Lundi 29 novembre 1 29 /11 /Nov 10:31

Il y a quelques années, j’avais environ 50ans, de mes moments de drague précédent sur l’un de mes parkings préférés déjà évoqués, j’avais déjà à plusieurs reprises remarqué qu’une camionnette avec plusieurs ouvriers, s’arrêtait certains jours à peu près à la même heure, à proximité de mon endroit privilégié, pour un arrêt « pipi ». Cette camionnette équipée genre mini bus, véhiculait incontestablement des hommes du bâtiment, en provenance d’un chantier de la capitale et retournant en province.

Quoi qu’il en soit, en ce vendredi de mai déjà très chaud pour la saison et de bon augure pour l’été à venir, donc propice aux exhibitions, je m’y trouvais en maraude et bien entendu, en très stricte tenue d’Adam à part de légères sandalettes aux pieds.

Mes légers vêtements étant cachés dans des branchages, tout proche de ma voiture. Mon sexe et couilles enserré dans mon appareillage perso de cockring (voir photos), je déambulais façon sioux dans les buissons car pas encore assez touffus, la verge tendue et fière, dans l’attente de chaudes rencontres, et néanmoins prêt à me cacher au besoin.

La circulation d’heure de pointe était très dense sur l’autoroute, chacun pressé de rentrer chez lui. Mais le parking encore assez calme, n’allait pas tarder à subir son affluence « d’amateurs » bien particulier. Ainsi presque en face de mon endroit, il y avait aussi un émule nu, que j’apercevais par moments venant en orée des bosquets pour observer les allées et venues. Lui-même, moins discret d’ailleurs et que je connaissais de vue, ne m’avait même pas aperçu.

D’une alerte par le passage d’un véhicule de tuniques bleues quelques 10’ plus tôt et par expérience, je savais maintenant être tranquille un bon moment, à ce propos. Trop occupés par la circulation, ils ne reviendront plus de ces instants-ci. Les sens malgré tout toujours en éveils, les mauvaises surprises pouvant survenir à tous moments.

Comme le confrère d’en face, je venais par instants en lisière des fourrés observer les alentours, lorsque soudain la fameuse camionnette, s’arrêtât presque face à moi. Surpris à mon propre piège, plus de retraite éventuelle possible vers mes effets, ceux-ci se trouvant à l’opposé.

Aussitôt 5 hommes d’âge variés en descendirent pour, en large arc de cercle sur la pelouse rêche, procéder à leur arrêt pipi. L’un presque face à moi, à moins de 2 m et parlant à son copain la tête tournée sur le coté, ne pourra pas ne pas m’apercevoir lorsqu’il regardera devant lui. Impossible. Seul quelques branches aux feuilles éparses nous séparent. Soudain pour se rajuster, me voit et, étant immobile, m’enhardi alors néanmoins fièrement avec ma hampe super tendue en faisant encore un pas en avant, presque en dehors des buissons pour y être ainsi certain d’être vu en érection dans ma nudité la plus totale, en invite non déguisée. Ameutant et alertant aussitôt les autres hommes de la présence d’un exhibi-voyeur, s’avance promptement dans ma direction.

A ce moment, plus d’échappatoire possible. L’instant que je suscitais et avais finalement provoqué étant arrivé, je fis front à l’assaut imminent, mais pour plus de discrétion reculais néanmoins de 2-3 pas dans les fourrés et attendis leur rapide arrivée. Me rejoignant très vite en totale érection maintenant, son sexe rigide et turgescent en main, il me caresse une fesse, marquant un temps d’arrêt de quelques secondes pour me contempler complètement nu, me féliciter à la fois de mon indécente et de ma proposition leur ainsi offerte. Me disant que j’allais donc en avoir pour mon compte !

Aussitôt une main posée fermement sur la nuque, plus en obligation qu’en invite d’ailleurs, m’oblige immédiatement à me plier pour l’engloutir. Forçant mes lèvres, il m’envahi illico le gosier tout entier. Pas très gros, je suffoquais néanmoins sous la précipitation de l’attaque. De la pose ainsi penchée et non équivoque que je pris ostensiblement avec mon derrière présenté de façon très impudique avec les jambes admirablement écartées, bien vite le gland d’un 2e homme, se pressa sur mon anus. Ma rondelle lubrifiée à l’avance et s’évasant à souhait, cette pine y fut engloutie spontanément à fond de culée. Se cramponnant alors dans mes hanches il attaqua sauvagement une chevauchée d’enfer, et en quelques coups trop rapides, éjacula son sperme brulant au fond de mes entrailles.

Subitement entouré par tous ces hommes attroupés, auxquels se joignirent encore le chauffeur et 2 autres restés à l’intérieur du véhicule, une nuée de mains se pressèrent sur tout le corps, me caressant et me  palpant sous toutes les coutures.

Entouré par tous ces rustres males en rut toutes bites dehors, maintenant excités comme pas possible par ma tenue et l’offrande volontaire que je leur faisais de mon corps, j’allais maintenant puisque je l’avais cherché et voulu ardemment, leur servir en hommage de vides couilles. Il devrait certainement m’en cuire sévèrement par de véritables viols si je voulais à présent m’échapper ou seulement vouloir arrêter, avant que tous n’aient eu le temps de décharger leurs couilles. Je restais donc bien coi, préparé à ne refuser aucunes de leurs envies, a subir toutes leurs outrances et excès. Pourquoi devrait-il avoir violence de leurs parts puisque je suis consentant ? Je suis là pour cela. Peut-être brusquerie sous leurs précipitations, mais bon ça fait pas de mal.

Crachant soudainement le jus que le 1e venait de gicler dans ma bouche, deux autres queues prirent aussitôt possession des trous laissés trop brièvement libres.

Celles-ci beaucoup plus grosses m’envahirent impitoyablement pour, elles aussi entamer leurs va et vient interne. De la bouche, et me tenant la tête agitée les mains plaquées aux oreilles, celle-ci cognait le fond de ma glotte, écartelant mes mâchoires à outrance. Du derrière, des râles de satisfaction m’indiquèrent déjà la libération rapide et imminente du pseudo violeur. Une autre tige impatiente tentât même de forcer mes lèvres pour envahir ma cavité buccale alors qu’elle était toujours toute entière occupée par la grosse queue précédente. S’astiquant impatiemment le chibre et se frottant sur mes lèvres, pendant que je suçais son copain, il arriva ainsi à éjecter inutilement sa semence sur ma joue. Celle en bouche finissant très vite elle aussi à me gicler tout son foutre profondément dans la gorge, inondant mes amygdales.

A peine retiré de mes sphincters, une nouvelle bite en pris l’assaut avec force, tout comme ma bouche d’ailleurs, à nouveau appropriée par une juvénile queue, fine mais très longue.

Eux aussi entamèrent de furieux mouvement alternés et véloces, comme pressés d’en finir au plus vite. Mon conduit culier ramoné de ces façons rudes et coriaces commença à crier sa douleur. Bien vite celui qui l’occupait m’inonda à nouveau les intestins à brusques coups énergiques. Secoué et ballotté rapidement en tous sens par ces hommes, ils me passèrent ainsi tous sur le corps, ou plutôt dans le corps, en quelques minutes à peine, chacun à leur tour. Tourbillonnant du cul sous leurs injonctions pour être fesses à l’enculeur, encerclé par tous, mes globes charnus étaient ainsi rapidement présentés de l’un à l’autre, cajolés et envahis. Une dure claque, parfois. Par moment tout en suçant la pine que j’avais en bouche, je pouvais observer les alentours sous un angle de vue plutôt restreint. C’est ainsi qu’à un moment donné que je vis l’un d’entre eux, d’age plus que mûr, face à moi, et de type forcément étranger, genre turc ou arabe, attendant calmement son tour, s’enduire la hampe et le gland d’une crème blanche.

Heureux présage et surtout prudent ! Car il était tout simplement énorme. Bien plus gros en diamètre que les bouteilles d’eau minérale de 50cl que j’utilise généralement en entraînement, mais aussi très long.

Ayant déjà reçu de très gros diamètre dans le fondement, et même fisté à de nombreuses reprises, cela ne m’inquiétât pas outre mesure. Hormis la précipitation subie depuis le début, je n’en retirais pas encore vraiment beaucoup de plaisir. Seule satisfaction comme je l’avais voulu, le nombre de prises et être manipulé rudement.

Celle-ci allait au moins m’en procurer !

La place anale se libérant après la satisfaction du dernier enculeur, il prit position derrière moi. D’une seule et hâtive poussée, il s’enfonça instantanément l’immense queue entre mes fesses écartelées à outrance, durement malmenées depuis le début. Solidement maintenu par toutes ces mains m’entourant, je ne pu plus bouger d’un seul cm et endura cet assaut agressif, en poussant un cri étouffé par une nouvelle queue entrée férocement en bouche.

Un suave parfum noisette renforcé d’ailleurs d’un peu de crème anale, m’indiqua sans hésitation possible, que celle-ci sortait de mon adorable cul. Je m’en pourléchais les babines.

Instantanément une violente et interne brûlure anale, me fit gigoter en tous sens, voulant ainsi échapper à cette énorme étreinte quasi contre nature, tant elle était disproportionnée. Mais profondément fiché en moi, vigoureusement encerclé comme je l’étais, mission impossible. La raison était tout autre. La brûlure anale était atroce. Cramponné dans mes chairs il me ramonait la cheminée avec furie. Cela dura de longues minutes durant lesquelles, il me secoua à grands coups de pistonnages, lorsqu’ enfin, il me noya les entrailles en poussant de longs gémissements. Se retirant enfin avec un étrange bruit de succion, comme une bouteille de champagne qui saute, je senti aussitôt les dégoulinades de spermes le long de mes jambes et m’avachi accroupi au sol, épuisé, crachant et toussotant. L’anus littéralement en feu, je compris alors, qu’il s’était enduit la queue de baume ou crème réchauffante utilisée pour les massages musculaires sportifs.

Ainsi en moins de 20 voire 25 minutes toutes au plus, ils déchargèrent tous leurs testicules dans mes entrailles que je leurs avaient offertes complaisamment.

Plusieurs s’étaient déjà éloignés et les derniers après s’être rajustés, pratiquement sans un mot, à part me demander si l’on se reverra, rejoignirent la camionnette me laissant là, recroquevillé au sol, pissant du cul tout le foutre qu’ils y avaient introduis à la chaîne. En démarrant, me firent au revoir, heureux du bon moment passé. Et pour cause ! Ben tiens !!!!

Mon derrière brûlant de douleurs d’avoir été malmené si vigoureusement en très peu de temps, criait son martyre à travers mes chairs. Mais j’étais super content. Content et heureux, prêt à recommencer d’ailleurs. C’est qu’ainsi que joignant enfin l’endroit où se trouvaient mes vêtements, les jambes flageolantes, j’y restais un bon moment, pour encore servir de vide couilles à 3 autres hommes y arrivés individuellement par la suite, ne pouvant évidemment deviner ce qu’il s’y était passé peu de temps avant. J’étais donc super satisfait de ma journée.

Content non seulement du plaisir à vouloir m’exhiber de la sorte, de m’offrir ainsi de cette façon comme vide couilles et subir des pénétrations à la chaîne, content aussi d’avoir vaincu mon anxiété d’affronter plusieurs hommes à la fois, content donc des étreintes passives subies.

Et, la semaine suivante ainsi que durant celles des mois qui suivirent à chaque fois le vendredi, je retrouvais avec ravissement cette camionnette, pas toujours avec les mêmes hommes ni d’ailleurs en même nombres. Parfois 1 ou 2 de plus ou de moins, mais toujours des possessions intenses, rapides, librement consenties et non cruelles, - ils l’avaient d’ailleurs bien compris, sinon je n’aurais plus été là -, aussi majestueuses, rapides et expéditives. Puis un beau jour…plus de mini bus, sans doute d’autres chantiers…Dommage.

 

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Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
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