Dimanche 21 novembre 7 21 /11 /Nov 17:10

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(qu’il pleuve, vente ou même neige, l’idéal étant bien évidemment le soleil)

Je me rends très souvent sur les parkings autoroutiers des environs, car ceux –ci sont toujours occupés par des personnes en recherche d’aventures masculines, et pas simplement par des camionneurs, mais aussi tout autres automobilistes. Certains parkings sont d’ailleurs très fréquentés et reconnus pour la chose car ils disposent de buissons assez touffus aux alentours. Dans ceux-là, il y a parfois foule. Ainsi, voici l’une de mes exhib.

Une fin de matinée de juin assez chaude, la pose de midi pour certains approchant, donc heure très propice. Vêtu léger comme à mon habitude avec mes cockring en place enserrant mes couilles et queue j’avais, outrage supplémentaire, un gode imposant constitué d‘une bouteille d’eau minérale de 0,5 L, emplie pour ne pas qu’elle s’écrase, bien fichée profond dans le derrière et tenue en place par un savant harnais inspiré des bretelles, passant par les épaules et l’entre fesses. Harnais de ma fabrication, un anneau se positionne dans la raie culière emprisonnant ainsi le goulot de la bouteille, qui seul dépasse des fesses, empêchant tout retrait intempestif de la bouteille. Mes fesses étaient donc maintenues écartelées, l’anus ne pouvant pas ainsi se refermer.

 

harnais3.1Le rectum tout entier occupé par la bouteille, me distendait agréablement. La position assise pour conduire n’était pas évidente.

Arrivé à mon endroit de prédilection, un camion, une camionnette et 5-6 voitures y sont déjà stationnés éparses. J’en reconnais certaines au passage, pour être celles d’habitués des lieux. D’ailleurs l’un d’eux, Maître autoritaire, à qui je me suis déjà soumis, et m’apercevant, me fais un signe impérieux et non équivoque de la tête vers les buissons. Auquel j’acquiesce volontiers puisque je suis venu ici pour cela. Sortant gauchement de voiture à cause du gode et marchant résolument vers la futaie, j’y entre, euphorique et plein d’excitations du bon moment à venir. Me précédant, je le suis hardiment trottant les jambes légèrement arquées comme un cow boy. J’aperçois certains hommes esseulés déambulant de ci de là déjà à la recherche d’un contact. Suffisamment engagés dans le bosquet, je le rejoins et de suite me caresse le torse d’une main, de l’autre me tâte les fesses. Déjà nous sommes résolument observés par l’un et l’autre voyeur. Toutes paroles étant inutiles, d’un clignement des paupières suivi d’un léger hochement de la tête, signe d’acquiescement, j’écarte les bras à l’horizontale indiquant ainsi ma soumission totale, par mise à disposition de mon corps à tout un chacun. Me soupèse alors les parties à travers mon short déformé, constatant que j’en bande énorme. Geste non équivoque maintenant pour personnes aux alentours, du pourquoi nous sommes ici. D’ailleurs 3 hommes s’approchent résolument plus près. Tout en me cajolant le fessier, y constate une dure protubérance…

S’accroupi alors en me saisissant la ceinture du short qu’il m’abaisse sur les chevilles et, soulevant les pieds, me le retire complètement. Redressé, me relève et ôte ensuite le tee shirt pardessus la tête. Exhibé quasi nu sauf mes sandales sous les regards ébahis des hommes rapprochés au plus près, me fais exécuter un tour sur moi-même, afin de bien m’exposer à la vue de chacun. Ma queue dressée fièrement tendue et enserrée dans ses anneaux et totalement imberbe comme le torse ainsi que le gode fiché dans le derrière avec mon harnais, suscite l’admiration des curieux encore plus nombreux. En plus de mon domi, il y a maintenant 6 hommes jeunes et plus âgés autour de nous, presque tous la queue au clair en érection, fixant mon exhibition désinvolte.

Mon tourmenteur involontaire quasi complice par derrière moi, m’empoigne fermement la verge, m’astique quelques instants en serrant mes couilles de l’autre main passant entre les jambes.pose

 

Les commentaires et sifflets enthousiaste fussent encore plus, et deviennent hystériques lorsqu’il me fait pencher, diriger le derrière vers eux, leur présentant le spectacle féerique de mes fesses écartelées par la bouteille plantée profondément dans le rectum. N’en croyant tout simplement pas leurs yeux de sa grosseur lors du retrait de celle-ci, l’anus offert impudiquement ouvert, un gland s’y pose bien vite, et d’une seule poussée s’introduit tout facilement au plus profond en moi. Queue juvénile qu’en quelques trop rapides allées et venues, le voici éjaculant un énorme jet de sperme chaud. Si vite libéré, aussitôt réinvesti par plus gros, s’activant lui aussi dans mon conduit culier. En appui, penché sur un tronc d’arbre je m’offre le cul saillant à tout un chacun, ceux présent ne se faisant d’ailleurs pas prier 2 fois. J’ai ainsi une dizaine de queues à m’honorer les fesses en très peu de temps, les jambes dégoulinantes de spermes, je m’exhibe à qui mieux mieux. Un bouche à oreilles a encore plus vite fait le tour des environs, qu’une lope est a dispo, créant ainsi une véritable curée qui s’abat alors dans les buissons pour venir me magnifier le derrière. C’est vrai que je l’ai beau, ferme et accueillant. Durant ce début de midi, ils vont ainsi être une 15zaine à venir me faire doux supplice de me saillir.

 

 

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Vendredi 19 novembre 5 19 /11 /Nov 10:59

orties2.JPGCela remonte il y a déjà bien longtemps, lorsque j’avais environ 20 ans, un temps où l’on ne parlait pas de sida ni même de rapports protégés.

J’en ai 55 maintenant, et plusieurs fois par an, je pratique encore la masturbation de cette façon !

A l’époque, début du printemps, j’étais parti au bois pas bien loin de chez moi, pour y cueillir quelques bouquets de jonquilles. Étant dans le sous bois et accroupi tout occupé à ma cueillette, 2 hommes, 40 – 45 ans, arrivèrent sur le petit chemin. Se croyant seul et ne pas être aperçu, ils s’arrêtèrent à quelques mètres de moi, chacun d’un coté du sentier pour se soulager d’un petit besoin pressant. Celui me faisant face et parlant à son copain par-dessus son épaule, se mis à uriner à gros jets, d’un sexe de belle taille devant être au repos, que je voyais très bien, n’étant qu’à moins de 15 m.

Ce n’est qu’au moment de se rajuster qu’il se rendit compte de ma présence. Lançant une blague à son copain disant qu’il y avait un mateur à les regarder, ils s’avancèrent alors tous 2 vers moi, en déballant bien leur engin.

Disant : « et bien regarde, maintenant ». Ne pouvant pas ne pas regarder ces 2 engins exhibés fièrement sous mes yeux, l’un fit semblant de se masturber pour obtenir une érection incroyable. Son sexe grandissait et grossissait à ne plus en finir. J’avais déjà eu des relations avec des potes et vu d’autres queues, mais là, énorme qu’il était, au moins 20 cm de long et 5-6 de diamètre. Bien d’avantage que moi. Enorme et magnifique à la fois. Impressionnant de force et redoutable.

Son pote à coté de moi me dit : « touche la, tu verras bien que ce n’est pas du toc ! »

Sans réfléchir et subjugué, j’avançai la main  pour le saisir, brûlant déjà. De sa main, il m’invita alors à continuer de le tenir et à le branler. Mes doigts ne pouvaient déjà plus en faire le tour, tant il était gros et toujours il gonflait me semblait il. Son pote toujours à coté de moi, se mis à me tâter la braguette disant « mais il bande aussi, ce petit con ». Evidemment, qui dans une telle situation ne banderais pas. J’avais donc également attrapé une belle érection dans mon pantalon.

Se plaçant alors derrière moi, sans autre forme de procès, il me défi la ceinture pour rabattre mon froc sur mes chevilles me mettant le cul à l’air libre et ainsi mieux me voir la zigounette sans comparaison avec la leurs. A la suite d’une légère poussée sur la nuque, et d’une main à la taille, il me força en douceur à me pencher pour sucer son copain. Les lèvres à peine posées sur son gland, il me les écartela un maximum, pour s’y enfourner. J’eu toutes les peines à le garder en bouche.

Celui derrière moi, la position idéale pour …m’enculer d’un seul élan, tout en force et sans aucune préparation. Sous la douleur brutale de sa barre à mine enfoncée ainsi entre mes fesses, sur le coup je crois bien que j’en ai joui immédiatement ! Ayant la bite de son copain bien enfoncée au fond de ma gorge, tout en étant maintenu par les épaules, je ne pouvais absolument rien dire ni faire d’autre que continuer à m’appliquer à le sucer sans le mordre.

Dans mon derrière, il ne devait pas être aussi gros que celui que je tentai de tenir en bouche et qui m’étouffai, mais il devait être de bien belle taille lui aussi, me limant à grand coup profond, à la fois lent et puissant. Sans violence mais avec détermination. De toute façon qu’aurais je pus faire d’autre que subir ?

Se retirant à chaque fois, ce qui constituait à chaque nouvelle entrée anale un quasi-viol, il ne tarda pas ainsi à me remplir le conduit culier de toute sa semence, à longs jets que je sentais brûlant. Son pote m’obligea de suite à me retourner m’écartelant les jambes au maximum pour lui offrir à son tour mon derrière, cette fois bien préparé et tout gluant, pour m’investir illico les entrailles de son énorme engin. Là je cru qu’il me déchirait tant il devait avoir encore grossi, 2 x plus gros que son copain qu’il était. J’ondulais du popotin pour lui facilité l’intromission qu’il fit jusqu’à la garde. Toujours penché, je dus sucer et lécher la queue toute ruisselante de foutre du premier homme, le bout du gland maculé de mes excréments. Cela avait un goût à la fois acre et sucré avec une odeur de noisette. Je m’en pourléchais. Dans de longs mouvements volontaires, le deuxième ne tarda pas lui non plus à lâcher de longs jets de foutre. Je cru qu’il me remplissait les intestins tant les giclées étaient longues et copieuses, et que cela allai me ressortir par la bouche, tant il se lâchait, me procurant des frissonnements bien agréables que je connaissais et aimait bien.

Le premier sur ce, m’éjaculas en bouche, une nouvelle grosse giclée de sperme, qui faillit m’étrangler sous la soudaineté que ça m’en ressorti par les narines. Je ne pus même pas reprendre mon souffle, que déjà je me retrouvais retourné comme une crêpe avec de nouveau l’autre pine en bouche, toute gluante d’un mélange de sperme et matière fécale et toujours aussi grosse et vaillante. Ils ne disaient plus rien, pas un mot ni abus de force mais tout s’enchaînais comme dans un scénario bien réglé. Ne pouvant toujours rien dire et maintenu par les épaules, c’est à peine si je parvenais à respirer.

Tout cela n’était pas pour me déplaire, et tant qu’il n’y avait pas de coups ni réelle violence, je ne broncherais pas en acceptant tous leurs caprices puisque cela me plaisait. Je ne faisais donc qu’accepter ces assauts répétés qu’ils croyaient me faire subir.

 

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Et c’est alors que brusquement, des brûlures atroces se déclenchèrent sur mes fesses et dans mon entre jambe. Le temps de réaliser que l’homme derrière moi, me passaient et repassaient des orties à ces endroits. Je me gardais bien sous la nouvelle douleur, de mordre la pine qui me distendait les mâchoires à m’en faire mal et qui ne tarda pas à cracher de nouveau tout son jus, bien au fond de ma gorge. Je m’étranglai de nouveau sous la violence et l’abondance du jet chaud et gluant, tout en déglutissant à grosses gorgées. Le premier alors me réinvesti à nouveau le cul, et là j’eu vraiment très mal, tout contracté que j’étais de par les piqûres. L’autre, ne se retira de ma bouche qu’un long moment plus tard, obligé à le lécher façon frisko. Il s’accroupi alors à coté de nous et à mains nues à croire qu’il ne ressentait rien, entrepris de me malaxer les couilles et la queue avec des orties, finissant par me branler doucement comme pour traire une vache que j’étais par ma position. Ma bite enserrée dans un fourreau d’orties en fut bientôt toute rouge d’irritations, gonflée à bloc par l’afflux de sang, rongée d’atroces fourmillements me parcourant tout le corps.

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L’autre homme me labourant toujours les entrailles, avait maintenant plus de mal pour sa 3e nouvelle distribution de sperme. La douleur de ces piqûres d’orties retardant longtemps la montée de ma semence, qu’elle sensation agréable de délivrance ce fût lorsqu’elle arriva à gicler avec force comme jamais je crois je n’avais encore joui, en jets interminables comme une fontaine de jouvence. Resserrant aussitôt et involontairement les fesses comme une guillotine, mon anus contracta alors avec force, le zob qu’il enserrait et qui m’astiquait toujours le conduit anal, provoquant ainsi la jouissance de son occupant et la nouvelle inondation de mes entrailles. A croire que ces hommes n’avaient plus joui depuis des années tant ils en avaient à donner. 

Enfin libéré de ces étreintes et épuisé, je m’accroupi, pissant du cul tout le foutre y introduit, ma queue toujours dressée comme un étendard écarlate. Ne débandant pas, elle était rigide, incroyablement grosse et droite. Tendue comme une barre de fer chauffée au rouge chez le ferronnier. Ils se rajustèrent quasi en silence, l’un me disant de me branler à nouveau et de me badigeonner la queue de mon sperme pour atténuer l’urticant, ils me laissèrent ainsi avachi et  disparurent en me saluant. Plus jamais au bois, je ne les revis. Ni autres parts d’ailleurs.

Je m’adossais alors à un arbre et entrepris de me branler très très doucement et longuement, les jambes ruisselant du jus suintant toujours de mon cul.

Ma queue était plus grosse que de coutume, sa peau violette-cramoisie extraordinairement douce, gonflée et tendue à bloc par les milliers de pustules des éruptions urticantes. Des ondes de frissonnement plus agréables me parcourant tout le corps à mesure de l’accoutumance, j’étais là, bêtement seul le croyais je, à mastiquer tout aussi idiotement la verge jusqu’à épuisement, lorsque surgi brusquement face à moi, un autre individu lui aussi âgé d’environ 40 ans.

Hormis d’impressionnant cockrings lui enserrant les testicules et la zigounette dans un savant appareillage, celui ci était totalement nu comme un ver au jour de sa naissance. A poils complet ou plutôt sans poils, car il était rasé de partout. Du pubis au torse, aucuns poils.

Il me dit être tapi dans les fourrés depuis un long moment déjà, bien avant mon arrivée et d’avoir tout vu. Il m’invita à continuer de me branler et de ne pas avoir peur de lui tout comme des autres. Il est vrai que lui aussi portait haut ses couleurs, n’ayant rien à envier aux deux autres, me donnant de nouvelles forces. Jamais un exhibitionniste ne s’était dévoilé comme cela devant moi. La situation étant cocasse et grave à la fois, je me demandais ce que celui ci allait bien pouvoir me faire subir.

Lui face à moi, se contentant de me regarder en se caressant les tétons et les testicules.

Les 2 éjaculations précédentes m’ayant littéralement vidés les couilles, cette dernière y mis du temps. Enfin je recueilli en main avec précaution ma semence encore abondante pour m’enduire de sperme la bite brûlante en me massant langoureusement et là, nouvelle révélation. Cette sensation inouïe de plonger la queue en feu dans un bloc de glace. Quel contraste bienfaisant et surréaliste.

Il me demanda ensuite en toute modestie si je voulais bien le sucer et de faire durer son plaisir le plus longtemps possible, que par la suite je ne le regretterais pas. Ce que je fis en toute naïveté, m’accroupissant appuyé contre l’arbre pour le gober goulûment, je le masturbais simplement de la langue. Il mit plus ¼ H pour se soulager, ses anneaux le freinant. Son éjaculation fût interminable, à petits et brefs jets répétés que j’avalais avec délectation. Il m’embrassa la bouche religieusement, en léchant mes lèvres. Il me demanda ensuite de lui présenter mon derrière, pour le vénérer par une feuille de rose. Ne sachant très bien de quoi il s’agissait, je le lui offris volontiers, ouvert à tout que j’étais. En me maintenant à l’arbre je me penchai lui offrant mon derrière, il me distenda les fesses au maximum, pour y plonger sa langue et me lécher la raie culière. S’attardant sur ma rosette, il suça avec envie le foutre y encore contenu, aspirant avec avidité le mélange sperme / excrément. Rassasié, il me remercia et retourna dans ses buissons.

Je rentrais chez moi en marchant les jambes arquées tant a cause de la dilatation anale que des piqûres. Piqûres qui durèrent encore longtemps dans la soirée, provoquant une agréable chaleur sous les fourmillements et picotements. Quelle très belle après midi se fut là et quelles merveilleuses révélations. Merci encore à ces inconnus !

Mais au fait, les 2 premiers m’avaient-t-ils vus ou pas, lorsqu’ils arrivèrent sur le chemin ???

Allez savoir !

Et voilà pourquoi depuis lors, je suis adepte du sans poils et des cokrings, et que chaque début de printemps, je me rends au bois pour me masturber avec des orties tout en espérant une autre rencontre fortuite.

Je le fais parfois de l’été aussi dans les fourrés des parkings d’autoroutes, car là il finira toujours bien à quelqu’un, de soi disant me surprendre en pleine pratique, puisque que de par l’endroit je la provoque cette intrusion. En étant totalement nu, et muni de gants en latex pour que cette personne ne se pique pas inutilement, ainsi que de godes.

Il m’est arrivé à plusieurs reprises d’ailleurs, d’être ainsi masturbé, par des femmes bien complaisantes. Merci à elles aussi !

 

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Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
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Jeudi 18 novembre 4 18 /11 /Nov 12:52

Etant plutôt passif/soumis qu’actif, il y a déjà quels temps, je me suis inscrit sur un site internet spécialisé de SM, m’y décrivant avec des photos et y insérant une annonce, voulant devenir une lope soumise. J’ai 55 ans, j’adore me sentir le derrière envahi et bien occupé. Un actif dominant me contacte enfin après plusieurs semaines. Se disant de 40 ans, il me dit avoir déjà loper plusieurs soumis.

Après plusieurs échanges par messagerie, destinés à s’évaluer mutuellement, et pour lui de s’assurer de mon engagement, le grand jour est venu de la première vraie rencontre.

Celle-ci à lieu dans une taverne d’une galerie marchande d’une grande surface commerciale des environs. Discrètement pour ne pas être entendus des autres consommateurs, nous discutons encore de mes motivations, et si j’accepte tout comme cela est bien mes projets et surtout ses volontés, il s’engage à s’occuper de moi.

Nous convenons que jamais, il n’y aura de violences physiques qui laisseront des traces indélébiles, tout au plus des marques qui finiront par disparaitre les jours suivants. Exemple, des fessées ou du fouet. J’en suis déjà tout chose.

Dernière condition pour lui se garantir de ma volonté et pour asseoir mes desseins, je dois accepter tout de suite une première obligation. Top la, et pour cela nous partons en voiture vers un parking autoroutier tout proche, que je connaissais pour l’avoir déjà fréquenté de moi-même à de très nombreuses reprises.

Y arrivés nous nous dirigeons vers une extrémité plus propice aux rencontres, pour entrer dans les fourrés jusqu’à une sorte de petite clairière insoupçonnée, manifestement souvent usitée. L’heure de début de soirée est très favorable, les environs immédiats occupés par plusieurs voitures, dont les conducteurs sont manifestement avisés des coutumes des lieux. Certains se promenant nonchalamment.

Là, mon Maître m’ordonne de me mettre à poils, qu’il va m’attacher souplement à l’aide de 4 cordes, et que je devrais rester stoïque durant l’épreuve qui ne prendra fin que lorsque j’aurais été satisfait analement par 10 hommes ! Cela prendra le temps qu’il faudra, d’une à plusieurs heures si nécessaire.

Je ne peux plus faire demi-tour, je m’assure seulement du respect de la protection du préservatif. Je ne suis pas là non plus pour récolter le sida ou autre maladie !

Je me dévêtis donc et lui apparaissant pour la 1e fois à poils (ou plutôt nu, car je suis tout épilé du sexe, pubis, couilles et cul.), il me félicite pour mon aspect, avec mes cockrings enserrant mes couilles. J’adopte alors la position penchée d’enculage.

Une 1e corde est attachée à ma cheville gauche, tendue et fixée au bas du tronc d’un petit arbre. La 2e pareille à droite, me place les jambes très écartelées. Les 3e et 4e cordes aux poignets et affermies assez bas, m’obligent à garder une disposition penchée, les bras écartés en appui sur les branches. Déjà en quelques minutes, ne pouvant me redresser droit, cette position m’ankylose.

Je suis donc attaché en croix et plié, de façon à présenter mon derrière aux prochains arrivants, que j’espère ne pas attendre trop longtemps. Je ne pourrais les apercevoir qu’en vue inversée sous le bras. Je dois faire une confiance aveugle à mon Maître pour qu’il ne me laisse pas ici. Je m’imagine rester des jours, perdu de tous, ainsi attaché ne pouvant me défaire seul des liens.

Bientôt un 1e homme, la bite déjà tendue et sortie, sitôt arrivé près de moi, m’investi les entrailles non préparée d’une unique ruade vigoureuse. J’en hurle de douleur mais à longs coups rapides, parviens en quelques minutes, à jouir à gros jets. Aussi vite retiré, il disparaît sans piper mots.

Un bref conciliabule tout proche, m’informe que mon Maître est en poste sur le parking, certainement a rabattre et racoler les amateurs de cul, et m’avertissant ainsi d’une nouvelle arrivée.

Comme le 1e, un 2e sans rien dire, m’encule illico, fourrage à grand coups, plus long à venir, fini par lâcher sa semence.

Pendant plus d’1 heure, ils seront ainsi une 10zaine d’hommes, des petites queues à de plus grosses, à m’honorer les fesses, de me limer la rondelle à n’en plus finir, que celle-ci me fait mal a force d’être malmenée.

L’un, très gros m’a pistonné les intestins pendant plus de 10’ d’affilée, butant chaque coup au fond de mon rectum, ses mains crochées dans mes hanches, avant d’atteindre son orgasme.

Mon anus doit être ensanglanté après ses prises à la chaine. Mais non, cela est seulement une sensation désagréable due à l’irritation.

Un autre, après m’avoir ramoné le conduit culier, lui aussi de longues minutes sans résultat, se déplaça devant moi en ayant retiré sa capote, de façon à ce que je l’engobe, ce que je fis de bonne grâce. Je lui pompai le gland ainsi, pendant qu’il se masturbait, toujours sans effet, lorsqu’un autre homme arrivé, s’introduisit dans mes fesses pour une auscultation caudale simultanée. Ils jouirent quasi en même temps.

Un seul d’entre eux, m’empoigna la bite en érection pendant tout ce temps, pour me masturber tout en me ramonant le pot d’échappement !

Enfin Mon Maître réapparut signifiant ainsi la fin de cette 1e séance de soumission. Ayant donc brillamment réussi mon 1e essai, mon Éducateur me félicite chaudement, il est vraiment ravis de moi, et me donne rendez-vous ici même mercredi prochain, pour la suite de mon dressage.

Comme convenu et suivant ses recommandations données, j’arrive fin d’après midi cette fois court vêtu, avec mes cockrings toujours en place. Je m’arrête derrière sa voiture et devant un autobus scolaire, incongru ici à ce moment de l’après midi ! De l’autre côté du sens de circulation, 5 ou 6 voitures sont en stationnement ainsi qu’1 camion. Mon Maître sort de voiture, m’invite à faire de même et de le suivre vers l’autobus, dans lequel nous montons. Le chauffeur, manifestement de combine, nous salue. 2 autres hommes, dont un noir à poils complet et en érection démentielle, sont eux assis sur des banquettes. Arrivés au fond du bus, je dois illico me désapé sous l’œil vicelard du noir qui s’est rapproché et se caresse mollement.

Je dois alors prendre une position à califourchon, un pied de part et d’autre du couloir central, les genoux en appui sur le coin des banquettes. Mes chevilles sitôt attachées au bas des montants, mes bras eux aussi liés, reposant sur les dossiers. Ecartelé en bonne disposition et bien en appui, la pose cette fois reposante, est scandaleusement outrageuse pour qui me vois de dos, qui plus est, en ce plein soleil d’après midi.

Mon anus et ma rondelle caressés, m’indiquent que le noir les lubrifie abondamment. Judicieuse et prévenante intention.

Brusquement, pressé contre mes fesses, son énorme gland se pose sur ma rosette puis d’un seul et vigoureux coup en avant, plonge avec brutalité dans mon conduit culier qu’il distend sauvagement. Sous le subit assaut, je crie de stupéfaction, quasi déchiré tant il m’investi trop précipitamment les entrailles jusqu’à fond de culée, de son énorme engin. Bien vite la surprise passée, c’est avec délectation que je subis cette 1e saillie démesurée.

Soudain à la suite d’un coup de klaxon, je vois sortir tous les conducteurs de la 10zaine de voitures garées à proximité, pour se dirigés ensemble et monter dans ce bus. De l’un ou l’autre véhicule, ils sont 2. Ils sont mêmes 3 dans l’une des voitures !

Il y a de jeunes et plus âgés, blancs la plupart sauf quelques nords africains ou turcs, incontestablement tous là pour la curée de l’abattage.

Le noir derrière s’active avec vigueur, cogne de son pubis contre mes fesses qu’il maintient écartées et Mon Maître face à moi, un rictus aux coins des lèvres, se déculotte pour que je le suce. Tout le monde ayant pris place d’un siège, certains s’y déshabille mais attende sagement leur tour de m’enculer, ce qui ne saurait tarder !!! Certains s’approchent pour apprécier le spectacle qu’il leur est offert. L’autobus scolaire se mets alors en mouvement et, je m’en rendrais compte par après, va effectuer à vitesse de sénateur par les échangeurs et brefs tronçons autoroutiers et grands axes, le tour du triangle des autoroutes des environs. Temps du voyage mis a profit bien évidemment par chacun, pour m’honorer l’entrée anale, si bien exhibée et étirée. Mes jambes ruissèlent de foutre et lubrifiant, une flaque assez immonde se formant au sol, à la verticale de mon anus.

Heureusement, la position haute du bus, ne permet pas aux occupants des voitures nous dépassant, de pouvoir distinguer ce qu’il se passe à l’intérieur de celui-ci. Seul 4 ou 5 camions dont la cabine est à niveau, ont permis à leur chauffeur de pouvoir furtivement apercevoir quelque chose d’insolite. L’un d’eux s’offrant même le luxe de ralentir et de rouler de concert durant de longues secondes, pour mieux se rincer l’œil. D’un coup de klaxon et poing levé-pousse tendu vers le haut, marquant ainsi son allégresse.

Durant ce bref voyage d’agrément et durant +/-45’, se sont ainsi succédés sans relâche dans mon ventre, plus d’une 15zaine d’hommes, me limant la rondelle culière sans intermittence ni aucun répit. Je reçu ainsi avec ravissement, des calibres de toutes sortes de tailles et grosseur, certains passant par dessus les banquettes pour venir en même temps, me forcer les lèvres.

Et tout cela dans un bus scolaire, encore bien ! Pour un 1e abattage, vrai de vrai, s’en fût un de génial !

Revenu à notre point de départ, tous ces hommes s’en allèrent.

Mon Maître très radieux, n’a pas assez d’éloges à mon égard. Si je le souhaite, nous pouvons remettre cela plus tard.

Ainsi à 2 autres reprises durant le mois suivant, je me remis en semblable position, toute pareille à la 1e fois. Quasi autant d’hommes à satisfaire entre mes fesses, dans le même autobus.

Jusqu’au jour où, sur un autre site très spécialisé, je tombais vraiment par hasard sur une annonce, proposant des lopes à saillir à outrance et cela à la chaîne. De petits détails m’alertèrent et je m’informais sous un autre pseudo. Des lopeuses proposées, j’en faisais partie !

Ainsi, soit disant mon maître sous un autre pseudo, se faisait rétribuer les séances, à son seul avantage. Il va s’en dire que je ne lui donnais plus suite...

 

 

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Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
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Jeudi 18 novembre 4 18 /11 /Nov 12:26

plaisir d'orties4
plaisir d'orties4
par exhibsmriccardo.erog.fr

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Jeudi 18 novembre 4 18 /11 /Nov 12:25

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