Mercredi 16 février 3 16 /02 /Fév 17:23

Fessée qui, bien que voulue ne se déroule pas comme convenu et fini par une tournante en abattage sur chantier.

Ayant fait passer une petite annonce sur un site spécialisé cherchant un pro"fesseur" ou fesseuse, j'y reçu quelques réactions. Après échanges nombreux de mails avec chacun d’entre eux, j’en sélectionnais une, qui retenais toute mon attention, car émanent d’un actif, d’environ mon âge, me détaillant un scénario assez bien cossu, varié et plaisant à souhait. Ne pouvant recevoir, cela devait se passer chez lui mais dommage car assez distant de chez moi !

Ne pouvant m’en passer et ayant enfin fini par convenir d’une date, et les quelques 40 km parcourus, j’arrivais tout ragaillardi en vue de chez lui. J’étais en tenue convenue, c'est-à-dire vêtements léger au strict minimum et mes cockring habituels.

Le quartier résidentiel en périphérie de la ville respire la quiétude. De nombreux pavillons et villas isolés par de petits jardinets très bien entretenus en bord de grande route. Des chantiers toujours présents, attestent de l’activité des environs. Me garant et, avant même de sonner à la porte désignée, celle-ci s’ouvre immédiatement à mon approche, preuve que j’étais attendu et épié. Mon hôte m’invite dans son hall d’entrée et m’informa aussitôt d’une indisponibilité de dernière minute, car 2 copains en visite impromptue y sont présent. Ces derniers, d’ailleurs partisans et adeptes de la "chose", informés de ma venue, il ne me resterait donc qu’à moi seul, d’accepter éventuellement cette réunion impromptue à 4 au lieu de 2.

Leur présence est-elle vraiment fortuite ou leur a-t-elle été « téléphonée » par mon hôte ?  

Appréciant également les parties à plusieurs, je n’ai donc vraiment pas beaucoup hésité à y donner mon accord. Entrant alors dans le living, j’y constate que 2 hommes, aussi environ la 40taine y sont vautrés dans les fauteuils. L’un, son sexe hors du pantalon se tiens en main et se manuellise distraitement.

J’y suis ordonné de suite a me désaper. Ce que j’acquiesce illico et rapidement n’ayant en fait rien grand-chose sur moi. Me présentant intégralement nu, imberbe avec mes cockring, le 2e  homme ayant dégagé la table des objets qui l’encombraient, me dit de m’y aplatir dessus. Mes poignets, bras écartelés et étendus sont aussitôt attachés de l’autre coté avec des sangles par l’autre homme. Je me trouve ainsi le torse posé sur la table, le menton exactement au bord opposé avec mon derrière qui pointe et présente bien. Les pieds bien campés, écartés eux aussi sont attachés aux autres pieds de la table.

Là, je suis a leur merci, dans l’impossibilité aucune de bouger. Chacun d’entre eux, maintenant se déshabille aussi. L’un, une queue assez impressionnante, me la met devant les lèvres. Pas d’autre choix que de la prendre en bouche… mais s’enfonçant davantage, il s’y fait une gorge profonde. M’étranglant et suffocant, j’assume. Une main me caresse et cajole les fesses.

Court répit, les gifles me tombent alors drues, alternées, bien à plat. Une fesse puis l’autre. Se relayant, les 2 hommes fessent en cadence. Ne pouvant rien dire à cause de la pine en bouche, que j’ai d’ailleurs failli mordre sous la soudaineté de l’assaut, je ne peux émettre que de vagues borborygmes. Les larmes aux yeux, j’assume. La chaleur de mes fesses m’irradie tout le corps. Depuis ces quelques minutes paraissant des heures, elles doivent être cramoisies. Les claques continuent à me tomber dessus, moins fort me semble t-il. La fatigue sans doute, ils commencent à ralentir le rythme. Et enfin, ils arrêtent. Et toujours cette bite immobile au fond de mon gosier. Ainsi, sans même être bâillonné, je n’ai pu crier et aucuns voisins ou passants n’aura rien entendu. Je ne sais même pas avaler ma propre salive qui s’écoule au sol.

L’un, me caresse les globes et je ressens une douce fraicheur. Moment qu’enfin la bite en bouche, choisi pour s’activer.

Il m’oint la raie et l’anus.

En effet, un gland prend position sur celui-ci, force et entre de façon quasi toute naturelle. M’investissant sur toute sa longueur, la queue s’introduit dans mon conduit anal, me distendant adorablement, et s’agite néanmoins trop nerveusement.

Je sens qu’il éjacule à gros coups violant et puis se retire. Pour être remplacé aussi vite par le 2e homme. Celui-ci, doit être un peu moins gros, mais m’encombre quand même le conduit, me distendant la rondelle. La longue bite allant et venant dans ma bouche, fini elle aussi par me cracher son venin directement au fond du gosier. Juste déglutir sans même gouter. Frustrant.

L’enculeur finissant lui aussi son œuvre, ils me félicitent tout 3 pour mon endurance et mon aptitude.

L’un me fait alors, une étrange proposition. Face à mon inclination et mon appétence, il me dit connaître d’autres hommes envieux et prêts à me combler d’aise, si j’en avais le désir. Ceux-ci sont les hommes du bâtiment en chantier en face. 8 ou 10, dit-il. Ben après tout, pourquoi pas ? Ok dis-je, on peut y aller, je suis prêt à me faire mettre par chacun qui le voudra. Mais avec capote !

Nous rhabillant, nous traversons bien vite la route pour nous rendre dans le sous sol du bâtiment en question. Des garages et caves, encore dépourvus de porte mais d’apparence assez propre. Des tas de sacs de ciment ou autres sont disposés de-ci delà. Avisant l’une des piles plus à l’écart, 2 hommes m’y entrainent pendant que l’autre va au rabattage. Me disant de me désaper, ils déplacent des sacs sur lesquels je me mets en appui, à genoux, jambes écartées. Mon derrière dans un bon axe est à hauteur idéale. 2 hommes déjà rabattus arrivent. Très rapidement, l’un m’investi les entrailles et se satisfait que l’autre y va lui aussi d’un bourrage généreux. L’arrivée gaillarde et bruyante de 3 autres ne distrait personne.

Durant près de 1/2 d’H, ils seront ainsi une dizaine à me rudoyer les entrailles et de prendre leurs pieds.

J’en ai reçu plein de plaisir. J’aime me soumettre en pareille situation. Le retour me fut assez pénible à cause de ne pouvoir m’asseoir correctement. 

 

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Samedi 12 février 6 12 /02 /Fév 11:10

 

Un jour, revenant d’avoir été cherché de la documentation de voyage dans un office de tourisme des environs, je décidais de passer par le quartier de Matongé de Bruxelles (quartier africain) avant de rejoindre la gare pour mon retour. J’aime bien passé par là, pour l’ambiance assez folklorique et particulière du lieu.

Comme il faisait très chaud, je décidais de m’attarder et de prendre une consommation dans un de ces typiques petits cafés.  J’entrais donc dans le premier venu et m’installais tranquillement à une table. Quatre noirs à une autre table, y jouaient bruyamment aux dominos, un autre avec un blanc discutaient accoudés au bar, une autre table occupée par un noir seul, tandis que le patron lui aussi noir essuyait des verres dans son comptoir. A mon entrée, la plupart me dévisagèrent comme lorsqu’un nouveau venu fait irruption dans un lieu.

Le patron ayant apporté ma commande, je me plongeais négligemment dans mes prospectus mais bientôt, la sensation étrange d’être épié et ausculté, celle d’un regard scrutateur posé sur vous, m’envahi. Relevant la tête, j’inspectais à la dérobée les alentours et constatais qu’il s’agissait du noir, seul à sa table qui me regardais avec insistance. Nos regards se croisèrent et il eu un petit sourire. Je n’y prêtais pas plus d’attention et me replongeais dans ma documentation mais toujours cet indéfinissable malaise d’être scruté. Durant les minutes qui suivirent, nos regards se croisèrent maintes et maintes fois, et toujours ce sourire un peu idiot. Mon verre presque vide, fut remplacé par le patron en disant m’être offert par ce noir.

Ma parole, mais voilà que je me fais draguer maintenant! Sans trop le vouloir, je lui fis signe merci et santé ! Par geste, il me demanda s’il pouvait se rapprocher, et n’ayant pas d’apriori, je fis oui de la tête.

Ainsi, durant près de 10’ nous parlerons de tout et de rien.

Sachant très bien ce que l’un et l’autre pense et envie de son vis-à-vis, il me propose soudain de le suivre chez lui, prendre un verre, habitant à quels que pas de là.

Sans hésitation j’accepte son invitation, et histoire de lui montrer que je ne suis pas dupe, lui dit tout de go que je souhaite qu’il soit bien « monté »parce que j’aime les gros calibres. Tout bas, il m’assure que oui, que je n’ai pas à m’en faire à ce sujet, qu’il en a une comme une pine d’âne, bourrée d’énergie prête à servir et me combler d’aise, que jamais plus je n’en verrais une pareille !

Vidant alors nos consommations, nous sortons du café et nous nous dirigeons vers un immeuble tout proche, de plusieurs étages divisés en plusieurs lofts ou studios, d’après le nombre des boites aux lettres. Arrivé dans son logement très rudimentaire (une grande pièce salon-chambre à coucher avec un coin cuisine, une petite salle de bain-toilette dans un autre coin dissimulé par un rideau), nous nous dévêtissions rapidement pour se coucher tête-bêche sur le lit.

 

PICT004Il me fait compliment de mon service 3 pièces enserré dans ses cockring et de mon pubis totalement imberbe.

J’en fais de même pour lui, car effectivement, c’est un vrai âne en rut. Une queue noire luisante, tendue à l’extrême. Enorme, plus de 6 cm de ǿ et d’une longueur…assez démentielle ! Ses poils denses et crépus, sont rêches au touché.

Je crains cette bite et l’envie tout à la fois. Déjà, je l’empoigne et tente de me l’introduire en bouche, je dois écarteler les mâchoires de façon démesurée. J’y parviens enfin et suce avec délectation cette pine africaine au gout étrange, que je m’enfonce aussi loin que possible dans la gorge évitant de m’étrangler. Il me fait pareil et me pompe avec ardeur. Sous l’appétence j’en suis déjà presque à éjaculation que je me retiens avec force. Heureusement, bien vite il me fait mettre à quatre pattes, lui offrant ainsi mon derrière, objet de sa convoitise.

Me positionnant correctement, les jambes fort écartées, le derrière détendu, dans une posture plus qu’indécente en d’autres lieux, j’attends son assaut qui ne s’aurait plus tarder. Il prend la précaution de m’enduire l’anus de crème lubrifiante et puis … se positionne dans l’axe, son énorme gland prenant appui sur ma rondelle. D’une seule brutale et violente poussée, une seule !, le voilà brusquement tout en moi, de tout son dard rigide planté profondément dans mes fesses au fond de mon rectum, sur lequel je le sens venir buter. J’en pousse un cri de douleur sous la rudesse de l’intromission, bien vite remplacé par cette sensation de bonheur et d’extase. D’abord lentement puis de plus en plus vite, il entreprend une chevauchée dantesque, me ramonant le conduit culier sur toute sa longueur. De part sa grosseur, je me fais l’effet d’un insecte épinglé sur une planche.

Soudain, toc toc, à la porte du logement qui s’ouvre à la volée, n’étant pas fermée à clé. Un autre noir entre, et trouvant sans doute la situation tout à fait normale, venant voir au plus près, nous complimente, et sans aucunes gènes ou hésitations ni autres paroles, baisse son pantalon pour me présenter sa verge molle, de belle dimension quand même, sous le nez, de façon à ce que je l’avale. Ne pouvant me dérober, empaler comme je l’étais ni encore moins m’échapper à poils, j’ouvris la bouche dans laquelle il se rua. Moins gros que son copain, ce me fût plus aisé à l’engloutir. Me tenant la tête immobile entre ses mains puissantes posées sur les oreilles, il s’astiqua le chibre maintenant tendu, entre mes lèvres, son pote toujours planté dans mon derrière occupé à me limer la rondelle dont le ténesme atteignais son paroxysme. Fourrageant de toute la longueur de son épaisse hampe, il me bourrait le fion jusqu’à culée. Subitement par de violentes secousses, il se déversa à longs jets brulants de sperme dans mes entrailles. Se retirant aussitôt avec un bruit de succion, je dû néanmoins garder la pose, incapable de bouger à cause de la pine en bouche, mais surtout subitement maintenu par plusieurs paires de mains posées aux épaules, hanches et au dos.

En effet, c’est alors que je me rendis compte que par la porte restée ouverte, d’autres noirs étaient entrés dans la pièce. Sans doute 2 ou 3, je ne pouvais pas les voir, la tête toujours emprisonnée, les sons estompés par mes oreilles couvertes.

Le tam-tam a bien fonctionné, et le piège aussi s’il en avait eu un.

Je suis donc bel et bien pris dans la nasse. Chacun d’entre eux allant maintenant en profiter et me passer dessus, j’en suis certain. Ou plutôt passer entre les fesses.

Je serais donc involontairement leurs vides couilles. Combien y en a-t-il dans le bâtiment ?

Très vite donc, une autre queue m’investi vigoureusement les intestins pour, en quelques mouvements très rapides, y répandre sa semence presque en même temps que celle de celui en bouche. M’asphyxiant sous des flots sperme, je failli m’étouffer mais n’eu pas le temps de reprendre mes esprits ni même bouger, que de nouveau une grosse pine s’engouffra entre mes lèvres ainsi qu’une autre dans mon anus. Je sentais un trop plein suinter de ma rondelle malmenée, et s’écouler le long de mes jambes.

Cette fois aussi, ce noir en bouche ne bougeant pas, il se masturba en me tenant lui aussi la tête, qu’il me faisait aller et venir à son rythme. Me contentant de le tenir seulement bien serré entre mes lèvres, parfois il allait à fond de gosier pour se faire une gorge profonde. Cela n’était pas difficile étant donné la longueur généreuse de ces queues.

L’autre dans mon conduit culier, agissait comme s’il ne connaissait pas trop le chemin ! Une fois il allait de l’avant avec force et vigueur butant mes fesses, de l’autre il reculait lentement jusqu’à sortie! Et ainsi de suite durant de longues minutes. Il tentai de m’évaser davantage le croupion.

Tous biens nantis par Dame nature, ils me remplissaient néanmoins d’aise. Diable, je savais les noirs à se sujet bien pourvus, mais là…chapeau, cette fois j’en avais pour mon grade. Dans ce cas, l’on ne pouvait pas parler de viol proprement dit, mais qu’ils abusaient tout simplement de la situation présente !!!

Pour être comblé, ça je l’étais et cela ne me déplaisais pas, j’aime les tournantes, être pris par plusieurs à la suite, tant qu’il n’y a pas violence physique. L’émulation des uns et des autres, donne des ailes. Disons qu’il aurait été plus correct de l’annoncer, je ne me serais pas dérobé.

L’un comme l’autre, hâtivement y allèrent aussi pour leur distribution copieuse de jus gluant et chaud. De la bouche, sous la violence et la spontanéité des jets au fond de ma gorge, cela me ressorti en partie par les narines. Toussant et crachant, j’eu du mal à reprendre ma respiration. Du cul trop lubrifié, coulais toujours un trop plein de sperme.

Jusque là malheureusement, cela n’étais rien. Cela n’avait rien à voir avec ce qui allait maintenant m’arriver !!! Cette fois ça allait être du copieux, j’allais l’apprendre hélas à mes dépens.

Car soudain en effet, toujours à quatre pattes, plusieurs mains me firent tourner comme un rôti au four, pour me mettre à plat dos. Et c’est alors que je "Le" vis devant moi.

Un géant de bien 2m de haut, à poils total, un sexe de taille normale pour lui, mais immense pour nous.

Au moins 25 cm de long et 7-8 cm de ǿ, rigide comme une barre à mine tendue à l’horizontale. Redoutable de puissance et impressionnant.

Ses copains, me plaçant sur le bord du lit, disposant des coussins sous mes fesses pour être plus à hauteur, me remontant les jambes sur la poitrine, les pieds vers le plafond et me tenant négligemment fermement à plusieurs, j’étais incapable de bouger et ne pouvait qu’attendre cet outrage excessif, que je le veuille ou non. De part la position dans laquelle je me trouve fermement maintenu immobile, le cul gluant offert, cela ne pourra être cette fois-ci, qu’un vrai viol si je tente un tant sous peu de vouloir résister.

S’approchant avec un petit sourire sournois, le tuyau tendu à l’horizontale, il pose son gland pointu démesuré sur ma rosette, croche ses mains dans mes cuisses levées, s’arc-boute et … pousse doucement allant de l’avant.

La douleur de la pression se fait déjà forte sous cette épreuve. J’ai envie d’hurler, qu’il stoppe, que jamais cela d’une telle dimension, ne rentrera complètement. Il va me déchirer les muscles anaux !

Mais non me dis-je, je sais que c’est parfaitement possible. En bien d’autres occasions, je me suis engodé avec des flacons en plastique de diverses dimensions et diamètres bien comparables, et même été fisté vigoureusement à plusieurs reprises.

Mais là cette fois, c’est tout différent !

Mais il n’en a cure, pousse et pousse encore, je sens ma rondelle heureusement huilée à profusion, comme l’obturateur d’un appareil photo, qui lentement s’évase tant et plus, libérant le passage dans lequel il s’engouffre petit à petit. Une fois passé la barrière anale, oh miracle. Je n’en crois pas mes yeux, bientôt le colossal gland s’est frayé un chemin dans mes chairs. Il force toujours et je ne résiste pas, me détendre me dis-je. Je regarde médusé et stupéfait cette gigantesque queue qui maintenant, petit à petit progresse en moi. Il force encore et avance mm par mm. Un véritable pieu pour m’empaler, à l’instar du supplice du pal de jadis. Heureusement que la lubrification, due aux prises précédentes a été généreuse.

Je me crois les sphincters déchirés tant la douleur est démesurée. L’anus écartelé à outrance, enfin la détente musculaire bienfaitrice ! Le rectum pouvant, lui, se dilater bien d’avantage encore. Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, il poursuit son avance et enfonce son énorme hampe dans mes fesses. Je le sens atteindre de son engin disproportionné, le fond du boyau. Il est brulant et m’envahi malgré tout divinement bien comme jamais je ne l’ais été en réalité. La douleur de l’emprise fini doucement par s’estomper pour faire place à une sensation de bien-être divin malgré la monstruosité de l’engin planté dans mes chairs.

Entamant alors une cavalcade genre rodéo, je suis secoué vigoureusement d’avant en arrière malgré que je sois toujours maintenu cloué au lit par de nombreuses mains. Je le vois sous le nez, entrer-sortir, l’épaisse hampe luisante de sperme et de crème anale, que c’en est insensé comme vue, j’en suis littéralement fasciné.

Je bande dément par la force des choses, ma pine pointe le plafond, elle aussi plus grosse que jamais. J’en suis moi-même tout confus. Libre des mains, je me caresse. On me tord les seins, me câline de partout. Un noir me saisi à pleine main pour me masturber que j’en oublie momentanément le mal au cul tant mes fesses sont écartelées et mes entrailles envahies.

Soudain d’un retrait trop hâtif, le voilà dehors ! Sa pine semble plus grosse encore, se dresse brièvement comme pour un salut, reprend son horizontalité.

Et puis…me réinvesti férocement le fourreau d’un seul mouvement jusqu’à culée, m’arrachant un cri de douleur sous la brusque prise.

Lime quelques coups et …ressort, pour me réinvestir à nouveau sauvagement. J’ hurle qu’il arrête mais poursuis sa torture.

De nouveau quelques coups à butée et ressort.

Pour réintroduction brutale et méchante. Douleur fulgurante.

Ma parole, mais il le fait exprès.

Un autre noir dispose un coussin sous ma nuque qu’il me tire en arrière. Glissant un doigt entre mes lèvres, me fait ouvrir la bouche. Pour être investie à fond de gosier par la queue d’un noir monté accroupi sur le lit. Mon champ de vue est subitement restreint.

Je comprends, mais il est bien trop tard, qu’il s’agit d’un jeu pour eux et surtout pour mon enculeur, que c’est maintenant un quasi vrai viol. Son plaisir sans doute est de me voir souffrir, d’avoir mal. Je ne peux leurs échapper, solidement rivé entre ces mains robustes. Mon anus irrité par ces pénétrations brutales et barbares à répétitions, crie sa souffrance. Les larmes m’en montent aux yeux, Diable d’homme, quand vas t-il jouir, que cela puisse s’arrêter.

Ce fut hélas encore comme cela pendant plus de 5’, chaque réentrées cruelles me fait envie de crier de douleur, mais impossible avec cette bite plantée dans le museau. J’en oublie même le noir qui me branle toujours l’érection démente. Soudain, les amygdales inondées, je ne peux que déglutir !

Quand, je sens les mains de mon violeur se crisper dans mes cuisses, ralentir sa cadence, je devine qu’il arrive enfin à jouissance. Que celle-ci qui lui monte des entrailles, lui sera sublime et salvatrice. Pour moi aussi.

En effet, pour être copieuse, elle fut plus qu’abondante. Dire que je suis inondé, est peu dire. Je cru qu’il me remplissait les intestins avec sa lance à incendie, que cela allait me ressortir par la bouche, et à la fois par le nez et les oreilles, tant il fut copieux. Son sperme s’écoule par mon anus brulant. Bien bouter dans mes profondeurs, il garde la pose sans défaillir. C’est à mon tour de jouir, je la sens monter irrésistiblement de mes reins, elle va fuser avec force. La délivrance merveilleuse.

Je joui avec puissance. Mon 1e jet monte à une hauteur quasi inimaginable et retombe en pluie sur mon ventre et les couilles. De jets interminables, le noir me secoue toujours la verge pour en extraire les dernières goutes. Enfin, doucement l’enculeur se retire de mes tripes, sa queue n’a presque pas changé de volume. Enfin ils me relâchent de leurs étreintes, je suis littéralement vidé de toute énergie, ne sachant plus bouger ankylosé par la pose longtemps tenue. Quand finalement je puis me redresser, la tête me tourne un peu et la plupart des noirs ont disparu. Reste seulement mon inviteur et celui arrivé en premier. Ils me félicitent et me congratulent pour ma performance, et mon cul accueillant.

Ben tiens justement, il me fait un mal de chien celui là. Mon anus malmené de cette façon, mettra certainement plusieurs jours à s’en remettre. D’un verre bienfaiteur et rajusté, m’en allais d’un pas mal assuré. Je marchais quasi comme un canard, tant la gène culière me faisait mal.

Mais s’avez-vous la meilleure d’entre toute ? C’est que dans l’aventure, j’égarais ou perdis ma documentation de voyage. Je dû ainsi revenir le lendemain à cet office de tourisme, et bien sûr, par pur masochisme repassais par ce même café. Où…, je retrouvais le noir qui m’avait "invité" la veille.

Naturellement, l’on remit le couvert. Cela ce passa quasi pareil, même nombre que la veille, sauf que le géant n’était pas là ! Heureusement, ou dommage! Mais quel plaisir.

 

 

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Lundi 7 février 1 07 /02 /Fév 12:38

Exhibition sur parking.

 

 Bien dommage lorsque la belle saison est finie, celle d’été chaude à souhait, celle qui nous permet d’être en short/tee shirt, en tout cas habillé très léger voire pas du tout. De rouler en voiture dans le plus simple appareil…quel ravissement même en hiver. Raser les autocars et camions en les dépassant légèrement plus vite qu’eux, de telles façons, qu’ils ne peuvent pas ne pas vous voir ! Mais quel bonheur ! C’est donc celle que j’affectionne le plus, surtout sur certains parkings autoroutiers fréquentés par une vraie "faune", d’amateurs et voyeurs réunis. Finie celle d’été, il n’y a rien d’autre à faire que de passer obligatoirement par celle d’hiver! Si comme dans mon cas, l’on veut continuer à s’exhiber malgré tout en extérieur, il faut s’adapter et endurer. Il n’y aura vraiment qu’un froid intense ou pluie en déluge pour m’assagir. Quoi que je me suis déjà couché dans la neige…

 

nature1

Pour ma part en fait, (et à moins qu’il ne gèle donc à pierre fendre), je m’y habille toujours aussi léger, c'est-à-dire un pantalon normal ou de training/jogging au lieu d’un short, un gros pull ou chandail sous un blouson, anorak ou duvet. C’est également alors qu’ainsi, je peux mettre des bas résille en dentelles maintenus par un porte jarretelle. Lors d’un contact, le simple fait de baisser pantalon pour s’exhiber de la sorte, suffit à faire démarrer le partenaire. S’il n’est pas déjà en train de s’enfiler un préservatif, je lui en présenterai un. La simple vue de mon apparence en bas et porte jarretelle, ma queue et couilles au nu avec le préserva proposé, suffira toujours à lui faire comprendre et lui indiquer mon état de pute en soumission totale, prête à accepter toutes dépravations et surtout, de lui servir de vide couilles.

Certains soir l’absence d’éclairage sur parking, propice à une obscurité quasi-totale et l’appétence, me libérant de toute contrainte, je peux me mettre nu. Le nu absolu. Mais alors quand je dis nu …c’est NU. Rien, nib de nib sur moi. L’éclairage diffus du plafonnier de la voiture suffit pour m’exhiber complaisamment au passage de curieux. Rapide étreinte portière ouverte parfois sous regards d’autres envieux.

 

nature3

D’autre fois ou en d’autre lieu, dans la pénombre opportune du parking, j’ôte mon pantalon - les bas noirs faisant illusion – et, alors soit déambule de ci delà entre les voitures qui sont en fait toutes là pour la même idée, des contacts faciles - soit je m’adosse à ma voiture en attente, sexe tendu seulement visible entre les pans de mon blouson, par ceux passant devant moi.

Ainsi un soir, un homme arrive. Fait le tour de la voiture et se place à ma hauteur. De près, constatant que je ne porte pas de pantalon mais des bas, me saisi la verge et les couilles dans leur appareil de cockring, qu’il me serre fermement testant ma soumission. D’une légère torsion et poussée sur le côté tout en me tâtonnant les fesses, me fait virer à 180° lui présentant le dos, face au capot moteur sur lequel je m’appuie. Aussitôt me saisi promptement les poignets qu’ils me rabats dans le dos et attache ensemble avec me semble t-il des menottes. Diable, merde, manque de prudence, aurais-je affaire à un policier ?

Je n’ai rien remarqué d’anormal de ce genre sur le parking. D’ailleurs, personne ne semble inquiet. Ils déguerpiraient comme moineaux sur un fil. Peut être un dépravé ? Non, apparemment rien de cela non plus. Un qui se met seulement en scène pour pimenter la relation, voulant simuler un viol ! Cool, me dis-je, assurons! D’ailleurs aussi vite dégainé, son gland se pose illico sur mon anus lubrifié d’avance, pousse en force l’entrée et d’un seul violent coup, s’enfonce au plus profond de mes chairs buttant le fond de mes entrailles. Aie, rude assaut ! Bien abuté en moi il me comble la cheminée d’un engin puissant, savoure l’instant présent. Je le ressens gros car il me remplit d’aise. Je dirais même qu’il doit être de belle taille, mon auréole étant bien ouverte. En appui d’un bras sur mon dos me maintenant les poignets, écrasé sur la carrosserie je ne peux bouger. Se retirant très très lentement, arrivé à l’orée de mon orifice près à déjauger, il me réinvesti à fond avec virulence de toute la longueur de sa hampe. Ainsi de longues minutes, il m’assiège l’arrière train de nombreux coups. Ayant certainement baissé pantalon, ses testicules telle un métronome frappent régulièrement mon entre fesses en claquant avec force à chaque fois, son ventre restant au contact de mes fesses. Il me comble le conduit culier avec ravissement. J’apprécie amplement, malgré que mon sexe soit comprimé contre la carrosserie.

 

nature2

Entre temps, une autre voiture arrive lentement derrière la mienne s’arrêtant à moins d’1 m. Dans la lueur de ses phares, son conducteur ne peut pas ne pas voir et donc se rendre compte de ce qu’il se passe sous ses yeux. Impossible. Mon violeur n’en a cure. Semble même redoubler d’ardeur et de puissance. Apprécie t il lui aussi se mettre en valeur ?

Le nouveau venu d’ailleurs, descendant de voiture vient au plus près pour mieux voir encore. Constatant bien ce qu’il entrevoyait, parvient aussitôt à saisir mon paquet qu’il me triture lui aussi hargneusement, nous invectivant de mots orduriers. « Va-y » dit-il à l’autre, « Bourre lui bien le cul à cette salope, rempli le convenablement, dès que t’as fini je prends la relève, que je vais l’envahir à l’inonder car j’ai de grosses couilles bien trop pleines »... Moment que choisi le 1e pour me gicler dans les fesses tout son venin. J’en ressens de nombreux jets brulants. S’astique avec force encore quelques instants pour bien jouir du moment et se vider à fond. Se retire alors brutalement mais vite remplacé par l’autre, déjà prêt et tout aussi gros, si même pas un peu plus. Le 1e, d’une traction sur le cou, me fait virer d’1/4 de tour.

 

PICT002 1Je garde stabilité en m’appuyant du coude sur le pneu, toujours entravé par les menottes. Aussitôt sa queue luisante de sperme se pose sur mes lèvres qui s’entrouvrent machinalement, l’avalant de façon quasi automatique. Mais insuffisant pour lui, il force d’avantage encore et s’englouti dans mon gosier se faisant une gorge profonde. Il est encore bien vaillant, et j’ai vraiment du mal à le garder en bouche. Des mains plaquées aux oreilles, il s’active seul le chibre avec ma tête qu’il fait monter et descendre en cadence à sa guise. M’étranglant, toussant, il n’en a vraiment cure. Je suis là, rudoyer, guidé à sa façon comme une machine. Mon nez régulièrement au contact de ses poils pubien, ceux-ci me chatouillent désagréablement les narines. Le 2e, dans mon cul, n’en est pas en reste non plus. S’activant comme un malade, bute aussi mes fesses à chaque intromission à un train d’enfer, pressé lui aussi peut être d’en finir, au risque de se faire surprendre en action, par d’autres hommes.

Soudain, une grosse quantité épaisse de semence m‘envahi la glotte, j’ai juste à déglutir pour avaler. La nouvelle dose de sperme qui me jailli puissamment dans le gosier, est encore conséquente. Se retire se rajuste et s’en va, s’en piper mot. M’égosillant de son sperme en bouche, je crie « Et les menottes » « T’en fait cadeau », dit il. Instant que le 2e met à propos pour se vider en puissance les entrailles dans les miennes. Me pressant hargneusement les testicules à me faire mal comme pour s’en extraire les dernières gouttes à lui ! S’en va lui aussi, s’en plus rien dire. Crachotant, brisé, je suis là, assez penaud, et me rends alors compte en les triturant à l’aveuglette que ces menottes très réalistes s’ont jouet d’enfant. Un petit bouton sur le coté et elles se détachent.

Enfin redressé, reprenant esprit, le sperme me coule le long des jambes maculant mes bas.

Des aventures en soumission de ce genre, j’en connus des dizaines. Toujours rapidement expédiées et sans violences aucunes. A reproduire sans retenues.

 

 

 

 

 

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Par exhibsmriccardo.erog.fr - Publié dans : Mes histoires vécues - Communauté : Exhib & SM
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Mardi 4 janvier 2 04 /01 /Jan 16:06


Suite de la parie précédente :

 

Chemin faisant vers le building de mon nouveau pote Alain, allant ainsi le chercher à l’heure convenue comme promis auparavant, je m’inquiète de sa présence et disponibilité réelle. Vague et fausse inquiétude en arrivant devant chez lui. Il s’y trouve effectivement à m’y attendre. Je constate, le début de saison le permettant déjà (nous ne sommes qu’en mai), qu’il a adopté une tenue assez légère, comme je les affectionne, short/tee shirt/basket.

Monté en voiture, je l’informe brièvement d’où nous allons et de ce que nous allons y faire ensemble, et me voyant moi-même le sexe libre comme un oiseau lorsque je suis habituellement en voiture, il s’exhibe pareillement en baissant complètement le short sur les chevilles. Pas de slip, le sexe très tendu, ferme et rigide, surgit palpitant de tension nerveuse trop contenue, envie brûlante de satisfaire auquel nous allons bientôt y remédier.

L’accès de l’autoroute étant d’ailleurs assez proche afin d’accéder à mon endroit de jeu habituel et n’ayant donc maintenant plus rien à craindre genre arrêt impromptu de la police ou autre, je lui ordonne de se désaper complètement, ce qu’il fait de suite sans rechigner. Pour notre 2e rencontre, c’est donc déjà une toute jeune et nouvelle lope apparemment très bien obéissante et soumise, que j’ai à mes cotés. Bon augure pour les suites à venir.

Le trajet étant de courte durée, j’arrive très rapidement sur mon parking de prédilection et m’arrête à l’endroit que j’affectionne le plus, car assez isolé dès l’entrée mais déjà très connu de certains initiés. Je sors alors de voiture emportant une pochette contenant tout un petit matériel divers qui me et nous viendra très bien à point le moment venu, tout en lui disant de me suivre directo dans les buissons tous proches, comme il est c'est-à-dire nu !

Jouant ici un rôle de Maître autoritaire, n’oublions jamais non plus que je suis avant toute chose aussi une lope passive/soumise, exhib tendance maso. Je vais donc poursuivre son éducation et initiation, de ce que je connais. Le faire progresser selon mes envies mais en respectant ses désirs et limites.

Suffisamment introduit dans la futaie, j’adopte aussitôt tout comme lui la même tenue, donc tout nu, et m’adosse à un arbre face au sens de circulation afin de pouvoir quand même observer les allées et venues à travers les branchages encore assez épars. Son corps juvénile, sec élancé sans graisse superflue, bref bien taillé comme on dit, est parfait. Lui, en admiration face à moi (c’est la 1e fois qu’il me voit complètement et totalement nu) épilé qui plus est et avec mes cockring enserrant ma queue et mes couilles, s’agenouille religieusement et entreprend d’initiative de me flatter la bite en la suçotant et me caresser les couilles. Appréciant le geste courtois, je le laisse poursuivre sa maladroite fellation quelques instants trop brefs. Car hélas ou heureux présage, une voiture arrive bientôt. Mine de rien comme indifférent, je laisse Alain continuer à me sucer, lui donnant quelques directives.

Arrêté pas très loin de la mienne, un homme sort de sa voiture pour se diriger directement en pas décidés vers nos fourrés.

Y entré, l’homme, le sexe en main déjà en érection, sachant ce qu’il allait forcément y trouver, raison de sa présence en cet endroits, reste néanmoins interloqué en nous voyant totalement nu et en action. Lui faisant alors signe d’approcher, je le perçois le sexe pas trop gros.

Parfait pour la suite de l’initiation. Je dis à ma lope de continuer à me sucer mais de redresser son derrière, qu’un homme va la lui mettre au cul en même temps. L’invitation alors non équivoque du postérieur ainsi pointé, je lui facilite encore d’avantage l’accès convoité, en écartant les fesses présentées, lubrifiant l’œillet rosâtre quasi neuf et non rodé, sur lequel ainsi cet homme y pose son gland, dont il force illico sauvagement l’anus.

Là, je crains pour la rondelle juvénile de ma lope car il est relativement violant, me semble-t-il. S’active alors avec vigueur, lui bourrant le derrière à grands et longs coups de reins. J’ai peur du matériel qu’il malmène autant, j’appréhende aussi qu’il n’y dégoute mon domi d’être rudoyée de la sorte. Mais celle-ci roucoule néanmoins de plaisir, gigotant du popotin pour mieux apprécier. Mais, très rapide, à ses mimiques de satisfaction et râles de plaisirs, je réalise qu’il arrive rapidement à ses fins. Ejacule longuement dans ce postérieur avant de disparaître aussi vite qu’il n’était arrivé.

Pour moi, ce n’est que la 2e fois, qu’il assume un chibre dans le cul ! Inouï cette disposition, aurais-je affaire à un phénomène ?

N’étant pas prêt de jouir mais de continuer a m’amuser un peu, histoire de poursuivre le dressage de mon esclave, je lui dis de se tenir droit, les bras levés écartelés que je vais maintenant l’attacher aux arbres voisins.

Je vais ainsi pouvoir lui raser le torse et son sexe trop poilu. Il doit me ressembler, moi qui suis épilé de partout, et sortant de fines cordes et le rasoir/rabot de ma sacoche, je le ligote ainsi en croix, écartelé entre les troncs d’arbres. Ne pouvant se détacher seul, il est tout à ma bienveillance. Prudemment afin de ne pas le couper, à sec, les poils ne tardent pas à tomber au sol. Le frictionnant de crème après rasage, bientôt imberbe, il ressemble à une statue grecque. Il embaume de senteurs poivrées tous les environs. Je poursuis le rasage entre les fesses, lui rendant également la raie culière aussi lisse qu’une piste de ski. Du sperme de la sodomie précédente suinte encore de son anus et coule sur ses jambes.

Tout occupé, je ne vois pas qu’un autre homme arrive, la quarantaine orgueilleuse. Nous félicitant de notre présence et situation bouffonne, il ricane bêtement de la suite qu’il envisage déjà tout à son profit. Deux corps nus lui offert ainsi à souhait et dans cette situation, quasi sur un plateau ? Qu’allait – il pouvoir en faire pour en disposer à sa guise ?

Baissant pantalon, il expose un énorme sexe nettement beaucoup plus gros et épais que celui de l’homme précédent. Mon tour étant d'ailleurs venu, c’est donc moi qui m’y colle. Le suçant d’abord un peu, il me saisi fermement la tête d’une main sur chaque oreille, s’enfonce le chibre de toute sa longueur dans ma bouche s’y faisant une gorge profonde. S’active quelques instant en me chatouillant la luette de son épais gland, me donnant envie de gerber avant de se retirer aussi brutalement. Me retournant illico telle une crêpe et de m’investir tout aussi férocement les chairs de son énorme sexe. Heureusement que mon anneau, lubrifié et prêt depuis belle lurette à ce genre d’action, ne m’as pas fait crié, à ce viol simulé !

Face à ma pute en érection toujours attachée en croix, penché vers lui, ballotté et ne sachant où me retenir, c’est donc tout naturellement que je l’engobe. Et me cramponnant à ses hanches, mon roulis s’estompe. Après tout, antérieurement c’était l’inverse ! J’exulte, mon bourreau me comble d’aise à grands coups vigoureux. Je le ressens gros et épais, me comblant d’aise. Lui aussi finira très vite par m’inonder les entrailles à gros jets puissants et a s’éloigner. Mes fesses ruissèlent elles aussi du trop plein reçu.

Détaché, je promène alors ma lope comme un petit chien obéissant que j’exhibe ainsi l’orée des buissons en pâture à d’autres hommes de passage, qui profiteront ainsi le plus souvent en alternance, de nos fesses.

C’est comme cela que durant cet après midi en un peu plus de 2 H et à tour de rôle pour ne pas rester en reste, nous avons ainsi analement la plus part du temps, contenté une douzaine d’hommes. 6 chacun. Pour une première, cela fut très bien !

S’exhibant complaisamment à chaque nouvelle arrivée, nous nous épaulions ainsi mutuellement, évitant de mauvaises rencontres toujours possibles, surtout lorsqu’on est ainsi seul.

Il en fût pareil chaque mercredi après midi durant de longues semaines, soulageant à chaque fois une moyenne de 12 à 15 hommes. Lorsqu’il faisait trop mauvais à cause de pluie par exemple, nous n’y allions alors que le samedi, toujours au même endroit, parce que l’on finissait par y rencontrer souvent les mêmes personnes devenant des habitués.

Quelque fois aussi le vendredi en début de soirée, ce n’était pas mal non plus, la présence d’hommes y étant même plus importante. A certains moments l’affluence était telle, qu’envahi chacun du cul, nous en avions encore un autre impatient en bouche. Et une fois, un 5e, pressé ou exhib lui aussi, qui se branlait furieusement en nous regardant tous.

Tout ayant une fin, celle-ci le fût, hélas, de façon brutale.

Un jour en effet j’appris son décès avec 2 autres jeunes, dans un accident de circulation très spectaculaire et violant, qui mis en émoi la population de la ville à cause de la popularité de l’une des victimes. Innocent et non responsable, c’est ainsi que je perdis un très bon ami.

 

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Mardi 4 janvier 2 04 /01 /Jan 16:03

Un jour étant en drague sans réel but précis, j’erre au hasard dans un parc arboré et bien fleuri de la ville voisine, me promenant d’allée en allées, tout en étant aux aguets. Très bien entretenu, des poubelles et banc de repos sont disséminés partout dans des encoignures, aucuns papiers ou autres détritus ne traîne. Des fleurs et plantes à profusions. Plusieurs pièces d’eau reliées entre elles par des chemins tracés au cordeau parfois sous d’épaisses frondaisons d’arbres gigantesques pouvant rappeler un tunnel. Trop tôt encore dans la matinée, quelques rares personnes y déambulent néanmoins, certains tenants un chien en laisse. La promenade du toutou ! D’autres déjà se prélassent au soleil sur les bancs qui ne sont pas dans l’ombre.

Et c’est ainsi que soudain, je "Le"vis !!!

Jeune, 18-20-22 ans tout au plus, assis seul au bout d’un banc en plein soleil, à un endroit un peu écarté d’une circulation pédestre soutenue. Je dois contourner une pièce d’eau. Je me dépêche mine de rien afin de me rapprocher avant que quelqu’un d’autre n’aie la mauvaise idée de venir s’y installer avant moi, ce qui romprait l’agrément. Enfin j’y arrive, ralenti le pas et l’air de rien, m’installe enfin à l’autre extrémité du banc.

D’abord par simple civilité je salue disant bonjour et il me répond. Déjà il ne semblerai pas timide et enclin au dialogue !

Je feins de le lire mon hebdomadaire ouvert, essayant du coin de l’œil de l’observer, lui-même étant aussi plongé dans un livre. Moins jeune qu’estimé de loin, plutôt 18 ans guère plus, assez grand. Stupeur, j’en suis certain, il contemple une revue porno !!! Une homo qui plus est !

Brusquement lui faisant face, je lui demande s’y elle est passionnante ? Plutôt gêné et gauche d’avoir été surpris, il me dit que oui, que de voir toutes ces photos cela est même ensorcelant. Puis-je jeter un œil demandais-je ?, en me rapprochant, cela me captive aussi beaucoup dis-je. Glissant l’un et l’autre de coté, il m’accole presque et me présente les pages ouvertes. Effectivement livre porno gay, où plusieurs hommes sont emmêles ne laissant aucuns doutes sur leurs pratiques.

Y voyant notamment un noir superbement membré sodomiser un petit blanc, je dis lui que cela doit être bien bon de recevoir pareil instrument entre les fesses. Et celui-là à sucer son copain ? Quel plaisir. Oui, dit-il, ça doit être chouette ! Cela doit faire mal, ajoute t-il alors en m’indiquant un participant avec des cockring métalliques monstrueux aux couilles. Aussitôt je me lève et lui fait face, disant « regarde moi et dis moi ce que tu vois ». Je ne remarque rien d’anormal me dit-il. « Et pourtant sous mon short, d’abord je suis nu, libre comme l’air n’ayant pas de slip et en plus j’ai des cockring de ce genre moi aussi ». Je peux te montrer si tu veux !

Me rasseyant, de quoi a tu envie demandais-je ? tout de go ». Apprendre tout cela, je suis novice, je connais personne, on vient à peine de déménager ! Sucer une queue me plairait beaucoup, me répondît-il aussi vite. A part me branler et me goder avec un manche de tournevis…a voir tout cela dans les livres…

Bien bonne idée, mais j’habite trop loin, où pourrions-nous aller, lui demandais-je ? Les buissons ne sont pas encore assez touffus et puis il y a du monde qui passe.

Moi j’habite là-bas, le building là en face, mais ma mère va bientôt revenir des courses. Et les caves ? Ah, oui pourquoi pas, mais il ne faut surtout pas faire de bruits, parce que le parking souterrain assez fréquenté y donne aussi accès, me dit-il en réponse.

Ok, eh bien moi ça me conviens, si toi aussi. On y va ?, tu ne le regretteras pas je te l’assure ! Nous dirigeant vers le bâtiment, j’apprends qu’il est étudiant en congé d’étude. Dans le hall d’entrée nous prenons aussitôt l’escalier menant au sous sol. Pénombre propice, calme et fraicheur y règnent. Personne. Il se dirige vers sa cave, ouvre la porte avec sa clé et nous plongeons dans l’obscurité. La porte refermée une faible ampoule nous éclaire alors d’une lumière blafarde révélant un bric à brac incroyable. Je lui masse derechef l’entre jambe et constate qu’il bande déjà énorme tout en l’embrassant à bouche que veut tu. J’entreprends de lâcher sa ceinture pour baisser pantalon et slip sur ses chevilles. Comme pour ce faire je me penche, m’agenouille et au passage je l’engobe. Doit ouvrir au maximum mes mâchoires pour l’avaler tant il me semble gros. Longue tige, large épaisse et juvénile. Un bonheur !

Je tète à fond de gorge quelques instants pendant qu’il pousse de légers soupirs d’aise. Je suce et lui administrie ainsi sa toute 1e fellation. Il s’accompagne de légers coups venant butter au fond de mon gosier, je tempère en lui tenant le gland sur la langue que je suçote avidement. Aspirant et roulant la langue tout autour du gland, m’immisçant dans son méat, laissant une main le branler lentement en même temps. De l’autre je lui masse les couilles grosses comme de belles mandarines, fermes et dures qui ne doivent pas souvent être vidées, donc pleines d’un trop bon jus que je m’efforce d’extraire goulument. Du majeur tendu, je lui titille en même temps l’anus. Pliant légèrement les jambes il me facilite encore plus la chose. Tout vient à point à qui sait attendre, mais beaucoup trop vite à cause de la nouveauté de la chose, à très longs et gros jets, il m’éjacule une dose trop longtemps retenue et massive de sperme brulant et gluant dans le gosier et en bouche. M’en gargarisant, j’avale avec délice ce jeune nectar !

Redressé je lui en fais gouter la saveur en l’embrassant de nouveau.

Agenouillé, c’est à présent lui qui me tête la queue, caressant mes couilles enserrées dans leur cockring mais lui dis : « j’aimerais autre chose, te mettre ma petite dose bien chaude profondément entre les fesses. Au fond de tes boyaux, ça te dit ?» Ok me dit-il, mais arrête si ça me fait trop mal.

Je n’ai jamais été enculé mais je veux essayer, trop envie.

Ok dis-je à mon tour, sachant très bien qu’il n’en serait probablement rien.

Ma queue bien humectée je lui lubrifie encore l’anus et prend position, lui appuyé dans l’encoignure des murs ne pourra se dérober. Mon gland force ses sphincters et y entre progressivement, me retire et lubrifie encore pour, cette fois, m’enfoncer d’un seul coup sous ses gémissements étouffés. Abuté au tréfonds de ses entrailles vierges, je savoure l’instant du viol consenti, enserrer par les parois intimes. Gigote un peu sous la contrainte et fini par supporter cette intrusion contre nature. D’abord lentement puis plus rapidement, je lui laboure le conduit culier dans lequel il semble y prendre du plaisir. Je ramone ainsi sa cheminée de longues minutes, limant tant et plus son petit œillet serré. Je ne tarde plus à ressentir mon propre plaisir monter de mes reins, et gicle d’un premier jet salvateur suivi de plusieurs autres. L’inondant littéralement le rectum, il apprécie cette nouvelle découverte avec des ronronnements d’aise. Le caressant, je constate qu’il en bande encore énorme, me débarrassant alors de mon short, je lui présente mes fesses. Gauche, il me les caresse et devinant ce que je veux, son gland se pose enfin sur mon anus, pousse et s’introduis d’un coup dans mon conduit anal, rodé par de nombreuses pratiques. Pour lui tout cela est une première fois. Je sens toujours gros m’écartant les globes de délicieuse façon mais maladroit, s’activant, désordonné. Trouve enfin la façon et le rythme. Trop vite, ses violentes secousses m’indique qu’il joui à nouveau, m’emplissant la cheminée d’un nouveau sperme épais et abondant, avec un rugissement de plaisir contenu. Lui refaisant face je lui engobe la queue humide pour un décrassage de bite et profiter ainsi du gout noisette au fumet suave qu’y s’en dégage.

J’en bande encore monstrueux aussi sous la hardiesse. Se penche et vraiment malhabile ne l’ayant manifestement jamais fait, il peine de me prendre en bouche, s’étrangle et enfin me suce. Je pousse mon avantage sans trop vouloir le dégouter, me masturbant doucement. Il tète tant et si bien, que moi aussi bien vite sens mon plaisir remonter de mes reins. D’une douce poussée sur sa nuque, je m’enfonce dans sa gorge et y crache mon venin en une longue giclée. Il n’a pas à avaler juste déglutir, me boire à satiété. Me suce encore et encore, trouvant cela très savoureux. Rajustés, nous remontons calmement et me remercie pour la double et même multiple expérience qu’il vient de vivre pour la toute première fois.

Nous promettant de nous revoir le mercredi suivant, il deviendra ainsi progressivement par la suite une véritable lope accro au sperme, que j’emmènerais souvent avec moi en exhib et abattage sur des parkings autoroutier des environs, réputés pour ce genre de pratiques, où j’y excellais moi-même, déjà depuis un bon moment.

Y prenant bien du plaisir tous les deux, à chaque fois, en une sorte de concours, pour celui qui en "trairais" le plus de bites possible.

Suite à venir de cette partie …

 

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