière des caisses et ballots de paille. La porte, refermée à clef derrière nous, la nouvelle pièce étant un ancien cellier, se révèle être à présent une véritable salle de torture établie en donjon S/M. Des chaînes pendent ci et là du bas plafond et de pitons fichés aux murs. Les vieux caveaux en briques pour les bouteilles de vin, exposent toute une série d’objets plus divers les uns que les autres ainsi qu’une panoplie de godes de toutes tailles, que je n’ai pas le temps de passer en revue détaillée. Ai-je juste le temps de remarquer que tous ces appareils appartiennent à la panoplie sado/maso. Quoi de plus normal en fin de compte dans cet univers sombre, dédié au s/m. Un vrai magasin !!!

Déjà, il m’ordonne sèchement : « Mets-toi à poils complet, comme à ton arrivée au monde. Tu peux garder tes anneaux ! »

Après m’être exécuté, « Viens ici, face contre ce mur » me dit-il. Me saisissant par les poignets, il m’attache ceux-ci, bras largement écartés, dans des bracelets de cuirs fixés au mur à environ 1,30m de haut. Les jambes écartelées, mes chevilles subissent le même sort, sauf quelles sont reliées au bout d’une chaine d’environ 1 m de long fixée elle-même au sol,. Une large et longue planche de bois glissée entre mon torse et le mur, s’accroche à celui-ci à hauteur de mes yeux. Plus longue et passant entre mes jambes, elle est ensuite relevée à l’autre extrémité pour être accrochée à une chaîne descendant du plafond. Je suis donc maintenant en appui du ventre et à califourchon sur cette planche, bras et jambes tendus et écartés. Etiré en tous sens, les pieds hors sol, il m’est à présent quasi impossible de bouger, sauf la tête. Et encore… De plus, je ne vois rien de ce qu’il se trame dans mon dos. Mes testicules et queue en semi érection, passent dans une grande découpe pratiquée à cet usage dans la volige de bois. Me prenant la queue en main, il y attache sous le gland, le nœud coulant d’une fine cordelette. A l’autre bout, y suspend un poids conséquent, étirant ma hampe à cause de ce sacré sens de gravitation, démontré par Galileo.

Ensuite, par une légère sensation de froid suivie d’un petit massage, je réalise qu’il me lubrifie le croupion, et bientôt un gode se presse à mon entrée anale qu’il distend progressivement sous sa poussée. Le seuil franchi, il se fraye ainsi un chemin dans mes chairs intimes qu’il envahi avec force et autorité, jusqu’à culée. Maintenu bien en place à l’aide d’une cheville fixée dans un des trous percé à cet effet dans l’axe longitudinal de la planche, comme j’en ai d’autres sous les yeux, il m’occupe merveilleusement tout le rectum, ma rondelle annale étant distendue à outrance. Ce gode doit assurément être de très fort belle taille.

Un autre gode, réplique exacte d’un vrai sexe, avec son gland plus que réaliste et ses veines serpentant le long de la hampe, est placé devant ma bouche que je dois avaler. Enfoncé à l’entrée de ma gorge, il est lui aussi fixé sur la planche. Ne pouvant bientôt plus déglutir ma propre salive, une seule solution pour ce faire, redresser légèrement la tête. Cela, ayant pour effet inverse, de créer rapidement de vives douleurs dans la nuque. Rabaisser la tête quelques instant pour les atténuer… et devoir la relever à nouveau quelques secondes d’après. Cela est tout simplement diabolique, se traduisant ainsi par une fellation quasi mécanique du gode…

Ne pouvant émettre que de vagues borborygmes, je ne peux hurler sous la soudaine douleur causée par de violentes claques assenées à main nues, sur les fesses. Celles–ci tombe drues et alternativement, durant plus d’une éternelle minute, avant de s’arrêter. J’en bande cette fois, d’une façon énorme, comme peut être jamais auparavant. Ma queue, entrainée par le poids suspendu, ballote en cadence, d’avant en arrière, m’étirant encore d’avantage. Déjà, mes fesses irradient de tiédeur. Brève trêve. Avant de reprendre avec plus de forces, battues cette fois à l’aide d’une tapette et d’un martinet. Je crois hurler sans pouvoir me faire entendre, aphone à cause de ce maudit gode en bouche. Le fessier à présent, littéralement en feu, je subis et endure ce châtiment, de longs moments. Après d’interminables minutes, enfin cela cesse. Subitement, sentiments contradictoires. Encore ou non ?! Secrètement, j’en voudrais d’autres … allez savoir pourquoi ?!

Mais mon Maître arrête et viens se placer sur mon coté et s’assois sur un petit tabouret. Me saisissant la pine turgescente d’une main puis l’autre, il entreprend de me masturber doucement comme s’il trairait une vache, sauf qu’ici, il n’y a qu’un seul trayon ! Ses mains glissent alternativement en cadence, du scrotum jusqu’au gland, toujours enserré dans son nœud coulant. Diable, il a de l’endurance et du savoir faire ! Cela dure une éternité, et toujours cette pipe artificielle à ce gode en bouche ! Je sens enfin mon plaisir, que je ressens salvateur, monter progressivement de mes reins.

Soudain, j’éclate en gerbes d’artifice. Que dis-je, j’explose littéralement en de multiples éclaboussures. Je me vide car il pompe encore et encore.

Enfin, il me libère des godes et défait mes liens, j’en tombe au sol, avachi, amolli, vidé de toutes énergies.

Satisfait de notre prestation et de ma disposition de soumis, il me convie plus tard, si je le désire, à reproduire pareille séance ainsi que d’autres de mêmes genres. A 2 ou plusieurs s’il me le plait, qu’il peut aussi y organiser de petites fêtes avec d’autres participants, dominant et/ou soumis ensemble. 

 

 

Après plusieurs séances de soumission dans le donjon de mon Maître, ainsi devenu, coiffeur de son état et connaissant du monde, celui-ci m’invite si je le souhaite, à subir son âne.

En effet, dans un pré attenant à son ancienne fermette, il possède en plus de quelques moutons, d’un âne en pâture. Et s’il parait effectivement plus petit qu’un cheval, il n’en dispose pas moins d’un sexe quasi égal. Equivalent en taille, au bras bien plus musculeux d’un homme.

Que j’acceptai ainsi bien sûr très vite, d’endurer ce lundi prochain.

 

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Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
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