Vendredi 19 novembre 5 19 /11 /Nov 10:59

orties2.JPGCela remonte il y a déjà bien longtemps, lorsque j’avais environ 20 ans, un temps où l’on ne parlait pas de sida ni même de rapports protégés.

J’en ai 55 maintenant, et plusieurs fois par an, je pratique encore la masturbation de cette façon !

A l’époque, début du printemps, j’étais parti au bois pas bien loin de chez moi, pour y cueillir quelques bouquets de jonquilles. Étant dans le sous bois et accroupi tout occupé à ma cueillette, 2 hommes, 40 – 45 ans, arrivèrent sur le petit chemin. Se croyant seul et ne pas être aperçu, ils s’arrêtèrent à quelques mètres de moi, chacun d’un coté du sentier pour se soulager d’un petit besoin pressant. Celui me faisant face et parlant à son copain par-dessus son épaule, se mis à uriner à gros jets, d’un sexe de belle taille devant être au repos, que je voyais très bien, n’étant qu’à moins de 15 m.

Ce n’est qu’au moment de se rajuster qu’il se rendit compte de ma présence. Lançant une blague à son copain disant qu’il y avait un mateur à les regarder, ils s’avancèrent alors tous 2 vers moi, en déballant bien leur engin.

Disant : « et bien regarde, maintenant ». Ne pouvant pas ne pas regarder ces 2 engins exhibés fièrement sous mes yeux, l’un fit semblant de se masturber pour obtenir une érection incroyable. Son sexe grandissait et grossissait à ne plus en finir. J’avais déjà eu des relations avec des potes et vu d’autres queues, mais là, énorme qu’il était, au moins 20 cm de long et 5-6 de diamètre. Bien d’avantage que moi. Enorme et magnifique à la fois. Impressionnant de force et redoutable.

Son pote à coté de moi me dit : « touche la, tu verras bien que ce n’est pas du toc ! »

Sans réfléchir et subjugué, j’avançai la main  pour le saisir, brûlant déjà. De sa main, il m’invita alors à continuer de le tenir et à le branler. Mes doigts ne pouvaient déjà plus en faire le tour, tant il était gros et toujours il gonflait me semblait il. Son pote toujours à coté de moi, se mis à me tâter la braguette disant « mais il bande aussi, ce petit con ». Evidemment, qui dans une telle situation ne banderais pas. J’avais donc également attrapé une belle érection dans mon pantalon.

Se plaçant alors derrière moi, sans autre forme de procès, il me défi la ceinture pour rabattre mon froc sur mes chevilles me mettant le cul à l’air libre et ainsi mieux me voir la zigounette sans comparaison avec la leurs. A la suite d’une légère poussée sur la nuque, et d’une main à la taille, il me força en douceur à me pencher pour sucer son copain. Les lèvres à peine posées sur son gland, il me les écartela un maximum, pour s’y enfourner. J’eu toutes les peines à le garder en bouche.

Celui derrière moi, la position idéale pour …m’enculer d’un seul élan, tout en force et sans aucune préparation. Sous la douleur brutale de sa barre à mine enfoncée ainsi entre mes fesses, sur le coup je crois bien que j’en ai joui immédiatement ! Ayant la bite de son copain bien enfoncée au fond de ma gorge, tout en étant maintenu par les épaules, je ne pouvais absolument rien dire ni faire d’autre que continuer à m’appliquer à le sucer sans le mordre.

Dans mon derrière, il ne devait pas être aussi gros que celui que je tentai de tenir en bouche et qui m’étouffai, mais il devait être de bien belle taille lui aussi, me limant à grand coup profond, à la fois lent et puissant. Sans violence mais avec détermination. De toute façon qu’aurais je pus faire d’autre que subir ?

Se retirant à chaque fois, ce qui constituait à chaque nouvelle entrée anale un quasi-viol, il ne tarda pas ainsi à me remplir le conduit culier de toute sa semence, à longs jets que je sentais brûlant. Son pote m’obligea de suite à me retourner m’écartelant les jambes au maximum pour lui offrir à son tour mon derrière, cette fois bien préparé et tout gluant, pour m’investir illico les entrailles de son énorme engin. Là je cru qu’il me déchirait tant il devait avoir encore grossi, 2 x plus gros que son copain qu’il était. J’ondulais du popotin pour lui facilité l’intromission qu’il fit jusqu’à la garde. Toujours penché, je dus sucer et lécher la queue toute ruisselante de foutre du premier homme, le bout du gland maculé de mes excréments. Cela avait un goût à la fois acre et sucré avec une odeur de noisette. Je m’en pourléchais. Dans de longs mouvements volontaires, le deuxième ne tarda pas lui non plus à lâcher de longs jets de foutre. Je cru qu’il me remplissait les intestins tant les giclées étaient longues et copieuses, et que cela allai me ressortir par la bouche, tant il se lâchait, me procurant des frissonnements bien agréables que je connaissais et aimait bien.

Le premier sur ce, m’éjaculas en bouche, une nouvelle grosse giclée de sperme, qui faillit m’étrangler sous la soudaineté que ça m’en ressorti par les narines. Je ne pus même pas reprendre mon souffle, que déjà je me retrouvais retourné comme une crêpe avec de nouveau l’autre pine en bouche, toute gluante d’un mélange de sperme et matière fécale et toujours aussi grosse et vaillante. Ils ne disaient plus rien, pas un mot ni abus de force mais tout s’enchaînais comme dans un scénario bien réglé. Ne pouvant toujours rien dire et maintenu par les épaules, c’est à peine si je parvenais à respirer.

Tout cela n’était pas pour me déplaire, et tant qu’il n’y avait pas de coups ni réelle violence, je ne broncherais pas en acceptant tous leurs caprices puisque cela me plaisait. Je ne faisais donc qu’accepter ces assauts répétés qu’ils croyaient me faire subir.

 

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Et c’est alors que brusquement, des brûlures atroces se déclenchèrent sur mes fesses et dans mon entre jambe. Le temps de réaliser que l’homme derrière moi, me passaient et repassaient des orties à ces endroits. Je me gardais bien sous la nouvelle douleur, de mordre la pine qui me distendait les mâchoires à m’en faire mal et qui ne tarda pas à cracher de nouveau tout son jus, bien au fond de ma gorge. Je m’étranglai de nouveau sous la violence et l’abondance du jet chaud et gluant, tout en déglutissant à grosses gorgées. Le premier alors me réinvesti à nouveau le cul, et là j’eu vraiment très mal, tout contracté que j’étais de par les piqûres. L’autre, ne se retira de ma bouche qu’un long moment plus tard, obligé à le lécher façon frisko. Il s’accroupi alors à coté de nous et à mains nues à croire qu’il ne ressentait rien, entrepris de me malaxer les couilles et la queue avec des orties, finissant par me branler doucement comme pour traire une vache que j’étais par ma position. Ma bite enserrée dans un fourreau d’orties en fut bientôt toute rouge d’irritations, gonflée à bloc par l’afflux de sang, rongée d’atroces fourmillements me parcourant tout le corps.

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L’autre homme me labourant toujours les entrailles, avait maintenant plus de mal pour sa 3e nouvelle distribution de sperme. La douleur de ces piqûres d’orties retardant longtemps la montée de ma semence, qu’elle sensation agréable de délivrance ce fût lorsqu’elle arriva à gicler avec force comme jamais je crois je n’avais encore joui, en jets interminables comme une fontaine de jouvence. Resserrant aussitôt et involontairement les fesses comme une guillotine, mon anus contracta alors avec force, le zob qu’il enserrait et qui m’astiquait toujours le conduit anal, provoquant ainsi la jouissance de son occupant et la nouvelle inondation de mes entrailles. A croire que ces hommes n’avaient plus joui depuis des années tant ils en avaient à donner. 

Enfin libéré de ces étreintes et épuisé, je m’accroupi, pissant du cul tout le foutre y introduit, ma queue toujours dressée comme un étendard écarlate. Ne débandant pas, elle était rigide, incroyablement grosse et droite. Tendue comme une barre de fer chauffée au rouge chez le ferronnier. Ils se rajustèrent quasi en silence, l’un me disant de me branler à nouveau et de me badigeonner la queue de mon sperme pour atténuer l’urticant, ils me laissèrent ainsi avachi et  disparurent en me saluant. Plus jamais au bois, je ne les revis. Ni autres parts d’ailleurs.

Je m’adossais alors à un arbre et entrepris de me branler très très doucement et longuement, les jambes ruisselant du jus suintant toujours de mon cul.

Ma queue était plus grosse que de coutume, sa peau violette-cramoisie extraordinairement douce, gonflée et tendue à bloc par les milliers de pustules des éruptions urticantes. Des ondes de frissonnement plus agréables me parcourant tout le corps à mesure de l’accoutumance, j’étais là, bêtement seul le croyais je, à mastiquer tout aussi idiotement la verge jusqu’à épuisement, lorsque surgi brusquement face à moi, un autre individu lui aussi âgé d’environ 40 ans.

Hormis d’impressionnant cockrings lui enserrant les testicules et la zigounette dans un savant appareillage, celui ci était totalement nu comme un ver au jour de sa naissance. A poils complet ou plutôt sans poils, car il était rasé de partout. Du pubis au torse, aucuns poils.

Il me dit être tapi dans les fourrés depuis un long moment déjà, bien avant mon arrivée et d’avoir tout vu. Il m’invita à continuer de me branler et de ne pas avoir peur de lui tout comme des autres. Il est vrai que lui aussi portait haut ses couleurs, n’ayant rien à envier aux deux autres, me donnant de nouvelles forces. Jamais un exhibitionniste ne s’était dévoilé comme cela devant moi. La situation étant cocasse et grave à la fois, je me demandais ce que celui ci allait bien pouvoir me faire subir.

Lui face à moi, se contentant de me regarder en se caressant les tétons et les testicules.

Les 2 éjaculations précédentes m’ayant littéralement vidés les couilles, cette dernière y mis du temps. Enfin je recueilli en main avec précaution ma semence encore abondante pour m’enduire de sperme la bite brûlante en me massant langoureusement et là, nouvelle révélation. Cette sensation inouïe de plonger la queue en feu dans un bloc de glace. Quel contraste bienfaisant et surréaliste.

Il me demanda ensuite en toute modestie si je voulais bien le sucer et de faire durer son plaisir le plus longtemps possible, que par la suite je ne le regretterais pas. Ce que je fis en toute naïveté, m’accroupissant appuyé contre l’arbre pour le gober goulûment, je le masturbais simplement de la langue. Il mit plus ¼ H pour se soulager, ses anneaux le freinant. Son éjaculation fût interminable, à petits et brefs jets répétés que j’avalais avec délectation. Il m’embrassa la bouche religieusement, en léchant mes lèvres. Il me demanda ensuite de lui présenter mon derrière, pour le vénérer par une feuille de rose. Ne sachant très bien de quoi il s’agissait, je le lui offris volontiers, ouvert à tout que j’étais. En me maintenant à l’arbre je me penchai lui offrant mon derrière, il me distenda les fesses au maximum, pour y plonger sa langue et me lécher la raie culière. S’attardant sur ma rosette, il suça avec envie le foutre y encore contenu, aspirant avec avidité le mélange sperme / excrément. Rassasié, il me remercia et retourna dans ses buissons.

Je rentrais chez moi en marchant les jambes arquées tant a cause de la dilatation anale que des piqûres. Piqûres qui durèrent encore longtemps dans la soirée, provoquant une agréable chaleur sous les fourmillements et picotements. Quelle très belle après midi se fut là et quelles merveilleuses révélations. Merci encore à ces inconnus !

Mais au fait, les 2 premiers m’avaient-t-ils vus ou pas, lorsqu’ils arrivèrent sur le chemin ???

Allez savoir !

Et voilà pourquoi depuis lors, je suis adepte du sans poils et des cokrings, et que chaque début de printemps, je me rends au bois pour me masturber avec des orties tout en espérant une autre rencontre fortuite.

Je le fais parfois de l’été aussi dans les fourrés des parkings d’autoroutes, car là il finira toujours bien à quelqu’un, de soi disant me surprendre en pleine pratique, puisque que de par l’endroit je la provoque cette intrusion. En étant totalement nu, et muni de gants en latex pour que cette personne ne se pique pas inutilement, ainsi que de godes.

Il m’est arrivé à plusieurs reprises d’ailleurs, d’être ainsi masturbé, par des femmes bien complaisantes. Merci à elles aussi !

 

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Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
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