Lundi 6 décembre 1 06 /12 /Déc 12:44

  Pour cela, j’utilise de petits tubes de plastique employés en aquariophilie (pour le filtrage de l'eau ou conduit d'air). Mon préféré fait 10 mm de diamètre pour environ 25 cm de long comme sur les photos. Mais aussi un plus fin de 5 mm mais très long avec lequel je peux atteindre la vessie, sinon un crayon ou stylo me comble d’aise temporairement aussi.

 

100 0619 

 

100 0622 

 

Lien vers une vidéo bien plus explicite

 

http://www.xtube.com/watch.php?v=Swrua-G348-

 

S’en suivra toujours en vidéo, la suture de mon prépuce en 8 points de couture avec grosse aiguille et gros fil !!!! 

 

Dont voici un aperçu avec des aiguilles à nourice

 

 épingles1

 

 

 

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Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
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Vendredi 3 décembre 5 03 /12 /Déc 11:48

A défaut d’encore avoir des partenaires réguliers, sûrs, et connus jeunes ou moins jeunes des environs, il m’arrive donc bien plus souvent que l’on ne peut l’imaginer (quasi journellement si non 2 -3 jours), à m’occuper moi-même de mon petit anus adoré. Pour cela, j’ai une variété de godes et objets divers qui viennent m’aider a me satisfaire.

Dont voici quelques extraits, non exhaustif, de mon matos

 partie-de-matos-2.JPG

 

 

 

Ensuite, mes tubes plus qu’adorés pour leurs profondeurs a atteindre …

 

 partie de matos 3

 

Hormis les plus simples tuyaux d’arrosage, ce sont des tubes de mousse spéciale pour l’isolation des tuyaux, alimentation eau ou chauffage, existant dans les magasins brico, en différents diamètres sur 1 m de long. Je les prépare en y introduisant soit un morceau de tuyau souple (genre arrosage ou mieux encore, car ils peuvent vous servir à d’autres choses que j’expliquerais plus loin, ceux utilisés en aquariophilie,) ou du papier journal roulé en cigarette, cela rigidifie un peu – pas de trop- l’ensemble. Un bout de scotch collé-serré, au début pour former la tête de fusée, et vous voilà paré pour de belles aventures !

Des repères à intervalles réguliers vous indiquerons la profondeur atteinte.

Allez y avec précaution la toute 1e fois, bien enduire le corps du gode ainsi formé sur 20 cm (c’est suffisant) de lubrifiant. Perso, j’utilise à profusion du savon liquide (genre pousse-…, ou autre équivalent) le liquide vaisselle PH neutre me convient aussi. Citron ou autres parfums tout aussi exotiques n’étant pas l’apanage de nos muqueuses intimes ! Donc à éviter !

 

Pour une introduction facile et progression qui se doit d’être encore plus aisée, adoptez la position de départ suivante (résultat de mes nombreuses invasions). Seul, car étant le plus apte a « ressentir » cette progression démentielle en vous, un partenaire malgré sa précaution ou toute confiance lui accordée ne pourra jamais la « percevoir »comme vous-même,! Non ?

Accroupi, le genou gauche au sol penchez vous du torse sur la jambe droite, cela donne le colon ascendant plus en ligne avec le rectum, introduisez alors délicatement et régulièrement le bout sans forcer ! D’une progression lente et régulière, enfoncez, poussez, par de légers retraits parfois salutaires, enfouissez vous au plus profond qu’il vous est possible, cet incongru gode dans les fesses. Sensations sublimes.

L’avantage d’être seul avec se genre de matos, c’est que nettoyé et désinfecté régulièrement après chaque usage, il ne vous est donc unique ! De ce fait aucune crainte de risque de maladies ni de sida !

 

 

 

 


J’aime, que dis-je j’adore, je sublime être engodé, par des objets les plus différents les uns des autres. Les queues naturelles, n’étant jamais à la hauteur de ce que j’espère par leurs grosseurs et endurance, il me faut dans mon cul autre chose …, Mais c’est pour une autre fois.100_4369.JPG

 

 

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Jeudi 2 décembre 4 02 /12 /Déc 10:36

Il y a peu, lors de l’un de ces derniers jours d’été pourri, lorsqu’il a fait super bon et chaud pour une fois, je suis allé fin d’après midi sur l’un de mes parkings préférés. Comme d’habitude habillé léger (short, tee shirt, chaussettes et basket), je me gare presque en sortie de parking, là où les contacts sont de règles les plus faciles. Certainement inutile aux connaisseurs, je porte en signe distinctif, un foulard orange au cou, indiquant où, quand, et de la façon que tu veux. Où et quand, ben c’est maintenant et ici ! Le comment étant lui aussi quasi toujours pareil ! Pipe ou enculage !!! C’est donc vain de m’affubler de cela étant donné la chaleur. 

Déambulant dans les buissons, le short légèrement baissé laissant apercevoir le bas du dos et le début des fesses, j’inspecte négligemment les alentours. Peu d’amateurs apparemment en cet instant. Attendons. Patience récompensée car soudain un homme surgit, la main sur sa braguette signifiant son intérêt d’actif. Baissant encore un peu plus mon short lui indiquant ma bienveillance et acquiescement si c’était encore nécessaire, je l’entraîne hors du chemin vers un endroit plus feuillu. J’y fais mime d’uriner, le short d’avantage baissé. Au contact, il m’inspecte d’abord le sexe et pose ensuite une main sur le haut de mes fesses, objet de son inclinaison. Sitôt je me penche en descendant complètement le short que je dégage des pieds, l’accrochant à une branche, montrant par ce geste ma compréhension. Fourrageant sa braguette il en sort sa queue de bonnes dimensions, tendue à mort. Une main posée sur mon dos, interdit de me relever. S’humectant inutilement le gland de salive, il le pose ensuite sur mon anus, lubrifié préventivement d’un peu de savon liquide extrait d’un tube de dentifrice recycler que j’ai en poche. D’une longue et régulière poussée, il m’investi derechef les entrailles pour entamer sa chevauchée. Les mains crochées aux hanches, il me sodomise et m’envahi la cheminée à longs coups. D’allégresse, je tire des mains sur mes fesses pour les écarter d’avantage, afin qu’il s’enfonce d’encore quelques millimètres. Trop bon, je me régale.

Soudain, une ombre au sol m’indique l’arrivée d’un nouvel individu. Se connaissant ou par enjouement, demande vulgairement à mon enculeur :- tu la baisse au moins bien à fond cette salope ? Sur la réponse positive, me demande alors s’il pourra prendre la place à la suite ? Mon affirmative achève de le décider a sortir lui aussi son engin. De meilleures ampleurs, celui-ci me comblera d’encore plus d’extase, que celui qui m’occupe les reins. Le saisissant par la hampe, je l’attire vers mon visage pour l’engloutir aussitôt presque en entier, histoire de le faire patienter. Bien en bouche il me suffit alors de feindre de déglutir une dizaine de fois pour lui masser le gland de ma glotte, le faisant jouir à fond de gosier. Râlant d’aise et giclant à gros coups, il me gave de son épais jus. C’est l’instant que mon enculeur choisi, pour lui aussi se vider les couilles dans mon fondement. Retiré et rajusté s’éloigne après une tape amicale, signe d’agrément, sur mes fesses. Le 2e prenant position comme promis, m’enfonce alors sans même débander, sa bite dans le cul. Bien plus gros, il m’envahi de délectation. Sous le charme de cette grosse queue qui me sonde le conduit culier avec ardeur, je jubile d’allégresse. Presque comme un viol, vigoureux, il me trépane les viscères comme j’aime.

Mais diable qu’il est gros et je crois qu’il gonfle encore, tant il m’occupe avec ferveur le fondement. Il va jouir !

Que c’est délicieux de se sentir ainsi approprié, parfois en tournante et sans ménagement. Servir ainsi de lope vide-couilles à tout un chacun en soumission totale, est mon immense plaisir. 

Ses gémissements, m’indiquent qu’il arrive à ses fins et éjacule pour la 2e fois. Signe de satisfaction s’en va, sans autre forme de procès, que d’une bonne claque sur une fesse.

C’est à ce moment que je constate qu’un 3e homme nous observait à distance.

Toujours penché, je garde mon cul offert pointé en bonne position dans sa direction, signe d’invite non plus déguisée. Qu’il en viennent encore d’autres, d’ailleurs. Je ne suis pas suffisamment repu. Ma cuve n’est pas assez emplie à outrance.

Enfin, il s’approche et me saisi la queue gonflée à bloc dans ces cockrings, qu’il manipule doucement. Son attitude devient vite plus précise. D’un doigt puis deux, me caresse l’anus suintant et lubrifié. S’y introduisent, suivi d’un 3e. M’évasant la rondelle, encore et encore, c’est sa main qui s’y fait pressente ! N’étant pas contre le fist non plus, le prie a poursuivre, en offrant d’avantage mon cul. Résistant et en m’empalant quasi moi-même en reculant sur sa main. Celle-ci entière dans mon rectum, ses doits me titillent délicieusement les parois intimes.

Son poignet agile comme un serpent tel un gode, me distant merveillement l’anneau rectal. Ma queue dilatée monstrueuse, palpite dans son autre main qui me masturbe en me trayant tel le pis d’une vache. Pressé entre ces doigts agiles, je m’éclate en jouissant à jets rapides. Mon anus palpitant se muscle machinalement à chaque lancement, comprime le poignet violeur, signal de ma satisfaction.

Lui aussi, d’une tape courtoise, va s’éloigner, lorsque je le supplie de me fesser d’avantage. Alors une tripotée rarement reçue, me tombe sur les globes charnus. Une trentaine de gifles, régulièrement distribuées, me rougissent chaque fesse.

Rajusté, je regagne ma voiture pour rentrer chez moi, satisfait de mon après midi.

 

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Jeudi 2 décembre 4 02 /12 /Déc 10:36

Ce que j’apprécie par-dessus tout lorsque je vais en sauna, c’est de m’exhiber fièrement et sans retenue totalement nu bien sûr, sur une estrade à toute l’assemblée présente et d’ainsi m’offrir complaisamment à chacun pour y subir toutes leurs excentricités, jeux pervers et satisfaire leurs envies et caprices.

Offrir mon fion, à quatre pattes, la meilleure des positions, bien ouvert, avec les couilles pendantes, c'est mon coté bestial. Exhibé hardiment dans cette position de soumission, je présente mon derrière en tournante à qui veut l’investir pendant que je suce l’un ou l’autre. Je me laisse manipuler la bite et les couilles sans entrave et me dirige éventuellement à la demande vers un cheval d’arçon pour m’y exposer et y recevoir une bonne fessée isolée ou en groupe ou encore d'aller vers un sling, tout proche.

C’est ici, que j’ai mes meilleurs souvenirs de fist passif, que je subis encore de temps à autre, associés à ma soumission en sauna, qui est d’être bien installé dans un sling situé dans une petite pièce collective et assez sombre, les jambes outrageusement relevées à l’équerre les pieds vers le plafond. Ce contexte est très important, car exhibitionniste, j’aime de me savoir être vu par 2, 3, 4, ou d’avantage encore d’individu tous inconnus et que je ne reverrais probablement plus jamais. J'attends ainsi fébrilement la pénétration. Sentir d'abord les doigts m'ouvrir lentement le fion, me l'élargir et enfin y entrer, puis complètement d'une main, souvent le poignet et parfois l'avant bras, me procure une excitation hors norme, comme aucun sexe humain ne pourra jamais me combler.

Pendant ces fisting profond, voir les mimiques des acteurs et les regards avides des suivant, me ravissent d’aise. Discernant leur envie d’y être à leur tour, mais n’osant bien souvent tout simplement pas.

Les caresses, malaxe des pectoraux, pincement sadiques des tétons, par les hommes attendant leur tour, les couinements des chaines du sling sous les coups de reins ou de mains qui vous investissent profondément, oui, cela est très jouissif et troublant.

Subir ainsi une séance de fist passif est très excitant, certes, mais le vivre devant un public de voyeurs qui peuvent devenir acteurs très actifs à tout moment, devient un summum de la jouissance, physique et cérébrale. De plus, la position me permettant de voir cette main et puis ce bras qui te taraude et s’enfonce entre tes fesses… Surtout quand ces mecs bavent a te voir subir ces caprices et simili tortures, croyant que tu soufre le martyre…alors qu’il n’en est rien ! Et, tour à tour te sucent, te triturent, te malaxent les couilles, te pincent les fesses, les tétons, tout en te faisant parfois sniffer des poppers de temps en temps ! Et, te balançant au bout de ces chaînes qui crissent... certains encore te donnant même des claques sur les fesses ! Salivant en attendant leur tour de t’enfoncer leur main dans les entrailles. Inoubliable et jubilatoire.
Et, cerise sur le gâteau : le complément incontournable d'un fist exhib bien réussi, c’est quand arrive le moment réel de la " tournante ", pour te fister à leur tour ou t'enculer. J'adore voir ces mecs, queue en l'air, se mettre un préservatif et se faire parfois des politesses pour savoir qui va te baiser le premier ! J'aime sentir les coups de reins, contempler les visages grimaçants de volupté, sur fond sonore de grincements lancinant des chaînes du sling, de leurs propos souvent orduriers, et d’autres trop impatient à se retenir qui te gicle directement leur purée sur le corps...
Oui ce contexte m’est très important ! ....A apprécier à sa juste valeur !!!

Mais attention, petite nuance quand même. Chacune de mes visites au sauna, ne s’est pas toujours passées comme cela. Le temps lui-même jouant sur la présence ou non de public, participants eux-mêmes très indécis. Cela fait que chaque visite sera toujours différente, réservant son lot de surprise.

 

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Lundi 29 novembre 1 29 /11 /Nov 10:31

Il y a quelques années, j’avais environ 50ans, de mes moments de drague précédent sur l’un de mes parkings préférés déjà évoqués, j’avais déjà à plusieurs reprises remarqué qu’une camionnette avec plusieurs ouvriers, s’arrêtait certains jours à peu près à la même heure, à proximité de mon endroit privilégié, pour un arrêt « pipi ». Cette camionnette équipée genre mini bus, véhiculait incontestablement des hommes du bâtiment, en provenance d’un chantier de la capitale et retournant en province.

Quoi qu’il en soit, en ce vendredi de mai déjà très chaud pour la saison et de bon augure pour l’été à venir, donc propice aux exhibitions, je m’y trouvais en maraude et bien entendu, en très stricte tenue d’Adam à part de légères sandalettes aux pieds.

Mes légers vêtements étant cachés dans des branchages, tout proche de ma voiture. Mon sexe et couilles enserré dans mon appareillage perso de cockring (voir photos), je déambulais façon sioux dans les buissons car pas encore assez touffus, la verge tendue et fière, dans l’attente de chaudes rencontres, et néanmoins prêt à me cacher au besoin.

La circulation d’heure de pointe était très dense sur l’autoroute, chacun pressé de rentrer chez lui. Mais le parking encore assez calme, n’allait pas tarder à subir son affluence « d’amateurs » bien particulier. Ainsi presque en face de mon endroit, il y avait aussi un émule nu, que j’apercevais par moments venant en orée des bosquets pour observer les allées et venues. Lui-même, moins discret d’ailleurs et que je connaissais de vue, ne m’avait même pas aperçu.

D’une alerte par le passage d’un véhicule de tuniques bleues quelques 10’ plus tôt et par expérience, je savais maintenant être tranquille un bon moment, à ce propos. Trop occupés par la circulation, ils ne reviendront plus de ces instants-ci. Les sens malgré tout toujours en éveils, les mauvaises surprises pouvant survenir à tous moments.

Comme le confrère d’en face, je venais par instants en lisière des fourrés observer les alentours, lorsque soudain la fameuse camionnette, s’arrêtât presque face à moi. Surpris à mon propre piège, plus de retraite éventuelle possible vers mes effets, ceux-ci se trouvant à l’opposé.

Aussitôt 5 hommes d’âge variés en descendirent pour, en large arc de cercle sur la pelouse rêche, procéder à leur arrêt pipi. L’un presque face à moi, à moins de 2 m et parlant à son copain la tête tournée sur le coté, ne pourra pas ne pas m’apercevoir lorsqu’il regardera devant lui. Impossible. Seul quelques branches aux feuilles éparses nous séparent. Soudain pour se rajuster, me voit et, étant immobile, m’enhardi alors néanmoins fièrement avec ma hampe super tendue en faisant encore un pas en avant, presque en dehors des buissons pour y être ainsi certain d’être vu en érection dans ma nudité la plus totale, en invite non déguisée. Ameutant et alertant aussitôt les autres hommes de la présence d’un exhibi-voyeur, s’avance promptement dans ma direction.

A ce moment, plus d’échappatoire possible. L’instant que je suscitais et avais finalement provoqué étant arrivé, je fis front à l’assaut imminent, mais pour plus de discrétion reculais néanmoins de 2-3 pas dans les fourrés et attendis leur rapide arrivée. Me rejoignant très vite en totale érection maintenant, son sexe rigide et turgescent en main, il me caresse une fesse, marquant un temps d’arrêt de quelques secondes pour me contempler complètement nu, me féliciter à la fois de mon indécente et de ma proposition leur ainsi offerte. Me disant que j’allais donc en avoir pour mon compte !

Aussitôt une main posée fermement sur la nuque, plus en obligation qu’en invite d’ailleurs, m’oblige immédiatement à me plier pour l’engloutir. Forçant mes lèvres, il m’envahi illico le gosier tout entier. Pas très gros, je suffoquais néanmoins sous la précipitation de l’attaque. De la pose ainsi penchée et non équivoque que je pris ostensiblement avec mon derrière présenté de façon très impudique avec les jambes admirablement écartées, bien vite le gland d’un 2e homme, se pressa sur mon anus. Ma rondelle lubrifiée à l’avance et s’évasant à souhait, cette pine y fut engloutie spontanément à fond de culée. Se cramponnant alors dans mes hanches il attaqua sauvagement une chevauchée d’enfer, et en quelques coups trop rapides, éjacula son sperme brulant au fond de mes entrailles.

Subitement entouré par tous ces hommes attroupés, auxquels se joignirent encore le chauffeur et 2 autres restés à l’intérieur du véhicule, une nuée de mains se pressèrent sur tout le corps, me caressant et me  palpant sous toutes les coutures.

Entouré par tous ces rustres males en rut toutes bites dehors, maintenant excités comme pas possible par ma tenue et l’offrande volontaire que je leur faisais de mon corps, j’allais maintenant puisque je l’avais cherché et voulu ardemment, leur servir en hommage de vides couilles. Il devrait certainement m’en cuire sévèrement par de véritables viols si je voulais à présent m’échapper ou seulement vouloir arrêter, avant que tous n’aient eu le temps de décharger leurs couilles. Je restais donc bien coi, préparé à ne refuser aucunes de leurs envies, a subir toutes leurs outrances et excès. Pourquoi devrait-il avoir violence de leurs parts puisque je suis consentant ? Je suis là pour cela. Peut-être brusquerie sous leurs précipitations, mais bon ça fait pas de mal.

Crachant soudainement le jus que le 1e venait de gicler dans ma bouche, deux autres queues prirent aussitôt possession des trous laissés trop brièvement libres.

Celles-ci beaucoup plus grosses m’envahirent impitoyablement pour, elles aussi entamer leurs va et vient interne. De la bouche, et me tenant la tête agitée les mains plaquées aux oreilles, celle-ci cognait le fond de ma glotte, écartelant mes mâchoires à outrance. Du derrière, des râles de satisfaction m’indiquèrent déjà la libération rapide et imminente du pseudo violeur. Une autre tige impatiente tentât même de forcer mes lèvres pour envahir ma cavité buccale alors qu’elle était toujours toute entière occupée par la grosse queue précédente. S’astiquant impatiemment le chibre et se frottant sur mes lèvres, pendant que je suçais son copain, il arriva ainsi à éjecter inutilement sa semence sur ma joue. Celle en bouche finissant très vite elle aussi à me gicler tout son foutre profondément dans la gorge, inondant mes amygdales.

A peine retiré de mes sphincters, une nouvelle bite en pris l’assaut avec force, tout comme ma bouche d’ailleurs, à nouveau appropriée par une juvénile queue, fine mais très longue.

Eux aussi entamèrent de furieux mouvement alternés et véloces, comme pressés d’en finir au plus vite. Mon conduit culier ramoné de ces façons rudes et coriaces commença à crier sa douleur. Bien vite celui qui l’occupait m’inonda à nouveau les intestins à brusques coups énergiques. Secoué et ballotté rapidement en tous sens par ces hommes, ils me passèrent ainsi tous sur le corps, ou plutôt dans le corps, en quelques minutes à peine, chacun à leur tour. Tourbillonnant du cul sous leurs injonctions pour être fesses à l’enculeur, encerclé par tous, mes globes charnus étaient ainsi rapidement présentés de l’un à l’autre, cajolés et envahis. Une dure claque, parfois. Par moment tout en suçant la pine que j’avais en bouche, je pouvais observer les alentours sous un angle de vue plutôt restreint. C’est ainsi qu’à un moment donné que je vis l’un d’entre eux, d’age plus que mûr, face à moi, et de type forcément étranger, genre turc ou arabe, attendant calmement son tour, s’enduire la hampe et le gland d’une crème blanche.

Heureux présage et surtout prudent ! Car il était tout simplement énorme. Bien plus gros en diamètre que les bouteilles d’eau minérale de 50cl que j’utilise généralement en entraînement, mais aussi très long.

Ayant déjà reçu de très gros diamètre dans le fondement, et même fisté à de nombreuses reprises, cela ne m’inquiétât pas outre mesure. Hormis la précipitation subie depuis le début, je n’en retirais pas encore vraiment beaucoup de plaisir. Seule satisfaction comme je l’avais voulu, le nombre de prises et être manipulé rudement.

Celle-ci allait au moins m’en procurer !

La place anale se libérant après la satisfaction du dernier enculeur, il prit position derrière moi. D’une seule et hâtive poussée, il s’enfonça instantanément l’immense queue entre mes fesses écartelées à outrance, durement malmenées depuis le début. Solidement maintenu par toutes ces mains m’entourant, je ne pu plus bouger d’un seul cm et endura cet assaut agressif, en poussant un cri étouffé par une nouvelle queue entrée férocement en bouche.

Un suave parfum noisette renforcé d’ailleurs d’un peu de crème anale, m’indiqua sans hésitation possible, que celle-ci sortait de mon adorable cul. Je m’en pourléchais les babines.

Instantanément une violente et interne brûlure anale, me fit gigoter en tous sens, voulant ainsi échapper à cette énorme étreinte quasi contre nature, tant elle était disproportionnée. Mais profondément fiché en moi, vigoureusement encerclé comme je l’étais, mission impossible. La raison était tout autre. La brûlure anale était atroce. Cramponné dans mes chairs il me ramonait la cheminée avec furie. Cela dura de longues minutes durant lesquelles, il me secoua à grands coups de pistonnages, lorsqu’ enfin, il me noya les entrailles en poussant de longs gémissements. Se retirant enfin avec un étrange bruit de succion, comme une bouteille de champagne qui saute, je senti aussitôt les dégoulinades de spermes le long de mes jambes et m’avachi accroupi au sol, épuisé, crachant et toussotant. L’anus littéralement en feu, je compris alors, qu’il s’était enduit la queue de baume ou crème réchauffante utilisée pour les massages musculaires sportifs.

Ainsi en moins de 20 voire 25 minutes toutes au plus, ils déchargèrent tous leurs testicules dans mes entrailles que je leurs avaient offertes complaisamment.

Plusieurs s’étaient déjà éloignés et les derniers après s’être rajustés, pratiquement sans un mot, à part me demander si l’on se reverra, rejoignirent la camionnette me laissant là, recroquevillé au sol, pissant du cul tout le foutre qu’ils y avaient introduis à la chaîne. En démarrant, me firent au revoir, heureux du bon moment passé. Et pour cause ! Ben tiens !!!!

Mon derrière brûlant de douleurs d’avoir été malmené si vigoureusement en très peu de temps, criait son martyre à travers mes chairs. Mais j’étais super content. Content et heureux, prêt à recommencer d’ailleurs. C’est qu’ainsi que joignant enfin l’endroit où se trouvaient mes vêtements, les jambes flageolantes, j’y restais un bon moment, pour encore servir de vide couilles à 3 autres hommes y arrivés individuellement par la suite, ne pouvant évidemment deviner ce qu’il s’y était passé peu de temps avant. J’étais donc super satisfait de ma journée.

Content non seulement du plaisir à vouloir m’exhiber de la sorte, de m’offrir ainsi de cette façon comme vide couilles et subir des pénétrations à la chaîne, content aussi d’avoir vaincu mon anxiété d’affronter plusieurs hommes à la fois, content donc des étreintes passives subies.

Et, la semaine suivante ainsi que durant celles des mois qui suivirent à chaque fois le vendredi, je retrouvais avec ravissement cette camionnette, pas toujours avec les mêmes hommes ni d’ailleurs en même nombres. Parfois 1 ou 2 de plus ou de moins, mais toujours des possessions intenses, rapides, librement consenties et non cruelles, - ils l’avaient d’ailleurs bien compris, sinon je n’aurais plus été là -, aussi majestueuses, rapides et expéditives. Puis un beau jour…plus de mini bus, sans doute d’autres chantiers…Dommage.

 

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